23 février 2013

Dans l'escalier...

   2930 - "Vivre dans l'instant..."

Ah... Ces escaliers étroits menant vers le septième ciel...

Lui reviennent des images d'après-dîner, quand un soir en remontant vers la chambre, une pulsion d'érotisme l'a soudain submergé et incité à choper cette demoiselle qui montait devant lui en ondulant du valseur, "sournoise" façon ultra féminine de mieux lui faire miroiter l'évidente suite.

Pas la patience d'attendre d'arriver dans la pièce pour dévoiler cette provocante paire de fesses qui lui a fait envie toute la soirée, pendant le repas. Enfin oser la plaquer au mur entre deux étages, ventre collé contre son cul avec une vive érection naissante et les mains baladeuses qui soulèvent la jupe. Sans se soucier de croiser d'autres clients de l'hôtel.

Murmurer des choses dans le creux de l'oreille. Stimuler le désir... Impérieux, mâle. Une fessée à venir...

Et forcément d'autres plaisirs encore ! La retourner dans la nuit et la tenir par les cheveux dans cette posture si animale qui a leur préférence à chaque fois, tandis que ses mains à elle se crispent sur les draps...



7 commentaires:

Lilas Rose a dit…

Très peu de posts depuis quelques temps. il semble que février soit un de vos mois les moins actifs depuis longtemps. 7 ce mois ci, 3 en novembre 2011. J’espère que ce n'est pas un signe de désintérêt pour votre fil des jours.

Sophie a dit…

"L'escalier, plusieurs étages, je ralenti le pas en espérant que sa main glissera sous ma jupe, entre mes jambes, puis se posera sur l'intérieur de ma cuisse.

Sentir la chaleur de ses doigts caressant ma peau fraîche. Ralentir encore pour ne pas perdre le contact. Pressentir qu'il n'en restera pas là, il reste d'autres étages.

Ses doigts glissent sous la dentelle, l'un deux s'intercale entre mes fesses et profite de leur mouvement de balancier dans cette montée d'escalier pour s'infiltrer, inquisiteur.

Je ne suis plus qu'un pantin : marcher, accélérer, m'arrêter, comme un marionnettiste, il choisit. Il joue les cochers, le majeur bien planté au fonds de mon cul, il modifie la cadence : me pousse d'une pression plus profonde, me freine d'un doigt crochu. je me sens pouliche en apprentissage.

Et quand devant la porte il me glissera à l'oreille : " ce soir tu vas goûter de ma cravache", je sais que le dressage ne fait que commencer."

Rich a dit…

Ce doit être dans l'air du temps. J'avoue avoir très peu de cette précieuse denrée en ce moment pour m'occuper moi aussi de mon blog. Je présume donc que, comme pour moi, Stan est pris par les occupations du quotidien et qu'il n'a pas non plus toute liberté de s'occuper de son enfant virtuel.
En principe, après une période plus difficile à gérer, le temps des publications plus fréquentes devrait revenir.
Rich

Stan/E. a dit…

@ Lilas et Rich; oui, ce n'est pas si simple, on ne fait pas toujours ce qu'on veut, forcément. Mais on ne perd pas le fil... (:=)

Calamity a dit…

L'idée est appétissante!

Anonyme a dit…

Absolument !

Anonyme a dit…

On a plaisir à s'imaginer le délit ... merci !