Affichage des articles triés par pertinence pour la requête red charls. Trier par date Afficher tous les articles
Affichage des articles triés par pertinence pour la requête red charls. Trier par date Afficher tous les articles

28 mai 2008

Nouvelles images chez Red Charls...

580 - Je suis très "client" des images de monsieur Red Charls...

L'homme fait de magnifiques images, avec un sens artistique évident et il m'est arrivé de lui en emprunter certaines pour illustrer quelques-uns de mes posts, depuis plus de deux ans que je réalise ce blog...

Il me semble parfois au vu de ses photos que j'aurais pu les prendre de la même manière. Qui sait ?

Mais je ne me balade pas avec un appareil numérique sur moi, et quand bien même, je garde les images du film comme "gravées" rien que pour moi.

Je fesse (si, si, ça m'arrive...) sans qu'il me vienne à l'idée en cours de route de lui dire de garder la pose pour immortaliser son cul par moi rougi.

Au fond, tout est dans mon "disque dur personnel", ce petit truc dans la boîte crânienne qu'on appelle le cerveau.

C'est égoïste, mais totalement définitif: il n'y aura jamais de photos, mon univers fessée n'appartient qu'à moi...

... et Elle !

Bref, un petit mot de Red Charls:

"Je viens d'ouvrir une nouvelle page, on y entre par la galerie "les maux pourpres", la philosophie reste la même, mais les photos sont plus nombreuses, plus grandes et visibles sous formes d'un diaporama, cela possède un coût que je comble par un accès payant, somme modique, puisque équivalent au prix d'un timbre poste: 0,56 € pour 24 heures de navigation et de fantasme..."

Je viens d'y aller jeter un coup d'œil... Ça vaut le détour...


28 février 2010

White cheeks, pink ass, Red Charls !

1526 - J'ai forcément de temps à autre utilisé pour illustrer mes élucubrations fessières des photos de Red Charls, qui sont sur le sujet fessée sans doute celles dont je me sens le plus proche.

Au-delà de la subtilité du jeu de mot...

En clair, je veux dire que j'aurais pu les faire, si on parle là sensibilité et non technique pour laquelle je ne suis équipé que d'un petit numérique...

Au pire, s'il le fallait, je m'outillerais. J'ai déjà les mains...

Manquera juste un truc essentiel évidemment: les modèles...

Il y avait un petit moment que je n'étais plus allé visiter ses galeries de photos. Il y en a, me semble-t-il, trois fois plus que l'an passé !

Mais où diable trouve-t-il donc toutes ces dames que l'on voit sur ces images, toujours esthétiques et osées, mais jamais vulgaires ? Il faudrait que je lui demande ça, une petite interview, sans doute, pour en savoir plus sur les motivations des acteurs/trices.

Enfin, les siennes, je me doute, intéressons-nous plutôt à celles des filles qui viennent ingénument jouer des fesses devant l'objectif du photographe... Parce qu'il y en a des dizaines, apparemment. Pourquoi, comment ? Je ne crois pas avoir lu qu'il les paye...

D'où viennent-elles et quel intérêt personnel trouvent-elles dans cette exposition virtuelle ? Plein d'interrogations...

On lit dans ses images une tendresse palpable, quelle que soit l'incongruité de la scène qui voit des demoiselles déculottées se tordre sous les lanières d'un martinet, d'une trique ou simplement à la main pour être empourprées du cul dans un superbe envol de jupes...

Et dans un anonymat respecté, au travers de cadrages adéquats.

Il y a une série prise au jardin public qui me fait sourire, parce que j'ai déjà un peu approché l'idée de temps à autre... Tout en évitant les voyeurs dont les motivations glauques ne sont pas les miennes et n'apportent pas grand-chose à l'histoire. Je n'ai pas vocation à nourrir les frustrés et les obsédés qui rôdent dans les bois...

Si vous ne connaissez pas son travail, c'est le moment de découvrir...
Images © Red Charls

09 mai 2020

Raide ? Red !

3478 - "De bien belles images. Et c'est en couleur..."

Des photos ? De fessées ?

Je vous ai forcément parlé de temps en temps de mon ami Red Charls ! Qui n'est pas du tout non-voyant, hein... pour notre plus grand bonheur.

Bon, ok "ami" est sans doute un peu exagéré, on ne s'est réellement croisés lui et moi qu'une fois il y a bien des années dans un club de l'île Saint-Louis, privatisé une fin d'après-midi ensoleillée le jour du vernissage de l'expo Waldo, disons qu'on est frères de cœur... Enfin, on va dire de cul !

