14 juin 2018

Honte et jubilation ...

3385 - "Assumer la position !"

Image inspirante que j'aurais pu faire moi-même, cette photo lui ressemblant tellement que je la garde, telle quelle !

Lui ordonner de se mettre à plat-ventre pour se déculotter. Montrer ses fesses, nues. Son "gros cul", comme il m'arrive de le dire à voix haute sans me soucier des voisins, jouant de la gourmandise des mots autant que de la vulgarité des termes orduriers qui la rendent rouge de confusion.

Le pouvoir des mots est incroyable, parfois...

Montrer son cul, donc... Geste d'abandon, s'il en est. Honteux, aussi. Ce qui est un adjuvant terriblement excitant pour elle, qui aime composer avec sa honte, un sentiment qui est chez elle très partagé entre trouble hautement humiliant et excitation forcément jubilatoire...

On est entre adultes consentants, hein. Elle aime se sentir infantilisée, parfois. Mais aussi être femme, terriblement. Ce n'est pas exactement pareil... Obéissance ou/et soumission, passagère, je vous rassure. Aller puiser dans ses zones d'ombre chez elle, la battante bien plus que... la battue. 

Elle rougit, puis s'exécute, sachant qu'il ne faut pas résister sous peine d'aggraver sa peine.

Fesses à l'air, sur le ventre, culotte baissée à mi-cuisses. C'est une offrande très sexuelle, une posture animale autant que de se faire mettre (et mettre...) à quatre pattes, finalement, qui prend tout son sens après une punition méritée.

Si, ça arrive parfois ! Trop d'insolences et de provocations impose de temps en temps certains "règlements de compte/remise à niveau" qu'il faut accomplir régulièrement sans écouter ses plaintes, sous peine de se faire déborder par l'effronterie naturelle de Madame.

Qui a un caractère fort et en a besoin souvent. De mes fessées.

Depuis deux ans bientôt, il y a un paddle dans les accessoires, acheté par elle dans les premiers temps de notre rencontre. Objet qui sert peu, ma main demeurant quelque chose de terriblement plus agréable pour moi. Davantage de ressenti qui se propage de cuir à cuir. De peau à peau.

Ah, j'ai enfin trouvé la façon de m'en servir, non pas en travers, mais en la maintenant à quatre pattes entre mes jambes, moi debout la chevauchant en fessant verticalement ce qui se présente à moi, plutôt que en perpendiculairement, qui risquerait de faire mal dans le mauvais sens du terme.

Ne pas s'y tromper, le Paddle DD London Tanner's (100 €) est très lourd. Trop à mon sens et l’essayer sur soi, même doucement sur un bras, montre (tant ça pique) à quel point c'est redoutable...

Je demeure un aficionado manuel...
Image © ?

2 commentaires:

Mi-ange a dit…

Formidable texte. Magnifique photo.
(Moi habituellement bavarde, je ne trouve rien à redire

Mademoiselle G a dit…

J’ai vraiment adoré la photographie et le texte aussi car on y sent beaucoup d’émotions et de sentiments. Bravo