24 janvier 2011

Bien mouiller avant de déguster.

2168 - "Abondamment mouiller..."

En langage de cuisinier, mouiller c'est simplement ajouter un liquide à une cuisson pour "l'assouplir" (!). Amusant terme, qui a évidemment son pendant sexuel, argotique et trivial, je ne vais pas vous faire un dessin.

Si ? Une autre fois.

Donc, mouiller: on additionne du lait, de l'eau, un œuf, de l'alcool à une préparation pour la parfumer, ou la réhydrater, comme avec un baba ou une génoise par exemple.

C'est une expérience curieuse. Au sortir du bain, de la douche, quand la peau est plus tendre, plus "prête" à tous les plaisirs. Oui, pardon, là je ne parle plus vraiment en termes culinaires.

Alors, une fois la peau humide - soit en versant de l'eau (pas d'œuf ou autre liquide précité !) sur les fesses de la dame soit en la prenant au sortir de la douche, encore vaporeuse, embuée et chaude - on pourra l'incliner sous son bras ou la courber sur un genou pour lui rougir les fesses dans un bruit pétaradant, vif, pur, claquant dans le silence de la chambre avec une sonorité curieusement accrue.

Décibels. Les fesses de la punie deviennent alors d'un rouge carmin très soutenu, mais contrecoup: à force de claques, la chaleur monte et la peau sèche assez vite ! Si on veut éviter les cloques, on gardera à portée de main une bouteille ou une cruche, histoire de ré-humecter régulièrement le derrière puni tant que durera le châtiment. C'est vous qui voyez.

Il n'est pas sot de passer aussi sous l'eau sa propre main "correctrice" d'ailleurs. Car évidemment, votre mimine soumise à tel traitement (en fait, le même que celui que vous administrez au fessier, si on y pense, c'est de la peau dans les deux cas) chauffe et rougit aussi à cause des claques. Attention aux cloques. C'est l'homme d'expérience qui cause, là.

Le plus étonnant après une fessée "mouillée" par rapport à une correction euh... "sèche", c'est que quelques heures plus tard, gardant en souvenir la jolie teinte garance déclinée sur le cul, on trouve facilement l'occasion de déculotter l'impétrante pour "vérifier un truc" ou s'assurer de la chose faite et constater ce qu'il en est des suites de cette fessée. Obéissante, votre amie s'exécute et là, surprise...

Plus une trace !

Bon, tout ça à l'air très technique et organisé façon "professeur d'éducation anglaise agréé". J'aime trop l'improvisation dans mes plaisirs (où serait le trouble si tout était prévu ?) pour penser à l'avance à disposer une bouteille, une serviette ou quoi que ce soit près du lit.

À vrai dire, je n'ai pratiqué ce que je vous raconte-là qu'en trois ou quatre occasions (je parle de mouiller préventivement un fessier que je corrige), mais à chaque fois avec une grande joie.

Partagée. Et sans safe word.
Image: "Wet bottom" © Czliki

7 commentaires:

Ellie C. a dit…

Vraiment je m'demandais ce que faisait cet objet dans la chambre… ?

Quand Je lui ai demandé s’il avait peur qu'on lui pique le jerrican dans le coffre du scooter, j'ai bien vu que ma question n'était pas la bienvenue.
Quand il a grincé qu'il contenait de l'eau, j'ai bien vu que mon fou rire n'était pas le bienvenu...
Quand il m'a eu bien claqué les fesses et qu'il a débouché le bidon, j'ai bien vu qu'il transformait le lit en baignoire...

So a dit…

Au début de votre blog, vous écriviez déjà que vous cuisinez très bien. Là encore vous parlez de cuisine. Que savez-vous donc cuisiner, en dehors des fesses des femmes ? Dites-nous quelle est votre spécialité, si l'on ne parle pas fessée ?
D'ailleurs, Au fil du temps n'est-il pas une sorte de banquet auquel vous nous conviez ? Pas façon Platon, hein ! Quoique..sur la planète du virtuel, c'est bien l'idée que l'on caresse, plutôt que la chose elle-même...

So a dit…

Il ne faut jamais parler sèchement à un Numide. (ça c'est votre faute, m'avez donné goût aux bulles ! )

So a dit…

Oups, j'avais oublié les guillemets.
Rendons à César ce qui est à César, et à Astérix, ce qui lui appartient. Il s'agit donc d'une bulle du Domaine des dieux.

Nush a dit…

Ce que je préfère dans la fessée mouillée c’est.....le bruit. Vraiment différent et très présent. Un claquement assourdi.

Erik A. a dit…

Le bruit est une part essentielle de l'histoire. On compose avec ou on laisse filer, sans se soucier des voisins... Il participe au plaisir. Au trouble. Mouillé, le bruit des claques sur les fesses semble plus dense, plus fort et emplissant la pièce. "Assourdi" ? je ne trouve pas au contraire. Possible que ce ne soit pas le mot adéquat.

Nush a dit…

Moins sec. Sans 'schlak'...:-)