Alors je ne sais pas trop pour la règle tenue en équilibre sur les pieds... Un gage de plus ?
Mais ce genre de photo, inspirante en diable (encore l'Enfer...) fait partie de celles qui me parlent.
Au début de ma "carrière" et d'ailleurs durant de longues années, je ne comprenais pas tellement l'importance du coin pour y laisser la punie récupérer après une bonne fessée, mais les années passant, avec le temps et leurs conseils à elles (!) j'ai saisi que ce moment de latence prenait toute son importance et devenait même nécessaire, pour l'une comme pour l'autre, d'ailleurs...
Je crois bien avoir commencé ce petit jeu avec le coin vers 2008, en Alsace... J'ai poursuivi ensuite, ailleurs. Dans d'autres endroits, d'autres pays, avec d'autres complices... De temps en temps. Parce que si pour certaines, c'est hyper important et joue sur le trouble et la libido, pour d'autres ça n'a pas trop de sens et n'apporte rien que faire sortir du jeu. Alors on fait en fonction.
Ah, depuis j'ai un petit coussin pas loin, dans un coin de la chambre à coucher, just in case. (oui, faut préserver ses genoux... Je ne suis pas cruel à ce point et puis pour la suite, c'est mieux...)
Sur le sujet "coin", votre avis m'intéresse, vos expériences personnelles et en particulier (pardon messieurs) votre ressenti de femme également, que vous trouviez ça génial et indispensable ou stupide et inutile tout autant !
Mais ça, c'est comme d’habitude, vous savez pertinemment que les commentaires des lectrices/teurs font l'âme d'un tel blog en maintenant une certaine convivialité entre nous.
Et parce que l'échange, y'a que ça de vrai, très au-delà de ces récits inventés qui font flores sur la toile pour beaucoup de blogs consacrés au sujet mais n'ont pas d’intérêt, si ce n'est de faire fantasmer le lecteur ou la lectrice sur une partition connue, avec tous les poncifs usuels de la littérature de flagellation, à la manière de la célèbre collection des orties Blanches...
Vous me direz que c'est déjà pas mal, mais je préfère le réel et l’authentique en la matière.
Et puis, hein, la culotte fendue, ça a son charme, comme je l'ai déjà dit plus haut. Au théâtre, on parlerait là de “rideau encadrant la scène“.
... Et quelle scène !
Image © ?
12 commentaires:
La règle sur les pieds, c'est génial. Ça signifie que si elle tombe, on recommence la punition au début ��
Alors pour la question du coin en ce qui me concerne j'aime pas. Je trouve que ça me colle une honte supplémentaire dont je me passerai bien et je me sens comme une sale petite gamine qu'on corrigé et j'ai encore du mal à accepter ses émotions là.
Il m'arrive donc d'y aller mais c'est extrêmement rare et puis en général, on me demande pas mon avis.
En fait, ce qui me déplait, c'est de savoir que je suis observée, c'est de rester immobile là, sans rien faire. Ça ne m'apaise pas, ça ne me rassure pas. Ça ne me permet pas vraiment de réfléchir sauf cas particulier.
La photo est sublime et au coin à genoux ça un côté moins petite fille et plus aguicheuse qui me plaît bien.
En même temps, chère Céline, la honte de recevoir la fessée quand on est une jeune femme responsable et adulte est un adjuvant pernicieux et sans doute qu'on ne te demande pas ton avis dans ces cas-là, je présume ? "La sale petite gamine", c'est un truc qui fonctionne, à preuve. Et ce qui te déplait excite l'autre. Mission accomplie. Veinard !
Et oui, la photo qui est d'origine en noir et blanc est magnifique. (je me suis contenté de coloriser la peau... et de rougir cet adorable derrière !)
Je n'ai jamais expérimenté le coin. Parce qu'à l'époque du réel et de l'authentique, cela n'éveillait en moi aucune émotion, en dehors d'un ennui certain. C'est que je ne bois jamais aussi bien ma honte que dans le reflet de Son regard. J'ai besoin de cette interaction visuelle pour vibrer et rester en tension, raison pour laquelle je n'apprécie pas davantage le bandeau sur les yeux.
Et puis je crains que cette pause plus ou moins prolongée ne vire à l'interruption définitive en m'offrant un aller sans retour vers le quotidien et ses petits tracas qui ne manqueraient pas d'en profiter pour ressurgir et s'imposer à mon esprit. Je me vois mal retourner au jeu sitôt après avoir égrené la liste des tâches en souffrance au boulot, tant il est vrai que j'ai besoin de temps et de "préparation" pour m'autoriser à vivre ces instants suspendus et à m'abandonner à l'autre.
Aujourd'hui, je ne sais pas, je crois que j'aimerais essayer... Mais pas longtemps ! C'est qu'à force de lecture de récits inventés (ou pas) sur des blogs consacrés au sujet, j'avoue que cela finit par ma titiller le fantasme. Enfin disons que je suis curieuse de savoir ce que ces demoiselles peuvent bien lui trouver, à ce coin, en dehors d'un peu de poussière oubliée !
