24 janvier 2011

La voisine se fait fesser...

2167 - "Excitation derrière la cloison"...

Un texte que j'aime vraiment beaucoup, découvert sur "Fesseur Français", un site qui semble être l'ancien "Fesse rouge", contenant les mêmes rubriques présentées de la même façon, toujours aussi peu ergonomiques à la lecture...

"Ma voisine se fait fesser. Oui vous avez bien lu. Ma voisine se fait fesser ! J'en suis toute bouleversée. Statufiée. Émue. 

Excitée...

Ma voisine, cadre aux HLM, cette belle blonde trentenaire sûre d'elle se fait claquer les fesses par son homme comme une gamine. Alors des fois, quand je la croise dans l'ascenseur, elle a donc les fesses rouges et brûlantes sous sa jupe ?

Mon imagination tourne à toute vitesse. Imaginer ma voisine couchée sur les genoux de son homme les fesses à l'air me fait dresser les poils des bras. 

Et je vous garantis que c'est loin d'être le seul effet que cela me fait. Fantasmer sur la fessée c'est une chose, mais là, savoir que c'est vrai, que c'est réel, qu'à quelques mètres au-dessus de moi, de l'autre côté de la cloison, une paire de fesses est en train de recevoir une rouste... Waouh !
 
J'imagine ma voisine visage rougi plongé vers le sol, cul à l'air, grimaçant à chaque claque. Je suis certaine qu'il doit y aller de bon cœur, que ses grandes mains doivent se lever bien haut et claquer les jolies fesses avec force. Ah, elle doit la sentir passer, sa fessée !

J'espère bien d'ailleurs. Finalement je suis certaine qu'elle en mérite plein. Pas la peine de faire la fière dans l'ascenseur en répondant à peine bonjour ou bonsoir quand on se fait punir comme une gamine.

Faut qu'il la fesse sans pitié, qu'il la fesse jusqu'à ce qu'elle en ait les larmes aux yeux, qu'il la mette au coin avec ses fesses bien rouges et bien brûlantes en exposition, toute larmoyante... 

Et puis qu'il la fasse revenir vers lui pour qu'elle s'excuse pour la faute qui a justifié sa fessée. Et si les excuses tardent à venir ou ne sont pas sincères, paf, on la remet sur les genoux et on lui en recolle une !

Je les ai vu rentrer dans l'immeuble juste avant moi. Ils avaient l'air pressés. 

Quand je suis arrivée dans le hall, eux rentraient dans l'ascenseur. 

J'ai fait signe de ne pas m'attendre mais à la réflexion, je pense qu'ils ne m'ont même pas vue !

Je suis arrivée à la porte de l'ascenseur, qui était en train de se refermer. 

C'est là que j'ai entendu. 

Je n'en ai pas cru mes oreilles. Ça repasse en boucle dans ma tête.

- "Çà, ma belle, je te promets une fessée grandiose !" Monsieur semblait très en colère. Madame, tête basse et penaude, tenta de répliquer.

- "Mais..." 

- "Deuxième erreur, deuxième fessée de la semaine, félicitations..."

Là, la porte s'est vraiment refermée. Et l'ascenseur est parti. Et je suis restée figée comme une gourde, les oreilles toutes sonnantes de ce que je venais d'entendre. 

Une fessée ! Ma voisine va recevoir une fessée. Que dis-je: elle reçoit DES fessées. 

Son petit cul valsant sous les claques devient tout rouge, tout chaud, tout brûlant. Elle reçoit encore et encore, tant qu'il n'est pas satisfait du résultat. 

Elle doit faire la fière au début, elle a une tête à la jouer "même pas mal", mais il ne s'y laisse évidemment pas prendre. Il sait lui - j'en suis certaine - qu'il faut que le cuir soit bien tanné pour que la fessée soit bien donnée.

Rien que d'y penser j'en ai le rouge aux joues. Je me sens moite...

L'ascenseur s'est arrêté dans les étages. J'entends les portes s'ouvrir et se refermer. 

Est-ce qu'il va la fesser dès qu'ils seront rentrés chez eux ? Il avait l'air en colère. Il ne va sans doute pas attendre. La prendre par le poignet dans l'entrée chez eux, la traîner jusqu'au salon, s'asseoir sur une chaise, la coucher sur ses genoux et paf, paf, paf ! Son sac à main sera tombé par terre, il n'aura même pas pris le temps d'enlever sa veste, juste celui de lui relever la jupe. 

Paf ! Paf ! Paf ! Je ne sais pas ce qu'elle a fait ou dit, mais sûrement que l'offense mérite une sanction immédiate… et exemplaire !

Ah oui, j'espère que la fessée va être exemplaire. Longue. Cuisante.

