3419 - "L'Enfer est pavé de bonnes intentions, hein !"
Voilà une vision de l'Enfer qui semble ma foi bien agréable que celle de l'Espagnol Luis Ricardo Falero, si elle consiste à aller faire la fête à poil en compagnie de gonz... de filles toutes nues et peu farouches avec des culs ronds aussi rebondis que sur ce tableau “Sorcières qui vont au Sabbat“ datant de... 1878 !
Si c'est ça, je signe de suite. Bon, enfin, on est d'accord que rien ne presse, hein !
Et pour le moment, mes enfers sont encore sur Terre.
Image: “Brujas yendo al Sabbath“ © Luis Ricardo Falero - 1878
4 commentaires:
Superbe toile
Un coup de cœur...
Ayant un pied dans chaque cercle, j'ai découvert il y a longtemps et avec une émotion égale à la vôtre cette œuvre, ainsi que d'autres. Beaucoup datant de cette époque ont en commun cette même représentation hyper érotisée des sorcières qui, de femmes trop libres et trop savantes, sont dépeintes comme des créatures libidineuses, motif plus noble de condamnation pour notre Sainte Mère l’Église qui n'est pas la dernière des hypocrites.
Ma préférée est sans doute le Départ pour le Sabbat d'Albert Pénot (1910). De Luis Ricardo Falero, je citerai The Witches Sabbath (1880), et j'adore toutes ses toiles orientalistes. Viennent ensuite La jeune sorcière d'Antoine Wiertz (1857), La petite sorcière de Félicien Rops (1897), La leçon avant le Sabbat de Louis Maurice Boutet de Monvel (vers 1880), la sorcière de Jean Morisot (1925), ou encore mais bien avant, les Deux sorcières d'Hans Baldung (1523)...
Merci Miss pour ces précieux avis. j'ai un petit doute sur le sens de ce "j'ai un pied dans chaque cercle" qui me procure en bon paillard de base le souhait de me poster au milieu et de lever la tête...
Mais vous connaissez l’origine de ce mot attribué à un audacieux courtisan de Catherine de Médicis qui disait avoir "un pied au Louvre et un autre à St Germain"...
Non ? ...
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