Ah, la poussière. munissez vous de ce qu'il faut pour faire d'une pierre deux coups... C'est vrai, plus sérieusement, que pour se retrouver pleinement dans un jeu érotique il faut a minima y croire dans l'instant pour être bien "dedans". Et que on peut facilement être distrait si on reste en surface, attiré par un motif de papier peint ou une toile d'araignée dans un coin du plafond.
Je l'ai dit, c'est assez récent pour moi, et j'en aurais ri, sans doute, avant d'y trouver désormais un attrait certain, pour peu qu'on en soit persuadés l'une et l'autre. J'aime éviter le "mais qu'est-ce que tu fais ?" d'une femme qui ne serait (peut-être par ma faute d'ailleurs, j'en conviens) pas du tout dans le tempo, ou pire éclaterait d'un rire nerveux quand on lui cause avec des mots qui la choquent...
Bonjour Stan,
Le coin, on pratique peu, pas trop le truc de Monsieur.
Mais j'y suis allé avant la fessée et après, tirée par l'oreille.
Avant ça exite franchement... Et il y a se petit côté trouille qui se transforme quelque temps plus tard en cyprine... Délicieux.
Quand au coin, après la fessée ça m'arrive peu mais j'avoue que c' est vexant au possible.
Monsieur me laisse en général sur le lit, allongée sur le ventre, position qu'il affectionne pour les vraie punition.
Alors, le visage caché dans mes bras je peux me laisser aller aux larmes.
Pas celle de douleurs non (même si j'ai les fesses en feu). C'est des larmes salvatrices. Elles me permettent de me sentir apaisée.
Donc pour en conclure : le coin, oui, mais je le prefere avant... Si dans le feu de l'action la trouille est embarassante (on se dandine comme une gosse, on a envie de pleurer... Enfin... Pas top du tout pour une femme responsable), elle est pour moi un inconditionnel d'une bonne fessée. Je suis une accro à l'adrénaline.
Alors être tirer prestement par l'oreille apres un mot trop haut, une colère injustifiée... Emmener dans un coin pour y reflechir 5mn le cul à l'air avant de me retrouver soulevée du sol, les jambes pendantes, en equilibre sur le genou de Monsieur et fessée.... Bin forcément... Hein... Le pantalon de mon spanker saura vite que j'aime ça.
Merci une fois de plus pour ces commentaires éclairés, qui donnent de la vie au blog avec des témoignages vécus !
Bonjour Stan, le coin ne m’inspirait pas du tout pendant pas mal d’années et je l’ai longtemps trouvé ridicule voir risible pour ma part. J’y pense depuis quelques temps pour l’envie d’essayer et de découvrir. L’envie de laisser l’homme « admirer son œuvre » encore faudrait-il trouver le bon moment pour expérimenter véritablement quelque chose qui ne me déplaît plus et qui m’intrigue pas mal. J’aime essayé des choses nouvelles ou inédites pour moi, pour nous. Pas toute en même temps bien-sûr 🙄 . Qui viendra verra !!
Vivra verra !
En même temps « la vilaine » !!
Bonjour
Cette semaine, Monsieur a décidé que j'irai au coin tous les soirs. Il a besoin de tester, de se calibré l'a t'il dit.
Avant hier c'était presque normal, il m'y a emmenée, a glissé ma culotte vers le bas et m'a fait patienter là.
Hier, j'ai reçu un message pour y aller, seule et entièrement nue. A genoux (merci pour le coussin !) et les mains dans le dos.
Je le sentais m'observer, mais il ne disait pas un mot. Je sentais sa présence, mal à l'aise, honteuse de ma situation. Se sentir ainsi observé, son silence, c'est tellement humiliant. Je crois que j'aurais préféré qu'il s'occupe de moi, qu'il me mette une grosse fessée. L'impression d'être de retour à l'école primaire, ou chez les grands parents ou le martinet n'était jamais très loin.
Mon corps tremble, j'ai froid, j'ai honte, j'ai envie qu'il me parle. Je suis mal à l'aise, je n'aime pas, je me sens exposée comme une bête, et pourtant, mon corps sécrète cette cyprine, signature qu'il est moins mal à l'aise que moi.
Décidément, le coin reste une expérience à part.
Sarah, bafouée
Merci pour ce partage. Décidément, vous progressez de jour en jour vers un "dressage" nécessaire et consenti (heureusement !) progressif et efficace !
@Sarah: De jour en jour, vous glissez tous les deux dans une conjugalité restaurée puisqu'en train de trouver votre propre histoire de couple pour éviter qu'il ne s'étiole inexorablement …
Et probablement que cette nouvelle façon de vivre le fantasme qui VOUS corresponde et que vous appréciez l'un et l'autre en vous renouvelant sensuellement vous sauve de l'inévitable lassitude et de la routine en remettant des braises nécessaires au sein du foyer (oui, parfois je deviens lyrique !)...
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