ça manque un peu de commentaires, toutefois... on dirait plus généralement que la passion sur le sujet n'est plus aussi présente qu'il y a quelques années, quand même,,
Je me propose pour un début d'histoire à partir de cette photo. Ca me rappelle l'exercice similaire que vous nous avez proposé il y a quelques années. Rires. NDLR : cette histoire est purement fictive. Toute ressemblance quelconque est le fruit du hasard.
" Le jour se levait sur cette petite ville de province où jamais rien ne se passe. Un matin de printemps. Ce matin-là, Valentina arpentait la rue principale pour se rendre à la rivière pour y faire quelques brasses. Légèrement vêtue, la brise chaude l'étouffait. Elle se hâtait. Puis, vers le sommet de la rue, elle rencontra un groupe d'hommes élégamment habillés, groupés autour d'une vieille traction arrière. Ils la déshabillaient du regard. Elle se sentit complètement nue dans leurs regards avides. Elle se figea une seconde puis elle se ressaisit et marcha à leurs rencontres. Son expérience de la vie lui avait appris à ne plus craindre les hommes. Elle redoutait seulement leurs faiblesses. Ce n'était plus elle la pauvre petite proie craintive et frémissante qu'elle fut jadis. Elle s'était juré de dresser cette meute de loups à ses désirs... Elle s'avança vers eux en dégrafant un à un les boutons dans son dos de ce qui retenait encore un semblant de pudeur... Talaaaam !!! La suite ? Ben... au suivant. Si le cœur vous en dit. Charles.
4 commentaires:
Très belle photo.
Merci de continuer à partager votre passion avec nous.
ça manque un peu de commentaires, toutefois... on dirait plus généralement que la passion sur le sujet n'est plus aussi présente qu'il y a quelques années, quand même,,
Bonjour à vous....
Je me propose pour un début d'histoire à partir de cette photo. Ca me rappelle l'exercice similaire que vous nous avez proposé il y a quelques années. Rires.
NDLR : cette histoire est purement fictive. Toute ressemblance quelconque est le fruit du hasard.
" Le jour se levait sur cette petite ville de province où jamais rien ne se passe. Un matin de printemps.
Ce matin-là, Valentina arpentait la rue principale pour se rendre à la rivière pour y faire quelques brasses.
Légèrement vêtue, la brise chaude l'étouffait. Elle se hâtait. Puis, vers le sommet de la rue, elle rencontra un groupe d'hommes élégamment habillés, groupés autour d'une vieille traction arrière. Ils la déshabillaient du regard. Elle se sentit complètement nue dans leurs regards avides. Elle se figea une seconde puis elle se ressaisit et marcha à leurs rencontres. Son expérience de la vie lui avait appris à ne plus craindre les hommes. Elle redoutait seulement leurs faiblesses.
Ce n'était plus elle la pauvre petite proie craintive et frémissante qu'elle fut jadis. Elle s'était juré de dresser cette meute de loups à ses désirs...
Elle s'avança vers eux en dégrafant un à un les boutons dans son dos de ce qui retenait encore un semblant de pudeur...
Talaaaam !!! La suite ? Ben... au suivant. Si le cœur vous en dit.
Charles.
L'écriture, hein.. Continuez, évidemment...
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