Et puis en en parlant récemment avec une amie branchée à peine quadra, je découvre qu'elle ne connaît pas du tout son travail et je me dis alors que toute une génération de nouvelles lectrices ne doit pas davantage connaître le personnage, ni ne pense - et pourquoi pas ? - d'aller, oui VOUS mesdemoiselles et mesdames, poser sous son objectif !

Bien entendu, on ne voit pas les visages, hein.

Mais c'est marrant, quand j'ai une photo de dos d'une amie les fesses à l'air et rougies (si, ça arrive !) la dame est toujours très soucieuse que je ne la montre à personne, pensant sans doute que tout un chacun l'identifie instantanément, rien qu'en voyant son cul...

"Oh putain Maurice ! Mais c'est pas Jeannine, là ?"

Et ça vous fera des souvenirs personnels émouvants pour plus tard, quand viendront la nostalgie et les longues soirées d'hiver qui vont souvent de pair...

Alors je répare.

Vous n'y trouverez pas de textes, mais par contre toute une série de galeries diverses de photos érotiques de grande qualité bien entendu principalement autour du thème qui nous est cher à toutes et tous si on vient ici suivre mes plaisirs "au fil des jours..."

Mais pas que.

J'ai un faible pour ses images et bien entendu je vous recommande chaudement (et c'est le mot...) sa "Place Rouge"...

Si avec ça, cet enfoiré ne voit pas arriver à lui un afflux de petites nouvelles désireuses de se faire tanner le cuir dans son atelier...

Ah... Avant d'entrer, il y a un mot sur la porte...

Site interdit à toute personne mineure ou gavée de préceptes monothéistes.
Ce site est dédié à la représentation photographique 
d'une théâtralisation érotique au travers de la domination 
et de son corollaire la soumission 
dans un rituel élaboré et accepté par avance 
dans le but d'obtenir une abdication et un abandon temporaire. 
Il s'agit ici d'accéder à un niveau de conscience 
qui permettra d'exprimer leur pulsion 
à l'unique objet de mon désir et de mon attention : 
"ELLES"..."
Images © Red Charls

03 janvier 2009

Red voeux...

867 - Après celle de Waldo, nouvelle carte de vœux, émanant cette fois de Red Charls, que je vous engage à découvrir si vous ne le connaissiez pas encore, ce qui me surprendrait. Des images de qualité et des "modèles" superbes, sans pour autant être des femmes à la plastique "improbable" retouchée sous Photoshop ou des actrices de films de cul, comme souvent.

Celles-ci sont féminines de chair et de sang, "posant" admirablement bien en cadence sous notre regard de voyeur... Il faudra d'ailleurs qu'un jour il me raconte où il trouve toutes ces volontaires d'accord pour être ainsi photographiées et immortalisées sur le Net...

Photo © Red Charls

15 avril 2016

Cœur de cible...

3315 - "Viser juste..."

(C'est une sorte de petite annonce. je recrute !)

Une magnifique image de l'ami Red Charls... Je me suis juste amusé à cibler mes préférences, ce qui ne surprendra à priori personne.

Les photos, j'ai des idées, artistiques, pour en faire à mon tour. Parce que je voudrais dessiner un album de BD érotique sur le sujet, pour lequel je souhaite réaliser mes propres images de facto comme base graphique.

L'idée est de chercher avec quelques féminines volontaires - que l'envie titille et qui sont fières de leurs fesses - l'inspiration et de la mise en scène esthétique autour de notre sujet préféré, évidemment sans reconnaître sur les dites images ainsi prises le visage des dames. Si ça vous amuse de participer à ma future création et de faire partie de cette expérience autant graphique que sensorielle (ben oui, on fera ça un peu en "vrai" quand même...), venez m'en causer... pour les modalités !

Et ce en toute discrétion, ça va sans dire.
Image © Red Charls

17 août 2012

Le miel de son piège !

  2805 - "Dans la pénombre du hangar..."

Elle signe "vilaine fille", j'ignore si elle l'est vraiment. Mais quel joli brin de plume, notamment pour cette "heure de feu" qui sent bon la Provence et l'herbe sèche, tandis que stridulent les cigales sur le troncs des oliviers.

"C'est l'heure sans ombre. L'heure de feu. La grande cour est déserte, brûlée de lumière blanche.

L'homme pousse la lourde porte en bois et pénètre dans l'obscurité du hangar. Il s'avance entre les deux vieux tracteurs, puis contourne un amoncellement de caisses vides qui forme comme un mur de plusieurs mètres de haut.

La femme est là, derrière le mur de caisses. Tête basse, immobile et silencieuse.

Mais sa poitrine se gonfle et se dégonfle à un rythme rapide. Et ses jambes tremblent un peu, quand on regarde mieux.

Il s'arrête à deux mètres mais elle tressaille comme s'il l'avait touchée.

