Perdez pas de vue que c'est aujourd'hui ou jamais !
Photo © Claquements
Perdez pas de vue que c'est aujourd'hui ou jamais !
Photo © Claquements
Voilà qui rassurera mes suiveurs, j'ai encore des choses à dire.
Et j'adore l'expression de la jeune femme. J'ai déjà croisé ce regard de pure provocation !
Vous connaissez ma réponse ?
Image ?
Leone Frollo est un dessinateur italien dont j'ai déjà parlé à de multiples reprises ici
Rien à dire (juste admirer en cliquant sur l'image). Si ce n'est que j'aime beaucoup sa... sensibilité !
Dessin © Frollo
Selon nos amis blogueurs espagnols qui sont à l'origine de l'initiative depuis maintenant près de 15 ans, c'est aujourd’hui 8 août qu'est fêtée"la Journée Mondiale de la Fessée"...
Comme chaque année...
Je ne peux que vous encourager à suivre cette intéressante tradition !
... Si évidemment vous avez "sous la main" le ou la partenaire qui convient ! J'en connais qui ne vont pas se priver...
Image © Stan/E. -2023
"The perfect gift" ?
Ah, elle est marrante cette petite vidéo. Naomi est une jeune Américaine qui veut faire un cadeau de Noël (si si je vous assure) plutôt original à sa meilleure copine (!)
Visiblement toutes deux suivent quotidiennement le site d'un Stan local (ça se passe en Floride) qui tourne régulièrement de petites vidéos de fessée avec des filles volontaires que vous pouvez retouver sur sa page Agoodspankin. À son tour, elle a eu envie de sauter le pas. Si je puis dire !
(Faudrait que je fasse ça tiens, “fesseur de dames“ ! Y'aurait des amatrices du coup ?)
Bref, la miss a envie de se retrouver en une du site du gars pour voir la tête de son amie quand elle découvrira qu'elle a osé tenter le truc kinky.
Du coup Naomi se rend carrément chez lui pour réaliser la chose et ce dernier est ravi de voir que parfois les filles qui le contactent ne sont pas que des meufs velléitaires, qu'elle est allée au bout et ne s'est pas décommandée à la dernière minute au moment fatidique, comme beaucoup... et que oui, cette jolie fille est très intéressée par l'expérience.
Au passage, il lui raconte quelques trucs entre deux bonnes claques sur les fesses, d'abord sur un short en jeans ensuite cul nu.
Notamment que c'est mieux de fesser dans une maison isolée comme il faisait avant plutôt que dans un appartement, avec des voisins plus présents...
Et il y va, d'abord sur la culotte, puis sans, c'est fait sans malice et peu de trouble. C'est un peu sportif, une démonstration en vue des JO ?
Alors oui, ça papote beaucoup et les non-anglophones seront un peu contrariés de ne pas tout saisir de cette conversation mondaine très polie entre un fesseur et sa fessée, encore que c'est assez basique....
Ah, petit bonus avec la demoiselle ici.
... Pour lui plaire ?
Vaste question..
Mais surtout... Happy Birthday, hein !
Dessin: "L'appel du loup..." © Stan/E. -2023
Trouver LA brosse adéquate ?
Pas simple... Surtout quand on professe (!) depuis toujours la main comme principal outil... Vous savez, de ceux que le dicton populaire prétend que "le bon ouvrier" se doit d'avoir dans sa sacoche...
Tenter les instruments ? Même si le "cuir à cuir" (peau à peau, main vs fesses) reste ma profession de foi, il faut essayer pour savoir. Alors...
Timide approche avec la cane très british qui cassa au bout de quelques essais peu concluants, le martinet "Waldo" (salut à toi là-haut) certes efficace mais quasi œuvre d'art et donc précieusement rangé, un paddle "London Tanner" bien trop lourd remplacé par un second plus souple et moins ulcérant "home made" (merci à toi amie !), une cravache "Décathlon" qui a fini dans une décharge, un gant trop distançant et je ne joue plus au ping-pong depuis mes divorces... Bref, la main reste le must.
Et puis à force de voir des vidéos anglo-saxonnes "brossantes"...
Juste savoir qu'il faut un dos plat, en bois, non incurvé et qu'on en trouve de très bonnes en grandes surfaces...
Et que c'est très très efficace pour corriger une demoiselle mal élevée qui aurait érigé la provocation systématique en dogme quasi obsessionnel et à qui la fessée manuelle ne semble plus suffire pour la calmer. Résultat garanti.
Et non madame la caissière, ce n'est pas pour mes cheveux !
Il va sans dire que vos retours d'expérience m'intéressent !
