... Pour s'adonner aux saines joies sonores de la Discipline Domestique autant que faire se peut, bien entendu !
Voilà un petit moment que je n'ai pas posté ici, plusieurs mois sans nouvelles. Mais je vous rassure, je suis toujours là.
... Et il suffit parfois du mail amical d'une nouvelle lectrice qui découvre le blog pour me pousser à y revenir, quand je commence à penser, un peu à court d'inspiration, que peut-être j'ai tout dit ici dans ces pages. Et puis... Parce que c'est quand même une passion partagée, n'est-ce pas ? Et que le dialogue entre nous a toujours été et demeure un moteur plaisant.
Découvrir avec soulagement au détour d'un clic salvateur qu'on est pas seul ou seule avec ces décidément curieuses envies est quelque chose qui déculpabilise hommes et femmes attirés par les jeux de fessées en permettant d'arrêter de penser une bonne fois qu'on est “bizarre“ voire “pas normal“ sous le regard des autres, qui EUX n'ont pas ce fantasme. Mais en ont d'autres. Qui peut-être ne nous conviennent pas à NOUS...
Bon "bizarre", je peux éventuellement concéder, mais la normalité ? Non, n'est-ce pas...
Et puis regardez donc cette petite demoiselle, là, sur ce dessin en cours dont je vous montre la partie encrage noir et blanc juste avant la mise en couleurs...
Elle a pas l'air heureuse de son sort ?
Dessin: "Happy Fesse" © Stan/E.
2 commentaires:
Bonjour Stan,
Ca fait plaisir de vous revoir après cette pause estivale (bien) méritée, j'imagine.
C'est juste ce que vous dites : ce "sentiment bizarre" à la lecture du mot "fessée". On se sent un peu seul tout d'un coup ? Et on peut soit le cacher ou soit au contraire le sublimer, que l'on soit d'un côté ou de l'autre du manche (du martinet ?). Votre travail et votre Blog nous réhabilite en quelque sorte.
En effet, la "vilaine " demoiselle ne semble pas effrayée le moins du monde . Bien au contraire.
On pourrait presque lire sur ses lèvres :
-"Peur, moi ? Jamais! Je porte Téflar, le jean à toute épreuve !. Essayer et comparez ! "
- C'est bon ! Coupez ! ".
Bon WE. Charles.
Merci, Charles...
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