Elle lève les yeux et se tend brusquement, se creuse en arrière, tire sur la corde qui lui entrave les poignets.

Sa peur le fait bander encore davantage...

(...) Lentement, il tourne autour d'elle. Elle se fige lorsqu'il passe dans son dos. Il entend sa respiration qui s'arrête, il voit ses fesses qui se contractent. Son cul rond à la peau lisse.

Ce cul qu'il a vu en photo, il n'y pas si longtemps. Parmi toute une série commandée par un autre que lui.

Elle lui avait annoncé ça sereinement, comme une preuve de sa bonne volonté à aller de l'avant, à faire de nouvelles rencontres. À peine un peu gênée quand il avait insisté pour en avoir copie et qu'elle avait fini avait céder. "Pardon... Ce n'est pas très "artistique"... blablabla !"

Tu parles. Des poses de pute, oui !

Sa main part avant même qu'il l'ait décidé. Elle se lève et s'abat là, sur le bombé de la fesse droite. Puis en revers, sur sa jumelle.

Elle crie alors que c'est déjà fini...

(...) Il la ceinture et presse son bassin contre ses fesses, lui fait sentir sa queue gonflée de colère et d'envie, sa queue qui n'aurait qu'un demi-tour à lui faire faire pour combler son attente éperdue, mais qu'il ne lui donnera pas.

Elle se cambre, s'écrase d'elle-même contre le tissu rêche, contre le fer des boutons. Lascive, quémandeuse.

... Espérant peut-être l'attirer dans le miel de son piège !"
(suite)
Texte © Vilaine fille 
Image © Red Charls

25 novembre 2008

Serpent de cuir noir...

809 - On déballe les cadeaux. C'est mon anniversaire et nous sommes en petit comité, des amis en couple qui veulent fêter mes 30 ans avec moi. Un paquet, oblong attire mon regard...

Je l'ouvre, arrachant le joli papier cadeau. Une belle boîte, siglée Hermès. Madame a fait des frais. Une ceinture ?

- "Ou une cravate..." me souffle une des invitées...

Presque. À une lettre près...

C'est une cravache, fin serpent noir endormi entouré d'un papier de soie qui crisse sous mes doigts. Silence gêné en soupesant la longue tige de cuir... Un bel objet. Qui provoque un ou deux petits rires perlés, nerveux.

... De femmes.

- "Tu montes à cheval, E. ?"

- "Euh, à vrai-dire... Non."

Banal effet de manches, dérive amusée des convives. On délire un peu sur les plaisirs de l'équitation ainsi que de l'usage qu'on peut, que l'on doit faire de l'ustensile. Et très vite on passe à autre chose. Et à table...

Mes amis sont "vanille", aucun à ce que je sais (mais sait-on jamais vraiment ?) ne se passionne pour la fessée. Certes, à y regarder de plus près, j'ai l'impression que les yeux de certaines de nos invitées brillent un peu en jetant un regard en coin vers cette longue boîte, même une fois rangée parmi les autres paquets ouverts.

Du moins me semble- t-il. Le prestige de la marque, ou le champagne, sans doute. Sûrement...

Celle qui me fait ce cadeau volontairement en présence de nos amis est ma femme d'alors... Qui rigole en douce. "Assume, mon gars..."

On s'en est servi. Le soir même, une fois les invités partis.

- "Allez, bonne continuation, les amis. Et... pas trop de folie de vos corps, hein !"

- "Ce cadeau, c'est un signe, non ? Mets-lui le cul en feu ! " me souffle à l'oreille la grande Sophie, une de mes copines qui n'a jamais tellement aimé la maîtresse de maison (à la place de laquelle elle se serait bien vue, à un moment) et rejoint sa voiture en compagnie de son jules avec un petit hennissement moqueur assez réussi...

Soso n'a pas ajouté "... à ta pute !", mais le cœur y est..

Donc, la cravache...

Un regard vaguement trouble. Là encore, plus à mettre sur le compte du champagne que du désir.

Mais autant en profiter...

On monte. On se lance. Juste assez pour que je me rende compte que ne joue pas avec le feu qui veut. Deux coups. Deux brûlures. Rien de bien excitant ni pour elle ni pour moi, on est dans l'expérience et au fond, elle n'aime pas du tout ça, puisqu'elle n'a aucun fantasme avoué ni recensé...

On fait l'amour, "devoir conjugal" au cours duquel elle pousse juste un petit cri quand j'effleure la mince balafre rouge...

J'ai heureusement eu d'autres "approches"... Plus concluantes.

Cette cravache, on ne s'en est servi qu'une fois.