Dessin; "Impact lunaire" © Stan/E. - 2023
C'est fou comme certaines images nous parlent et nous font réagir plus que d'autres...
Une gestuelle avant-coureuse et lourde de menaces... C'est d'ailleurs un peu le pendant qu'on imagine en contrechamp des illustrations précédentes avec ces filles au coin, non ?
Monsieur retrousse sa manche en silence tandis que nez au mur, mademoiselle entend le froissement du tissu et sait très exactement quel geste il fait derrière elle... Une de mes amies me dit depuis des années que ce geste précis la bouleverse et la trouble plus que tout. Une forme de virilité et de masculinité poivrée.
Un côté animal aussi. C'est de toute façon annonciateur que c'est trop tard: on passe un palier, on arrive aux choses sérieuses et la suite sera cuisante, sévère…
Et que, petite conne chérie, ce n'est pas faute de t'avoir prévenue !
Je me dis que parfois, si les animaux pouvaient parler...
Comme ce chat (ou peut-être est-ce une chatte ?) très surpris(e) de voir sa maîtresse les mains sur la tête et son pantalon baissé les fesses à l'air se tenant debout presque silencieuse - mais reniflant par intermittence - dans un coin de l'appartement, dans l'attente de je-ne-sais quelle rédemption...
"Bon, c'est pas le tout, gamine... Mais quand t'auras fini ta méditation cul nu, tu penseras p't'être à mes croquettes, hein !"
Dessin: "Aïe Waï aïe !" © Stan/E - 2023
Vous allez peut-être me trouver monomaniaque et vous n'aurez pas tort... vrai qu'en ce moment le thème est sans doute un peu récurrent chez moi...
Mais voilà, c'est un passage obligé, une découverte, un rituel, qui sait ?
J'avoue, j'aime bien m'asseoir et sans un mot puisque tout a été "dit", contempler la demoiselle dûment punie et en partie dénudée, son derrière exposé aux regards, qui reprend son souffle après une bonne fessée...
Face au mur, elle renifle mais n'ose se retourner et ferme les yeux, attendant sagement que je la délivre d'un mot, d'un geste. Tout en sachant pertinemment qu'en attendant, mon regard acéré est évidemment fixé avec un sourire sadique et satisfait sur l'aplat garance que je viens d'appliquer à même ses reins.
Parce que ses fesses pour l'heure incandescentes conserveront un moment la chaleur, tandis que peu à peu s'estomperont marques et rougeurs.
Et ce jusqu'à ce que je décide d'en raviver la teinte !
En attendant, on ira sans doute déjeuner puis se promener, comme si de rien n'était, croisant des gens à mille lieues de pouvoir ne serait-ce qu'imaginer ce qui s'est passé entre nous dans le secret de cette chambre et ce feu "sacré" rituel entre nous qui a empourpré son cul...
Dessin: "Babe alone in Babylone" © Stan/E. - 2023
Ça durait depuis des années... Quand elle faisait des bêtises et elle en faisait souvent, la demoiselle avait besoin d'une réponse ferme et claquante...
La fessée, elle en rêvait. Et ne pas en recevoir aussi régulièrement que nécessaire l'avait contrainte, dans une sorte de boulimie affective, à passer ses journées sur son ordi s'en remettant aux sites spécialisés du net, pour y chercher ce qu'elle ne trouvait pas au quotidien dans sa vie amoureuse...
Quitte à s'en mordre les doigts. Mais c'était plus fort qu'elle, elle en avait désespérément besoin...
Alors elle a longtemps cherché, fait des essais pas toujours concluants, s'est approchée de ses désirs un peu, parfois beaucoup... Parfois trop ! A tenté des choses, s'est même aventurée sur des chemins qui n'étaient pas nécessairement les siens.
Il lui fallait bien apprendre, pour comprendre ce qui lui convenait.
Et puis, alors qu'elle ne s'y attendait plus, elle l'avait trouvé. Lui.
"Tu sais, il faudra me punir vraiment..." lui dit-elle soudain à brûle-pourpoint au cours d'une conversation, en le fixant droit dans les yeux comme pour l'en persuader, si besoin était...
“Ne rien me laisser passer... Jamais. S'il te plaît !“
Il avait souri. Il avait surtout compris...
Dessin: "Tu peux te brosser !" © Stan/E. - 2023
Oh, dans l'instant sous la fessée, mademoiselle vous dira n'importe quoi pour sauver la peau de son cul qui chauffe et brûle, à force de bonnes claques sonores et vigoureuses ! Elle balbutiera, chouinera et promettra tout ce qu'on voudra et plus encore, demandera pardon et vous jurera ses grands Dieux qu'elle "ne recommencera plus..."
