Oui, on sait, "la main", tout ça...
Mais je reconnais depuis trois années un certain attrait - en s'en servant avec parcimonie - pour quelques objets, en parallèle avec les plaisirs purement manuels que je professe... (hihi)
On laisse de côté la fameuse strappe "London Tanner", achetée par elle dans un excès d'optimisme béat et qui se révéla à l'usage trop lourde avec comme résultat des bleus et des marques disgracieuses, tout en nous éloignant du but recherché. Lequel demeure quand même avant tout ludique et partagé, autant dans le plaisir que dans l'excitation des deux...
Le trouble est là, intellectuellement, mais dans les faits c'est un ustensile que je trouve par trop brutal. Et elle aussi. On laisse dans le tiroir et on ne s'en sert, de façon dissuasive, plus guère que dans une forme d'évocation menaçante...
Le martinet par contre est très apprécié, (merci Waldo !) ainsi qu'une bande de cuir issue d'un large ceinturon (4,5 cm) dont la boucle a disparu depuis belle lurette mais que je n'avais pas jeté, le conservant pour la qualité, l'odeur musquée et son épaisseur parfaite, avec sans doute une petite idée derrière la tête et bien m'en a pris : il m'arrive de claquer ses fesses avec car cette courroie trouve grâce à ses yeux... et donc aux miens.
Et puis la verge, faisceaux de tiges ou de branches...
Ces dessins de Malteste, mon dessinateur favori dans le genre, attestent, si besoin est, que ça fait partie de l’arsenal punitif propre à troubler plus d'une vilaine.
Et je vais sans doute y revenir, une fois l'objet confectionné par mes soins, grâce aux conseils avisés d'Ana...
Images © Louis Malteste
1 commentaire:
Les dessins sont véritablement magnifiques! Vous voilà bien équipé désormais ( en plus de votre main ) cher Stan.
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