Depuis plus de vingt ans, elle doit donc toujours reposer dans sa boîte dans un coin du grenier de mon ancienne maison et au milieu d'un fatras de cartons. Un jour peut-être sortira-t-elle de l'ombre pour aller finir dans une brocante ou un vide-grenier, servir d'autres plaisirs... Qui sait ?
Photo © Red Charls

28 mars 2012

Livre à trois mains...

 2668 - "Souscription ?"

Un livre écrit par Arthur Flanagan qui en a déjà deux autres dans le genre à son actif. J'en avait parlé il y a quelques années... Illustré par des images superbes de Red Charls qui nous ouvre sa photothèque et mis en page par mes soins.

Voici déjà le projet de couverture à rabats, en à-plat.

Comme on dit, une version qui n'est pas "contractuelle" et évoluera d'ici la sortie...

Le bouquin est écrit et passe intégralement en feuilleton sur le site... Il aura une première version numérique, mais n'existera "physiquement" que si nous obtenons suffisamment de souscripteurs pour en sortir une version papier classieuse dont dont je me chargerai sur le plan artistique ...

Autant commencer à en parler maintenant, pour voir qui nous suivra dans l'aventure éditoriale de ce livre érotique pour lequel il nous faut probablement en vendre 300 afin de financer le tirage

On vous en recausera...

28 juin 2008

Passage à l'acte ! (un texte d'Elle)

618 - "Baisse ton pantalon et ta culotte !"

Il n'élève pas le ton. Au contraire... Parlant doucement mais en appuyant chaque syllabe, Il a planté ses yeux dans les siens à l'affut de ce qui l'anime et l'émeut: son trouble et sa honte, à Elle.

Incrédule et confuse, battant des paupières, Elle l'interroge du regard. Il aime jouer de ses hésitations, celles qui signifient que son cœur s'emballe...

"Vite ! Ou tu préfères que je me fâche tout de suite ?"

Il sait aussi qu'Elle n'aime pas ça, qu'être exposée sans la proximité de son corps et de sa peau à Lui pour la rassurer la met décidément mal à l'aise et la plonge instantanément dans cet état de vulnérabilité qui la rend d'autant plus précieuse...

Fragile rebelle...

C'est ce contraste-là, l'abandon de toutes ses défenses, sa mise à nu, le don de sa faiblesse qui le gonfle de fierté et d'amour, de désir protecteur et d'envie de lui montrer qui, au final, décide...

Les yeux baissés, jean et dentelle blanche aux genoux, doigts maladroitement emmêlés, Elle attend. Sous son regard silencieux...

Jusqu'à ce que - rompant le charme - Il l'attrape par le bras, l'entraînant doucement vers le lit.

Assis sur le rebord, Il l'attire, la courbe, l'allonge en travers sur la courtepointe bleue, sa taille fermement maintenue sous son bras et ses fesses offertes.

Il est là, le bijou argent et noir ! Fiché en Elle, comme Il l'avait exigé, et sa vue le comble.

Aussitôt les premières claques s'abattent, vives, lestes...

Deux mois... Des nuits de tristesse de la croire perdue, d'abattement de l'avoir laissée s'échapper, puis d'espoir de la voir revenir... Et enfin d'envie de la corriger comme jamais !

Sa main légère d'abord, se maîtrisant pour une "mise en route" qui s'annonce longue, marque une pause, caressant les globes déjà délicieusement rosés.

Ses doigts glissent alors vers la pierre noire, cible visible, l'appelant de son éclat brillant. Il saisit délicatement le bijou, le retirant de quelques centimètres, laissant apparaître le renflement d'acier avant de l'offrir à nouveau à l'appel des profondeurs.

Elle ne dit mot, à peine devine-t-Il un léger gémissement (de honte, de plaisir ?) et son souffle léger mais saccadé qui ne s'apaise pas...

La fessée reprend de plus belle cette fois, main plus lourde, rythme accéléré. Elle commence à s'agiter et Il sait qu'Elle serre les dents. Cette fichue fierté dont Elle ne se dépare pas, même dans ces moments-là !

La peau vire au carmin et sa main tente de s'interposer.

Il en saisit le poignet avec une douceur contrastant étrangement avec la force de son emprise et lui assène une dernière salve crépitante dont le bruit significatif et reconnaissable entre tous emplit la chambre. Tout en dansant sur ses genoux, écarlate de honte et le rouge aux joues autant qu'aux fesses, Elle ne peut s'empêcher d'y penser.

Mais Elle le sait, pour lui, qu'importe ce que penseront leurs voisins...

Alors qu'Elle tente de se redresser, Il la retient sous son bras, la maintenant dans cette position humiliante et palpitante à la fois.