Promis, juré, craché ?
Prêtes à tout pour en recevoir une autre au plus vite, elles ne se sentent jamais assez punies, ni rassasiées ! Et comme en général, c'est pareil pour leur partenaire (dont le sexe importe peu), ce n’est pas prêt de cesser !
Cette vidéo inscrite dans une conjugalité - ou à défaut, en tout cas une vraie complicité - me plaît bien... Même pour les deux instruments (brosse et ceinturon) qui font partie de la danse et dont personnellement je ne suis pas fan mais qui ont leur utilité, à l'occasion.
J'ai testé les deux et elles s'en souviennent, en général !
Et vous ? Ça vous parle ?
Au sortir du déjeuner dans cette brasserie boulevard Pereire, plutôt que de lui dire au revoir d'un chaste baiser sur la joue comme il l'avait fait la première fois en la laissant interdite sur le trottoir à le regarder s'éloigner d'un pas rapide ("comme s'il fuyait" avait-elle pensé) pour regagner son parking souterrain, il lui avait pris la main pour l'entraîner à quelques mètres vers l'appartement d'un couple d'amis partis en vacances dont il avait la clé pour arroser leurs fleurs...
Amis qui n'avaient sans doute pas prévu qu'il en profiterait de la sorte, en choisissant opportunément le restaurant pile en bas de leur immeuble pour son second rendez-vous avec l'Insolente. Histoire de recadrer à l'étage de leur immeuble haussmannien et au calme - mais avec toute la fermeté et la sévérité nécessaire - l'arrogante jeune femme qui lui avait tenu tête tout au long du déjeuner dans une série de provocations aussi vaines qu'inutiles, se croyant sans aucun doute à l'abri (tout en le regrettant vaguement) d'autant plus qu'elle le traitait depuis le début comme un velléitaire incapable de se donner les moyens de ses... ambitions !
Las...
Faut se méfier des velléitaires. La vie m'a appris que parfois ils (elles) s’avèrent surprenant(e)s !
Image © ?
Une simple image, la même pour tous, peut nous évoquer autant d'histoires que de gens qui la voient, selon qui nous sommes, nos différences, notre passé, notre culture, nos troubles... Bref chacun sa façon de voir !
Quand il s'est agit de dessiner, l'inspiration était là, mais que raconter derrière ?
Qui sont cette femme en mauvaise posture et cette autre femme en tailleur debout devant qui la regarde être corrigée ? Qui est cet homme ? On peut partir dans plein de directions et laisser l'imagination nous nourrir, c'est vrai... En clair, qu'est-ce que vous raconteriez VOUS, à partir de ce simple dessin ?
Et en option... Avez-vous déjà fessé ou reçu une fessée (selon ce que vous vivez comme "rôle"dans ce domaine) devant témoin ? Fantasme ou réalité ?
Si ça vous inspire, racontez ! Je mettrai des bulles/légendes sur l'image ensuite.
Image: "toute honte bue" © Stan/E. - 2023
On dirait bien que la petite fille aux allumettes joue avec le feu et que forcément elle se brûle !
Celle-là, si tu montres ton autorité naturelle, que tu la grondes et la punit très sévèrement, elle te craint et te respecte. Elle file droit. Elle frémit. Elle se trouble. Elle mouille ! Parce qu'elle réclame de l'attention. Quotidiennement. Et que ça tombe bien: tu fais précisément attention à elle... C'est le deal.
Mais gare ! Si tu es trop gentil et bienveillant, si tu relâches la pression ne serait-ce qu'un instant, elle prendra aussitôt ça pour de la faiblesse et se dispersera allégrement en allant chercher ailleurs ce qu'elle ne trouve plus.
Parce qu'elle est comme ça.
En fait, il faudra la visser constamment sous peine de la voir fuir et prendre peu à peu ses distances, jusqu'à l'oubli...
Sérieusement...
Dessin: "SMS interdits !“ © Stan/E. - 2023
Alors comme ça, mesdames, vous détestez aller au coin ? Peu importe, c'est un passage obligé. C'est aussi un temps de récupération, après la fessée ! Comme sur ce petit dessin du jour.
Et avant ?
"Donnes-moi le carnet, mademoiselle !" Il n'a pas élevé la voix. Elle frémit et lui tend sans oser le regarder, comprenant que c'est là, ici et maintenant !
"Comptes les ronds rouge et les oranges !"
Oh, ce foutu barème, elle le connaît. Vingt les rouges, cinq les oranges.
