10 août 2007

Naissance d'une vocation culière...

308 - "Dis, ce désir de fesser te vient d'où ?"

L'ingénue qui demande ça attend une réponse, détaillée si possible.

Ça date de loin...

Je pourrais toujours lui expliquer que ça remonte à mon enfance, c'est évidemment politiquement peu correct en 2007, mais c'est vrai.

J'ai grandi dans les années soixante et l'époque permettait ces privautés éducatives fessières qui m'ont tant troublées en leur temps, initiant ma libido et faisant définitivement fait basculer une grande part de mes désirs vers l'éducation anglaise. Pourtant...

Les fessées du hasard, celles auxquelles j'ai assisté sans me faire remarquer, ou encore celles que j'ai initiées, véritables instants volés, émotions furtives vécues en cachette ont forcément eu leur impact sur ma sensualité... Je ne parle même pas de celles que j'ai reçues...

Une petite cousine très excitée lors de jeux interdits faisant de moi un maître d'école et d'elle une élève docile, une copine en Suisse, dans un village du Valais, dûment corrigée par la jeune fille au pair en charge des enfants pendant le mois d'août, déculottant prestement la malheureuse gamine au retour (très en retard) d'une promenade improvisée pour la fesser cul nu sans se soucier des regards...

Une voisine, corrigeant sa fille très régulièrement dans l'appartement d'à côté, ma logeuse anglaise, lors de mon adolescence, punissant ses filles à tour de bras, les fesses à l'air dans le salon le samedi, et plein d'autres scènes au fil des ans m'ont conduit à revivre ces scènes dans mon érotisme, puis à en inventer d'autres avec la plupart de mes compagnes.

Certaines ont adoré, d'autres n'ont pas apprécié et me l'ont fait savoir. Certaines ont exigé la parité...

Bref, c'est bien ancré en moi, même si ce n'est qu'une infime part de mes plaisirs... Mais c'est là une autre histoire.

3 commentaires:

Anonyme a dit…

" Je ne parle même pas de celles que j'ai reçues..."

Bah si faut justement faut en parler et en détail s'il vous plait, ne rien omettre hein ? cela comblera ma curiosité bien placée !
Fallait pas commencer.Rire
M.

le p'tit jean-jacques a dit…

Peut-on savoir de QUI est ce tableau? Ce bambin rondouillard recevant une fessée cul nu?
De la main d'une dame que l 'on imagine elle -même un peu dodue...
Ce TABLEAU a été photographié: éclair du flash visible.
Dans un MUSEE?
Si OUI, LEQUEL?
CORDIALEMENT

le p'tit jean-jacques a dit…

VOICI du SOUVENIR d'ENFANCE...le mien, pas celui à qui on le demandait...