Et le jeu reprend:

Écartant ses fesses des deux mains pour laisser apparaître toute l'obscénité du petit bouchon luisant, il s'amuse à le faire coulisser dans l'étroit conduit, assouplissant par là-même l'entrée qui Lui servira, quelques instants plus tard...

... Lorsque, prosternée entre ses cuisses puissantes, son Chaperon au cul rougi implorera le pardon du grand Méchant Loup, comblée d'être redevenue son mets préféré.

Photos: © Red Charls

Illustration: © Emi Hotaru

Texte © Elle

23 mai 2009

Quand l'amour s'emmêle... (les pinceaux)

1017 - Une bonne fessée...

Drôle de façon de montrer à la femme que l'on aime l'importance qu'elle revêt à nos yeux, j'en conviens... Vrai que c'est bizarre quand on y pense !

C'est pourtant depuis des années et des années devenu mon jeu érotique préféré, celui qui me donne le trouble le plus intense.

J'avoue, c'est logique, ça n'a pas toujours été la panacée avec certaines dames trouvées sur mon chemin amoureux.

Pas de remords, pas de regrets et encore moins la frustration destructrice de celui qui "n'ose pas", j'ai toujours proposé, au moins... (Je n'ai pas dit "imposé". Le jeu pourtant s'y prête, on n'est pas loin d la domination, parfois...)

Avec plus ou moins de bonheur. Évidemment.

Bien plus de réussites que de ratages. Ouf, l'honneur est sauf.

Certaines ont aimé énormément, peut-être - qui sait ? - poursuivi le jeu ailleurs, après m'avoir croisé. "Une fessée ? Mmmm... J'adore !"

D'autres n'ont pas du tout aimé (au moins, notez ma force de persuasion, toutes ont tenté pour le savoir, c'est déjà bien) et le jeu s'est arrêté de lui-même, très vite.

Sans intérêt de SA part, comment jouer la partition duo en solo, du coup ? "T'es gentil, mais tu arrêtes ! Non, tout de suite !"

D'autres encore n'avaient envie que de ME faire plaisir, sans connaître ni y avoir pensé mais à part une chaleur passagère n'y ont rien trouvé d'intéressant, en tout cas de potentiellement excitant pour LEUR libido. "Tiens non, sympa, mais c'est pas mon truc"... Pas suffisant pour continuer.

Exit le fantasme.

Certaines, "révélées" ont adoré et inclus l'envie derechef dans leur petit théâtre d'ombres personnel. Puis probablement développé autrement d'autres désirs, ravies d'avoir grâce à moi "tout testé"...

Plusieurs ont tenté d'aller plus loin, flirtant avec les frontières du SM ! Une particulièrement, s'y perdant même un temps, avant de quasiment "prendre le voile" (j'exagère à peine...) après avoir tué en elle - à force d'excès - toute velléité érotique.

Certaines ont été ENCORE plus loin. Plus loin que moi. Parfois effrayées de ce qu'elles découvraient d'elles... Parfois pas.

J'ai rarement joué avec des inconnues qui ne m'était rien: comme je l'ai souvent dit, la chair est faible, et parfois j'ai pensé que l'appétit viendrait en mangeant... Deux fois, je crois. Tenter de susciter le trouble, trop facile avec une fille qui attendait un maître et baissait les yeux par avance en frémissant rien qu'à me regarder.

Du genre qui se couche quand on leur demande de s'asseoir. Pas mon truc. Et "maître" je ne suis point...

Échecs patentés, qui ne donnent pas envie de recommencer. Je n'ai pas recommencé.

Mieux vaut - je le sais depuis, avec l'expérience - que ces envies de fessée et la "mythologie" qui va autour viennent d'elle. Que ce soit un pur fantasme, déjà bien ancré dans les envies de la fille.

J'ai dit plus haut et d'ailleurs dans d'autres posts à quel point j'avais personnellement induit ces plaisirs fessiers, initiant mes amies femmes néophytes - amantes profanes - aux rougeurs que procure l'application d'une bonne fessée.

Mais c'est avec UNE femme qui avait DÉJÀ cette envie là en Elle, sans que je ne la dirige insidieusement vers ma main, que j'ai découvert et développé les plus fortes émotions...

Même quasi débutante (mais apprenant vite !) quel impact de ressentir son trouble de passer à l'acte d'un fantasme qu'elle s'était découvert seule, de lire dans ses yeux le désir, de savoir que je participais ainsi à son abandon, cette façon de me donner les clés, en toute confiance...

L'amour s'en est mêlé sans crier gare. Inattendu. Fort. Chaleureux. Rare. Précieux...

Unique.

