19 octobre 2020

Leur imaginer une suite ?

3521 - "The after dinner !"

Parfois en écho à un de mes petits écrits, une lectrice s'amuse à nous imaginer une suite. Ici, un joli texte de G. envoyé à la suite du post précédent, "avant de dîner chez Jules".

Ici, c'est bien entendu le "après dîner" qu'elle nous offre.

“Ils ont finis par quitter ce fameux restaurant. Si leur dîner "prémices" fût bien comme escompté un véritable orgasme gastronomique, maintenant elle et lui ne pensaient plus qu'à la suite de la soirée, se projetant d'ores et déjà vers d'autres plaisirs et jouissances, plus seulement gustatifs...

Ils avaient établi au téléphone, puis par e-mails et messages, quelques usages à respecter entre eux mais elle avait toujours eu du mal avec les règles, hormis pour les transgresser ! 

Elle dû rapidement se rendre à l’évidence en sortant du restaurant qu’il avait une excellente mémoire et que ses insolences pendant le dîner et la soirée n’étaient pas passées inaperçues. Il voulait décider de ses plaisirs et elle le souhaitait tout autant, sinon plus encore que lui. Elle s'offrait éperdument à lui, corps, cul, con, bouche... 

Il lui avait promis une fessée d’anthologie, de "celles qui comptent dans la vie d’une femme", comme il aimait à le prononcer d'une voix calme en la regardant droit dans les yeux pour la faire rougir et n'était visiblement plus enclin à tolérer le moindre mouvement d’humeur, dont le pire avait sûrement été ce coup de pied instinctif qu'elle lui avait envoyé dans le tibia sous la table lorsque elle était devenue écarlate après une allusion devant le maître d’hôtel, sur cette bonne fessée tellement méritée qu’elle aurait "à coup sûr ce soir" lorsqu’ils rentreraient... 

Pendant une fraction de seconde, prise de peur, elle avait presque été tentée de partir comme cela en le laissant en plan, sauf qu’elle sentit confusément avoir trouvé un adversaire/complice à sa hauteur et à sa mesure. Qu’ils pourraient vraiment beaucoup s’amuser, se donner du plaisir et le laisser la recadrer sévèrement si nécessaire, avec ces fessées "magistrales" qu'elle appelle de ses vœux. 

Il remplacerait le plug par sa verge gonflée de désir et jouirait ensuite en son séant rougie, chaud et meurtri sans se soucier de ses gémissements qu’elle étoufferait, mordant oreiller ou parce qu’il lui aurait imposé de prendre sa petite culotte en bouche comme un bâillon, pour ne plus l’entendre. Ses larmes, sa honte, son plaisir, et cela tout le temps qu’il le déciderait. Elle le voulait animal et l’était avec lui. 

Même les mots crus qu’elle ne supportait guère habituellement la faisait frémir et mouiller à son corps défendant, presque instantanément. Elle le capturerait avec ses fesses chaudes et cramoisies et il ne la laisserait pas s’enfuir sans qu’ils n'aient vécu leurs envies, leurs troubles et leurs jouissances. 

Il attendit qu’ils soient arrivés au parking pour lui donner un avant-goût de leur nuit à venir, soulevant ses jupes, la courbant sur sa cuisse, baissant prestement sa culotte, son visage avait viré au garance... Il lui asséna une bonne dizaine de claques vigoureuses et sèches sur les fesses, prenant soin d’envelopper l'un après l'autre les globes à chaque fois pour ne pas la blesser avec ce "bouchon" au mileu d'elle qui n’attendait que d’être remplacé par sa queue. 

Tendre, ferme, doux, intransigeant, plein d’envies de plaisirs et de partages... Mais aussi de ne pas se laisser mener par le bout du nez. Lui murmurer ces exigences à l’oreille en la maintenant fermement comme une jument rétive et craintive. 

Puis la baiser comme une catin flamboyante tout en restant pour lui et elle sa princesse, princesse aux fesses bien rougies qui finit "croquée", contrite, confuse, les habits épars, le cœur battant la chamade et le derrière écarlate comme jamais !“ 

Texte ©  Mlle G. 

Photos © ?

4 commentaires:

Alexandra a dit…

J'adore la finale... «la baiser comme une catin flamboyante». Inspirant ;)

Alexxx

Stan/E. a dit…

Et ce n'est pas de moi, hein. Mais bel et bien dans le mail de ma lectrice. Tout à fait inspirant j'en conviens.

Mademoiselle G a dit…

On peut une excellente princesse au cul rougi et une catin flamboyante et effrénée, je crois. Au même moment où dans la même journée...

Stan/E. a dit…

Je redécouvre ce texte pour le moins inspirant. Vous fûtes foutrement inspirée, ma belle amie !