Pour ma part , j ’ai pris goût à la fessée à l ’école, plié sous le bras d’une jeune et belle instit sous les regards amusés des autres élèves . J ’avais eu le temps de m’en pénétrer , de ces regards , car elle avait annoncé la fessée et demandé à tout le monde de se lever et venir regarder ! Toute une mise en scène ! Cela se passait près du bureau , là où la maîtresse raconte des histoires . Celle-ci allait être croustillante . Tout penaud ,avant d’être mis en position , je les ai regardés s’approcher et se bousculer pour être aux premières loges , ils me dévoraient du regard . Elle a bien fait monter la tension en précisant qu ’elle allait me donner une BONNE FESSEE . Je ne savais pas encore de quoi il s’agissait exactement car je n ’en avais encore jamais vu ni subi , je savais seulement qu ’elle allait me claquer les fesses , que ça ferait peut-être mal , mais j ’étais loin d’imaginer ce qu ’il suffit de faire pour que la fessée soit redoutable ! Je comprenais le mot fessée , mais pas l ’adjectif bonne . Ceux du premier rang , déjà amateurs ,avaient peut-être compris qu ’elle allait me déculotter pour que je subisse le châtiment sur les fesses nues . Quand la classe a été rassemblée ,ils formaient un demi-cercle ,elle m ’a attiré contre elle , m’a retourné et maintenu debout contre son corps . On représente souvent la victime en position allongée en travers des genoux d’une personne assise , mais je suis resté debout . La petite taille d’un jeune enfant permet de procéder ainsi : immobilisé sous un bras , légèrement penché en avant , ses fesses seront bien exposées ; la main qui claque suit une trajectoire en arc de cercle de haut en bas avant de s’abattre sur le postérieur avec précision et un bon élan . Si la victime est plus grande et ses fesses plus haut placées ,la main ne peut plus s’élever suffisamment et doit suivre une trajectoire horizontale , n’agissant que par flexion du coude ; il deviendra par ailleurs plus difficile de laisser légèrement s’ incliner une victime plus grande en la basculant par dessus le bras de maintien pour que ses fesses se présentent un peu avancées , à la rencontre de la main et des regards .Il faut bien que les spectateurs en profitent , sinon quel intérêt de fesser en public ? Sans oublier que celui ou celle qui fesse a besoin de voir ce qu’il fait ; si il agit par pulsion sexuelle , peut -être inavouée , il ne se prive pas lui même du spectacle qu’il offre au public ! Je me suis donc retrouvé serré contre cette femme , et le pouvoir sensuel de la fessée commence là . Je continuais de capter la tension de la classe , même si je ne les voyais plus ; elle a annoncé gravement qu ’elle retirait ma culotte et j ’ai senti ses doigts glisser sur le devant de mon corps pour dégrafer mon pantalon ,c’était sans doute en hiver ,car nous portions plus souvent effectivement des culottes courtes . Ce geste , dans cette position , a provoqué une émotion très forte, d’autant plus que ce fut la surprise totale . Elle a fait durer ces préparatifs pour que la fessée soit bien théâtrale , marquant un e petite pause quand elle eut bien fait glisser mon pantalon avant d’annoncer qu ’elle retirait aussi ma "petite culotte " , comme si j ’avais été une fille . Sa main , menaçante et sensuelle , tout à la fois ,s’est approchée de mon corps pour finir de mettre à nu mon intimité en faisant glisser le slip et en l ’envoyant rejoindre le pantalon . Curieusement , je me souviens des émotions ,des moindres détails , mais pas d’avoir eu mal ,ni d’avoir été puni . Cette scène a ensuite hanté mon imaginaire érotique avant que je ne puisse la revivre , longtemps après .

Je ne me souviens pas de la DOULEUR de la fessée , tellement j ’étais ému !Donc le châtiment m ’a paru moins redoutable que l ’idée que l ’on peut en avoir. L es claques n’ont peut -être que stimulé cette zone érogène sans atteindre le seuil de la douleur insupportable . Tout cela reste un peu mystérieux ...l’instit semblait pourtant déterminée à me donner une BONNE FESSEE elle l ’avait assez annoncé aux autres ! A-t-elle reculé au dernier moment , se contentant de claques légères ? Curieux ,car si on déculotte le puni , c’est bien pour faire plus mal ! Ou alors , perverse , elle cherchait à m ’infliger uniquement la honte ? Honte , oui , mais quand on a perçu comment les spectateurs et surtout les spectatrices se régalent , on est quelque part satisfait ! Je ne pleurais pas , ne me débattais pas , elle a peut-être perçu que la fessée n ’irait pas au but et n ’a pas cherché à l ’intensifier.....

Je n ’ai rien dit chez moi de la fessée ,j ’ai perçu que c’était une affaire entre a maîtresse et moi , comme quelque chose de fort et d’intime , même si elle avait eu lieu en public. Je ne voulais pas mêlé mes parents à cette sensation nouvelle que je venais de découvrir .

L’instit qui m ’avait ainsi déculotté et fessé était je pense un brin perverse . Elle se réjouissait de le faire , elle y a mis une telle application !