Génial de savoir qu'on procure ces émotions intenses et que l'on permet la mise en pratique d'un fantasme, en osmose, en toute complicité avec une femme qu'en plus on aime...
Photos © Red Charls

30 janvier 2009

Accrochée à sa cheville ! (2)

892 - Une suite très courte, délicate et tendre d'une de mes lectrices...

"Lorsqu'il permit à ses petits pieds de toucher à nouveau la moquette, Il n'avait qu'une envie: la serrer très fort dans ses bras.

Et Elle s'y blottit, cachant ses joues empourprées dans son épaule, une main agrippée à son cou, l'autre cherchant à calmer l'incendie de ses rondeurs.
Une culotte en soie crème ornait délicatement sa cheville gauche..."

Texte © ?
Photo © Red Charls

22 février 2012

Balade sur un site ami...

 2627 - "Flânez donc un peu..."

Non, contrairement à ce que pensait une amie, je ne suis évidemment PAS Arthur Flanagan. Qui a son propre univers, parfois très proche, parfois très éloigné du mien. Le gaillard possède d'ailleurs à son actif plusieurs livres parus sur le sujet...

Nous avions évoqué il y a un an un projet commun de réunir ses textes et mes dessins qui nous a un temps tenus en haleine, mais manque de temps de mon côté, l'idée de départ a évolué et on se dirige davantage vers des livres illustrés par les superbes images de l'ami Red Charls...

Arthur, je l'ai aidé à concevoir un blog.

Et on pense à un budget, une souscription et ensuite lancer un livre d'abord en numérique, avant de pouvoir imprimer une œuvre papier... En attendant, il y a un public.

11 juin 2010

Réunion de famille...

1729 - "Vendredi 11 juin, fin de journée à l'île Saint Louis."

Je file vers 17 heures sous un beau soleil en plein centre de Paris y retrouver l'ami Waldo pour cette fameuse séance de dédicace de son petit bouquin dont j'ai parlé à plusieurs reprises. Facile de se garer boulevard St Germain, il me suffit d'ensuite traverser la Seine.

Je rêve d'un sorbet de chez Berthillon, appétissante suggestion d'Ellie dans un commentaire récent, mais je n'ai pas pris de monnaie et c'est à regret que je m'en passerai...

C'est l'éditeur et libraire Fabrizio Obertelli qui m'accueille dans cet endroit "de la nuit" habituellement club libertin mais qui ne le redeviendra que vers 21 heures, après la signature... Je descends l'escalier de pierre pour y retrouver à la cave notre Waldo national que je n'ai pas vu depuis quelques années mais que je suis ravi de recroiser.

On discute avec passion entre "artistes" en regardant les originaux d'images magnifiques, des aquarelles superbes (il faudra bien que j'investisse) et les photos en noir et blanc dont certaines, des photomontages préfigurant les fameuses "lilliputiennes"; sont absolument splendides et bluffants...

Et puis comme le public arrive, la vedette de la soirée s'attable pour signer. C'est bien sombre, mais il y arrive malgré le manque de lumière sûrement circonstanciel pour une soirée SM, mais un peu perturbant pour tout voir en détail et écrire sur ses bouquins...

C'est une vraie réunion de gens qui se connaissent quasiment tous sur le net mais pour la plupart ne se sont jamais vus en vrai... Alors, qui était là ?

Quelques personnalités du forum DD sont venues investir dans le petit livre rouge. Par exemple, il m'a bien semblé reconnaître Yuuna et Callipyge autour du maître, mais toutes deux se sont éclipsées avant que je ne me présente...

Mais je découvre et je cause avec un Samuel agréable et souriant, suis charmé par Ellie et son rire entraînant, croise Red Charls dont j'aime tant les photos et qui fera, c'est promis l'objet d'un post très bientôt, découvre au moment de partir notre petite française qui commente mes messages vers 4 heures du matin et d'autres gens très sympas qui n'ont pas tous révélé qui ils étaient.

Pas eu l'impression d'une foule compacte, mais plusieurs livres ont trouvé preneur, et Waldo n'a pas chômé au stylo. Un petit mot pour chacun, mais pas de dessin.

J'en ai évidemment fait signer un. Pour offrir à une amie. Le temps de regarder quand même...

Sourires complices à fleur de peau, mais pas de faux-semblants non plus, bref une soirée agréable. Que j'aurais bien aimé poursuivre, mais pas nécessairement dans la boîte.

D'ailleurs, hommes et femmes, les habitués de l'endroit dress-codés de noir arrivent et à 50 euros l'entrée, le patron fait gentiment signe aux "lecteurs" de penser à sortir.

Ou rester, mais de choisir...

Je suis parti. J'aurais bien dîné avec quelques-uns des visiteurs du soir...

03 décembre 2008

Émotions particulières au 15e étage...

