29 août 2013

Du vent dans les voiles...

   3009 - "Toutes voiles dehors..."

Envol de jupes... L'été est propice.

Il y a des endroits stratégiques où curieusement on aperçoit des groupes d'hommes qui baguenaudent et ont l'air d'attendre l'autobus, mais espèrent le passage d'une fille en robe au dessus d'une de ces bouches d'aération du métro si pratiques.

Et puis aussi des coups de vents mémorables qui permettent d'entrevoir des choses.

Mais je n'ai jamais eu l'occasion de surprendre la moindre rougeur, sous les jupes quand par bonheur (sic) j'ai eu la chance d'assister à un lever de rideau intempestif dû à un souffle inattendu.

Me revient l'image fugace de deux demoiselles assez girondes marchant quelques mètres devant moi surprises par un coup de vent sur les falaises d'Étretat et qui ont soudain eu leurs robes remontées jusqu'aux épaules. Elles ont vite redescendu les marches menant jusqu'à la plage, rouges de confusion d'avoir laissé entrevoir quelques dentelles à leurs suiveurs, mais c'est mon plus haut fait d'arme...

Filles ou garçon, vous avez des souvenirs de ce genre d'émotions soudaines, qui donnent envie aux filles de rentrer sous terre ou aux gars d'acheter un ventilateur portable ?

7 commentaires:

mistinguette a dit…

Drôle de sensation de marcher dans la rue et de sentir jupe ou robe se soulever d'un seul coup. Un peu de rouge aux joues et un sourire mi-gêné mi-amusé en réponse au regard brillant du jeune homme qui se baladait à côté ^^

Tiens, d'ailleurs, ça me rappelle aussi cette fille qui, cet été sur la plage, changeait son maillot de bain humide contre une culotte sous sa robe courte... sans prendre compte du sens du vent...

Constance a dit…

J'ai déjà expérimenté la jupe qui se soulève et qui provoque le grand silence des ouvriers qui bossaient à côté, mais c'est pas pire que de se promener en tunique blanche, de se prendre une averse (ondée printanière mes fesses) et ensuite d'avoir la sensation d'être une paire de seins ambulante.

Mike a dit…

Bénis soient le vent et la pluie !

Pecan nutjob a dit…

...et les robes blanches qui, suivant l'éclairage, se révèlent transparentes et montrent au monde la couleur de la culotte...

Manioc a dit…

Elle ne serait pas retouchée par hasard, la 2° photo?

Stan/E. a dit…

à peine quelques rougeurs... Que j'avais envie de voir.

SASKWASH a dit…

Hélas non mon cher Stan ! 3 fois hélas ! Pourrais-je aller jusqu'à 100 fois hélas ! ! Je n'ai de ma vie jamais vu une jupe soulevée par un vent mutin. Mais je peux me consoler avec les parole de cette chanson :

Quand la jupe à Mireille
Haut se troussa, haut se retroussa,
Découvrant des merveilles :
Quel joli vent s'est permis ça ?
C'est pas le zéphyr,
N'aurait pu suffir',
C'est pas lui non plus,
L'aquilon joufflu,
C'est pas pour autant
L'autan.
Non, mais c'est le plus fol
Et le plus magistral
De la bande à Eole,
En un mot : le mistral.