C’était suite à un geste de violence de ma part , j ’avais griffé une fille au visage , une pulsion incontrôlée , une violence sortie du fond de ma personne

Par souci de justice , elle avait organisé une confrontation avec ma victime qui était dans une autre classe : elle m ’avait envoyé avec la femme de service chez sa collègue pour m ’assurer que j ’étais bien le coupable . Elle avait annoncé la fessée une première fois en précisant "si c’est lui !" ;quand je suis revenu et que la femme de service a confirmé , elle a été enchantée d’annoncer à toute la classe qu ’elle allait me donner une bonne fessée ! Je crois qu ’elle aurait été déçue de ne pas avoir à le faire .

MARCEL LECHIEN instituteur pédophile fessait aussi les élèves à qui il faisait subir d’autres sévices ... 15ans de PRISON , pas pour les fessées , mais pour un tout dont la fessée fait partie.(cour d’assises de l’EURE , 27 , jugé en décembre 2004).

On ne doit jamais perdre de vue le risque d’incitation à la pédophilie quand on évoque ses souvenirs de fessées enfantines : souvenirs à évoquer , donc , sans modération mais avec précaution.

Pendant que je suivais la femme de service dans son enquête , elle se faisait son petit film , cette instit !Et elle n ’a pas expliqué aux autres pourquoi elle me fessait , elle leur a donné un spectacle ! Qu ’on-ils compris ? Ils se souviennent de mes fesses nues , pas qu ’il ne faut pas griffer ses camarades !

La même année j’ai été spectateur d’une fessée à la cantine dont j ’aurais aimé être victime ,mais c’est peut-être une reconstitution mentale ; sur le moment , peut-être pas Cette fessée vue était moins sensuelle que celle que j ’avais reçue , c’est plutôt le regard que les filles portaient dessus qui m ’avait excité . Mon instit était une petite jeune potelée ,la surveillante de cantine plutôt mégère en furie. Le charme de la fessée dépend aussi de celui de celle qui la donne ! La cantinière a hurlé "je t’avais prévenu !"jetant un silence glacial dans l ’assistance , mais mes voisines se sont levées !Et sans que la cantinière le leur demande . La victime a été très vite déculottée , je n ’ai même pas eu le temps de voir faire , alors que mon instit avait fait durer le plaisir , le sien ,celui des spectateurs , et , par reconstitution ,le mien . C’est pourquoi je qualifie cette fessée de cantine de moins sensuelle , les cantinières n’ont as que ça à faire ;elle a dû tout baisser en même temps , d’un seul coup . Les claques ont résonné dans la cantine devenue silencieuse ; Après la correction , le pauvre s’est rassis en pleurs , encore débraillé, elle n ’avait pas pris le temps de bien le rhabiller ; il passait la main dans son pantalon encore ouvert pour se frictionner et tenter d’apaiser ses fesses qui devaient être bien cuisantes .

En recevant ma fessée je n ’avais pas pleuré , mais j ’avais peut-être été claqué moins vigoureusement . Après la fessée , l ’instit m ’avait rhabillé aussi méticuleusement qu ’elle m’avait déculotté et envoyé au coin ; c’était plus intentionné que de laisser la victime continuer de se ridiculiser en pleurant devant tout le monde . Mais je pensais que , moi , à sa place , j ’aurais été plus digne et aurais su me tenir devant ces demoiselles ...après tout , je n ’en sais rien . Mais le désir de montrer à nouveau mes fesses nues , et de préférence à des filles , s’est bien ancré en moi après cette fessée vue à la cantine , le jour même ou après , peu importe .

Bien sûr , on peut montrer ses fesses nues à une fille ou à une femme sans se les faire claquer ! Mais quand le souvenir de cette première exhibition de son postérieur est celui d’une fessée , que cette fessée a provoqué un trouble inattendu, qu’elle a été l ’occasion d’un contact charnel avec une femme , difficile de ne pas lier fesses nues et fessée !

Si ces deux fessées , l’une subie , l’autre vue , avaient été administrées par dessus les habits , elles n’auraient pas pris cette force érotique ! Elles seraient restées au stade de la punition , paradoxalement plus redoutable ,car pures punitions sans dérive sensuelle possible.