819 - Ils sont dans SA ville, sur la piste de SES souvenirs.

À Lui.

Ils se sont retrouvés devant la gare, Elle y est arrivée une heure avant Lui qui l'a rejointe par la route.

Par deux fois déjà, des SMS impatients et ses réponses pour l'avertir du retard... Les aléas de la route. En plus, Il s'égare un peu sur les échangeurs aux abords de la ville, tout à la fébrilité de la retrouver et fait une bonne vingtaine de kilomètres en plus, pestant en revenant sur ses pas dans des banlieues sans âmes qui toutes se ressemblent...

Il vivait dans cette ville, il y plus de 30 ans. N'y est pas revenu depuis.

Elle sent bien qu'Il a envie de se faire un petit pèlerinage "retour sur les lieux de mon enfance" et du coup, le suit gentiment, l'accompagnant dans des endroits qui ne lui évoquent rien, amusée quand même de le voir presque la larme à l'œil...

Ils sont arrivés devant un grand immeuble de vingt étages en plein centre ville. Il y a vécu avec ses parents, au quinzième, à la fin des années 60 et au tout début des années 70. Ils discutent un peu avec le gardien, en bas...

C'est Elle qui lui suggère de prendre l'ascenseur pour monter jusque devant la porte de l'appartement, tant qu'ils y sont...

Lui n'osait pas, pris d'un accès de timidité, apparemment troublé et bloqué aussi.

Souvenirs... Émotion intérieure ?

Elle le surveille du coin de l'œil, un peu amusée, un peu attendrie de voir son Homme perdu dans ses images. Et les voici tous deux sur le palier, quinze étages plus haut. Six appartements répartis de part et d'autre de la cage d'ascenseur.

Dont celui qu'il habitait jadis...

Il y a de grandes baies donnant sur l'extérieur et un escalier de secours entouré d'une grille. Il ouvre la porte vitrée et avance sur les marches métalliques. La porte se referme sur lui. Elle est de l'autre côté et rigole:

il n'y a pas de poignée extérieure...

Il est enfermé dehors.

Elle fait mine de le laisser là et file vers l'ascenseur en rigolant comme une folle. Avant de retourner sur ses pas trente secondes plus tard et d'ouvrir... Et enfin, de perdre pied devant son regard courroucé.

Pour de vrai, pour de faux ? Qu'importe...

Elle se mord la lèvre inférieure et baisse les yeux. Il la scrute et prend son pouvoir instantanément, tandis qu'Elle regarde ses pieds, troublée, en grand danger d'être punie. Sans crier gare, Il l'attrape et la courbe sous son bras dans une position qu'Elle craint par dessus tout, car Elle déteste perdre le contrôle et se sent dans cette posture humiliante à sa merci, infantilisée...

Le cœur battant, penchée en avant, un peu déséquilibrée et honteuse de se sentir inclinée sous son bras droit comme une gamine, une "pisseuse", plus encore que la douleur, Elle tremble de voir une des portes palières s'ouvrir, tandis qu'il lui applique quelques fortes claques par-dessus son jean avant de la reposer...

Ça n'a pas duré plus de dix secondes. Une éternité. Il a hésité à lui ordonner de se déculotter. L'aurait-Elle fait ?

Se mettre en danger d'être surprise, les fesses à l'air et corrigée par son amant, même pour quelques brèves secondes avant de remonter son jean...

Il sait que oui.

Ils redescendent.

Elle est toujours dans le trouble quand ils arrivent dans la rue quelques instants plus tard. Trouble envoûtant qui persistera un bon moment avant de se dissiper tandis qu'ils roulent vers leur destination de la soirée, 150 km plus loin...

...

PS: Oh, mon Ange... Si tu savais combien je regrette de ne pas t'avoir déculottée, ce jour-là !
Photo © Red Charls

16 mai 2016

Je te ferai chialer !

3331 - "Fesses à l'air..."

Pour lui et sous sa main gauche, elle n'est plus cette nuit-là qu'une paire de fesses à rougir, toute sa féminité, son côté attendrissant et son aura de séduction évaporés en un instant, lorsque dûment déculottée, elle s'offre comme une gamine punie cul nu aux claques retentissantes qu'il lui administre à toute volée pour la dresser... Pour de bon.

Voilà un moment que cette raclée promise lui tournait autour, dans leurs mots, les échanges de mails, les coups de téléphone, l'excitant à distance en attendant le jour des retrouvailles...

Et puis pendant le diner du jour J, un début de bouderie, certes vite étouffé dans l'œuf, offre à son homme un prétexte en or pour sévir. Évidemment qu'ils peuvent "jouer" sans raison autre que le plaisir des sens. Mais quand elle se sait fautive, c'est un pur bonheur que d'enfoncer le clou pour la punir, jeans et petite culotte descendus à mi-cuisses...

