13 août 2020

Good sound spanking ?

3514 - "Comics USA..."

Un petit tour chez nos amis Outre-Atlantique ?

Histoire de voir que là-bas, durant des dizaines d'années, que ce soit au cinéma ou en BD, la fessée tenait un rôle régulateur essentiel, coupant court aux discussions oiseuses dans le couple quand Madame, forcément, pousse le bouchon un peu loin...

Bref, c'était la norme admise et personne n'y a rien trouvé à redire durant des lustres: quand le dialogue tourne court, une bonne fessée devient passage quasi obligé.

Comme ce que fait Rusty Ryan avec Viper la bien nommée...

Une fois la fessée terminée, Rusty s’éloigne mais menace:  

- "Salut, beauté... Je doute fort que tu nous causes de nouveaux problèmes mais tiens-toi à carreaux, sinon je reviens t'en coller une autre !"

En voilà un qui sait parler aux femmes !
Dessin: “Rusty Ryan“ © Paul Gustavson - Quality Publications - 1949

11 commentaires:

Bruno y Mia a dit…

Te ofrezco mi blog

Mademoiselle G a dit…

Nous pouvons constater qu’il y a des remèdes efficaces à ces vexations conjugales ou amoureuses... Heureusement 😊

Stan/E. a dit…

C'est gentil, Bruno...

Laurette a dit…

Mouais...Je suis plutôt mitigée là!

Pauline a dit…

Tout le tact masculin dans ces paroles !!!!

Mademoiselle G a dit…

Exactement Pauline sans l’ombre d’un doute!!

Stan/E. a dit…

Chère Pauline, nous sommes absolument d'accord. Notons toutefois que cette BD date d'il y a plus de 70 ans, au passage.

Comment ça, "rien n'a changé !" ?

Mademoiselle G a dit…

Par contre si c’est le cas il ne faut rien laisser passer lorsque ce n’est pas voulu par les deux personnes.

Stan/E. a dit…

Je crois qu'il n'y a pas de doute à avoir sur ça, on se connait assez pour savoir pertinemment qu'il n'y a aucune sorte d'ambiguïté dans mon propos sur le sujet. Entre adultes consentants. Point barre.

Mademoiselle G a dit…

Je n’ai aucun absolument aucun doute justement! On se connaît assez pour que vous sachiez que je ne serais pas présente si j’en avais l’ombre d’un cher Stan...

Mademoiselle G a dit…

La contrainte n’est pas le propos et c’est une limite que j'abhorre et renie... Une offrande, un don de soi amoureux et/ou sensuel résonnent tellement mieux à nos savoureux jeux...