L'ascenseur revient. Je vais rentrer chez moi à mon tour. Je ne sais même plus à quoi je pensais avant d'entrer dans le hall de l'immeuble, j'ai juste l'image de ma blonde voisine en train de se faire fesser en tête.

La tête me tourne. Mon cœur bat vite. Si je ferme les yeux je sais que des scènes de fessée vont s'imprimer derrière mes paupières. Il faut que j'ouvre la porte-fenêtre du balcon, on étouffe ici !

Je suis excitée à en avoir envie de faire pipi. Mon Dieu, qui aurait cru cela. Dans MON immeuble...

Porte-fenêtre à peine ouverte, j'entends le bruit ! Je vais défaillir, c'est trop bon, trop incroyable, trop jouissif. J'entends le bruit des claques sur la peau nue, ça ne peut pas être autre chose, les fenêtres de l'appartement du dessus doivent être ouvertes. 

Il est en train de lui flanquer cette fessée promise dans l'ascenseur, j'entends les gifles qui tombent !

J'imagine ce cul qui chauffe. Une fessée, j'entends une fessée donnée. "Rahhh lovely !" comme dit le personnage de Gotlib.

Ça n'arrange pas mon état. Mon esprit est en feu.

Mais vas-y ! Fesse-là, plus fort, encore, plus vite, encore, continue, n'arrête pas de la fesser ! Fais-lui perdre tout contrôle, qu'elle se tortille comme une folle pour échapper aux claques. Pas de pitié, donne-lui une bonne correction. Tape son cul, mais tape son cul ! 

S'il faut lui donner le martinet ou la ceinture, n'hésite pas à aussi lui zébrer un peu ses jolies cuisses à la donzelle. De toute façon, on les connait les filles comme elle, y'a que comme ça qu'ça rentre. Et encore, je suis certaine qu'elle recommencera, que tu seras obligé de la punir encore !

Il faut être sévère avec elle. Elle a besoin d'être tenue. D'être fessée.

Et moi ? J'ai l'air maligne, assise par terre dans l'embrasure de la porte-fenêtre du balcon, main dans ma culotte en train de délirer, quasi la bave aux lèvres...

Et moi ? 

Quand est-ce que je vais en recevoir une, de fessée ? Hein ? Quand ?"

12 commentaires:

Ellie C. a dit…

Putaiiiin !

Mais, faut absolument qu'elle lui mette un p'tit mot dans sa boite aux lettres, à sa voisine...
Un p'tit mot avec juste ça d'écrit : http://myblogstany.blogspot.com -
24 janvier 2011, sinon elle va se perdre :D

Erik A. a dit…

@ Ellie. Bon, admettons. Mais... Je n'arrive pas à bien saisir si le texte vous plaît ou pas, du coup. C'est sibyllin, et complexe parfois, les commentaires.

Ellie C. a dit…

Ah oui, mince, le sibyllin... ! :)

Non, ce texte est savoureusement ‘entendu' ! Je dirais même plus, grandiosement 'vu' ! La question 'chute', impatiente... !
Le fruit est mûr, mais que fait le jardinier ?

Erik A. a dit…

C'est rare qu'une histoire gaulée ailleurs résonne en moi. Mais j'avoue que j'aurais bien aimé l'écrire, celle-là.

Fût un temps où ma voisine aurait pu la rédiger en parlant de moi lorsque je partageais il y a plusieurs années ma vie et mon appart du XVIème avec une tendre amie bruyante et démonstrative que je fessais régulièrement il y a... Euh, longtemps.

Le jardinier jardine...

macaron a dit…

ça m'a fait plaisir de relire ce texte que je trouve vraiment bien écrit. Merci de l'avoir publié ici.

Erik A. a dit…

Merci Macaron. Je l'ai un peu "nettoyé" et fait quelques corrections de syntaxe (Gotlib) mais à quelques mots près, c'est pile pareil.

Ellie C. a dit…

C'est qui, qui l'a écrit, Quiqui... ?
Rahhh, elle lit Gotlib et fait des fautes... Surement quelqu'un de très bien ! :D

Stan/E. a dit…

Superbe texte à redécouvrir...

Kamalika a dit…

Ah oui je ne le connaissais pas ce texte...très agréable et putain...qu'est-ce que l'imaginaire peut vagabonder dans ces cas-là, pour ne parler de que ça... ! Un bon moment passé quoi ! Merci...

Stan/E. a dit…

Un texte qui a le sens du réalisme que je professe depuis toujours ici dans ce blog. À le relire, j'avoue qu'il me plaît toujours autant.

Anonyme a dit…

I love the punishment .. we are a couple in search of new adventures

Stan/E. a dit…

En français, en anglais... Le blog n'est PAS un site de petites annonces, hein.