Il lui a promis que la prochaine fois, il la recadrerait sans aucunement se soucier ni de ses cris ni de ses larmes. La faire hurler, chougner, supplier, demander pardon...

Le pire c'est que plutôt que de l'en dissuader, elle a continué à l'asticoter....

Chacune des menaces qu'il lui glisse à l’oreille la fait frémir et mouiller, presque à son corps défendant, perdant d'entrée le contrôle...

Mais elle en crève tant d'envie...
Image © Red Charls - "La place rouge

14 mai 2020

Images éternelles !

3481 - "Jacques a dit... "

La fessée comme fantasme existe depuis toujours même si on s'imagine souvent qu'on est des précurseurs !

Faut dire qu'en matière de sexe, tout a été fait depuis la nuit des temps et on trouve des représentations de fessées sur les murs des lupanars de Pompéi, dessinées sur les papyrus égyptiens, en sculptures de gargouilles au fronton des églises dès le Moyen-âge et évidemment tout au long de notre histoire artistique friande de représenter les innombrables combinaisons des corps... et tous les aspects liés à la reproduction humaine.

Bref... Voici quelques jours, je vous parlais de Red Charls, mais bien avant lui, y'a eu des gars pour photographier des filles recevant des fessées...

Ce post a pour objectif de rendre hommage à deux frères qu'on a oubliés, créateurs avant-guerre d'Ostra, un studio parisien de photographies dites "de genre" et profondément marquées par une sorte d'esthétique "sadico-romantique" affichée.

Deux hommes dont le destin tragique pourrait faire l'objet d'un film...

Dès l'apparition de la photo arrivent dans le même temps les images licencieuses ! Sitôt qu'on sait développer, on met des filles à poil devant l'objectif.

Des filles ET des gars, pour des images pornographiques destinées aux amateurs, mais vendues sous le manteau car la censure veille et l'ordre moral pourchasse ceux qui osent proposer une vision crue de la sexualité "par le biais infâme de l'image".

On risque alors la prison et des peines lourdes sont prévues dans le code pénal pour ces fauteurs de troubles osant montrer des paires de fesses.

Il y a pourtant tout un marché...

Deux frères vont s'en emparer. Jacques et Charles Biederer nés respectivement en 1887 et 1892 à Moravská Ostrava, ville de l'actuelle République Tchèque (et d'où proviendra le nom Ostra...) La famille émigre en France à la fin du dix-neuvième siècle...

En 1908, Jacques qui a tout juste vingt ans crée à Paris le Studio de photo Biederer, situé 33 boulevard du Temple. Sitôt majeur, son cadet Charles le rejoint, cinq ans plus tard, pour travailler avec lui, également en tant que photographe.

Ce n'est en fait qu'après la Grande Guerre au début des années 20 que publiées par le studio sous le label des Éditions Ostra, leurs photographies prennent une direction licencieuse de plus en plus affirmée, allant des "nus artistiques" aux études sur le fétichisme sexuel, notamment l'esclavage, les jeux de rôle costumés et les châtiments corporels érotiques, dont bien évidemment la fessée.

Il faut dire qu'en même temps, toute une littérature érotique dédiée à ce qu'on appelle alors pudiquement "l'éducation anglaise" fait florès dans les librairies...

Les deux frères vont encore plus loin, dans les années 30 ils produisent également de nombreux films fétichistes muets dépeignant des scènes de domination et de soumission aux titres aussi évocateurs que "Dressage au fouet", rejoignant en ça les livres de la collection de "Orties Blanches"... J'ignore s'il y a eu rapprochement et adaptations des romans, mais les thèmes sont exactement les mêmes.

Certaines de ces photos et cartes postales portent la signature JB, B, Ostra ou un point d'interrogation dans un triangle. D'autres photos peuvent être identifiées par style, mobilier et modèles... 

L'histoire se termine mal... Pendant l'occupation allemande, les frères qui sont juifs sont arrêtés par la Gestapo.

Charles sera déporté vers la Pologne avec le transport 4 parti du camp de transit de Pithiviers jusqu'au sinistre camp de concentration d'Auschwitz-Birkenau le 25 juin 1942. Jacques suivra son cadet trois semaines plus tard avec le transport 6, le 17 juillet 1942. (Pour lui, je n'ai pas de détails, mais ça correspond au lendemain de la raffle du Vel d'Hiv, et j'ignore s'ils ont été arrêtés en même temps...)

Probablement directement gazés sitôt l'arrivée des convois, aucun des deux n'est revenu...
Images © Studio Biederer - Ostra