29 avril 2016

Filles très imagées...

3323 - "Les marques à la mode de chez nous..."

Je crois l'avoir déjà dit, je ne suis pas du tout amateur de ces petits tatouages qui ont fleuri sur le corps de nos compagnes depuis plusieurs années, à tel point que ça devient de plus dur de croiser quand on la dépiaute une demoiselle qui n'aurait pas quelque part au creux des reins, dans un pli fessier, au bas du cou, sur le mollet ou à l'envers du poignet, un de ces dessins, d'ailleurs plus ou moins bien réalisé.

J'aime les voitures d'origine... Pas trop les véhicules customisés.

Bon, je ne vais pas vous raconter d'histoires, je ne lui demanderai probablement pas de se rhabiller pour autant ni la renverrai manu militari dans ses foyers en découvrant la chose au détour d'une omoplate ou dans le dos. Quoi que...  J'aurais probablement dû, une fois.

Je confesse une réelle aversion par contre pour les placards publicitaires juste au-dessus des fesses attirant l’œil et que je trouve parfaitement disgracieux et totalement débandant. Les actrices du porno des années 90 ont amené les faux ongles peints et la french manucure, entrainé la disparition quasi totale des poils (on s'épile à la cire orientale, les filles, on ne se rase pas, de grâce !) au point que ça en deviendrait presque excitant de découvrir une touffe au détour d'une investigation dans sa culotte...

En fait, je préfère de très loin les marques que JE lui fais. Celle-là offrent l'avantage de pouvoir être redessinées à l'infini. Avec des variantes. Mais toujours sur les fesses. Voire sur la joue, avec une paire de claques si nécessaire. Tout dépend du jeu admis et de l'émotion. J'avoue que c'est excessivement rare et comment dire ? Un peu à la demande, tacite et formelle. Ça peut arriver et s'inscrire dans un désir. J'ai lu dans le mini-sondage que pas mal de filles avouaient pratiquer. On ne parle évidemment pas de violence conjugale, mais ça, si vous êtes ici, vous le savez aussi.

Alors non, c'est dit et tant pis si ça déçoit, mais je ne vais pas la marquer de façon indélébile, ni graver mon prénom dans un coin de son cul. (dur pour une surface ronde, de trouver un coin. Une fossette ou un pli, éventuellement ?) Et je garde le fer rouge pour les veaux, à la campagne.

Par contre, être deux, Elle et moi, à savoir au cours d'un dîner en amoureux ou en se promenant sur les quais de Seine au milieu d'une foule qui ignore tout de nos troubles désirs, que madame porte sous son jeans, sa robe ou sa jupe les stigmates rougeoyants de la dernière bonne fessée reçue est un plaisir rare que je souhaite à tous les lecteurs, donneurs, ainsi qu'à mes lectrices receveuses !

2 commentaires:

Mademoiselle G a dit…

Rassurez nous Cher Stan vous n’y avez pas sérieusement songé ? 😉

Stan/E. a dit…

Songé ? Marquer au feutre, sans doute, mais je l'ai dit, j'aime les voitures...et les filles "d'origine".''