Elle a beau compter et recompter les ronds, symboles colorés de ses bêtises des semaines passées soigneusement notées au fil des pages dans le petit carnet de punitions, sorte de journal de bord entre eux, évidemment sans tricher comme il l'avait exigé, elle arrive chaque fois à… quatre-vingt quinze. Claques.
Elle tente vaguement de parlementer tandis qu'il la gronde et qu'elle tourne sa tête à gauche et à droite, essayant de regarder ailleurs en se cherchant une improbable contenance. Surtout ne pas céder trop vite devant lui, rester stoïque le plus possible, même rouge comme une pivoine.
Et puis d'un coup il lui ordonne de se lever, la prend par le bras mais plutôt que l'amener dans la chambre comme elle le suppose un instant, la colle nez au mur dans l'angle d'un buffet en lui ordonnant de mettre les mains sur sa tête. Au coin, la grande fille !
Elle obéit sans rechigner et attend, confuse, tandis qu'il la gronde debout derrière elle.
Puis il s'approche et tout en lui parlant, lui déboucle sa ceinture, baissant ensuite le jeans d'un geste sec à mi-cuisses.
La demoiselle frissonne, en partie déculottée. Excitée et honteuse.
Elle a soigneusement choisi une petite culotte sexy noire avec des motifs en dentelles et pas une "petit-bateau" de gamine, sachant que c'est à lui au fond de la ramener à ce rôle et de l'infantiliser.
Mais elle voulait - inconsciemment - aussi séduire et a mis du temps à la choisir, hésitant justement avec une culotte blanche de petite fille, finalement laissée sans regret au fond d'un tiroir ! Et puis soudain, alors qu'elle n'a pas bougé le nez toujours collé au mur, elle sent avec honte qu'il descend lentement ce dernier rempart de sa pudeur à présent envolée…
… Avant de la laisser de dos face au mur et le cul nu sous son regard, pour la toute première fois !
Pétard: (n.c., masculin) argot: Fesses, arrière-train, fessier.
"Elle avait pas vingt piges la môme et des petits nénés insolents… et la taille de guêpe… et un pétard comme je les aime, tendu, musclé, bien fendu !"
Louis-Ferdinand Céline "Mort à crédit" - Denoël (1936)
Image © ?
C'était dit ! Au jour venu, il y aurait le fameux rituel. par elle suggéré.
Seule la nuit, elle imaginait parfois avant de s’endormir comment se passerait ce moment fantasmé, tout en ignorant l'importance que "ça" pourrait bien prendre. C'est le jeu de toute façon.
Elle esquissa un sourire dans le noir en ressentant son engagement. Un truc basé sur la confiance, du genre qui ne se signe pas nécessairement sur un contrat...
Et puis... Qui ne risque rien...
Dessin: "Quatre mots à la suite" © Stan/E. - 2023
3573 - "Y'aurait pas comme une odeur d'huile solaire !?"
Car le soleil est traître et ne prévient pas davantage que moi...
Des vacances (studieuses, faut avancer) qui m'inspirent.
Si le temps se maintient, ce sera dans une grande maison dans le Midi, prêtée généreusement une quinzaine par un mien camarade qui s'absente et ne veut pas laisser l'endroit sans "surveillance".
Ok, je surveillerai ! Avec attention...
Piscine, farniente et...
Dessin : "J'ai attrapé un coup de soleil !" © Stan/E. - 2023
Donc, rien à déclarer... Un dessin parle de lui-même, souvent. C'est le cas ici.
Dessin © Stan.E -2023
Achetez ce livre ! Toutes affaires cessantes !
© Alda Mantisse
“La loi du Talon“
la Musardine - 380 pages 19 € - Avril 2023
Alda ? Voilà maintenant plus de dix ans que j’ai rencontré pour un premier dîner en tête à tête à Paris autour d’un confit de canard cette élégante et intrigante jeune femme blonde au regard vif et perçant, à l’époque fervente blogueuse et donc de fait consœur par moi liée (enfin, juste “linkée“ à mon blog, ne rêvons pas !) que j’avais eu l’envie de rencontrer “en vrai“...
Entre autres pour savoir qui se cachait derrière son énigmatique pseudo…
En fait, il est probable qu’une bonne fessée par elle administrée dans son alcôve m’aurait suffi, je suis sans doute un peu trop douillet pour la cire, les aiguilles et les pratiques au-delà des avatars narrés par la Comtesse de Ségur qu'on sait “née Rostopchine“ ! (Je n'ai jamais caché qu’occasionnellement je pouvais être switch...)
J’y ai pensé un moment pendant qu’elle m’accompagnait jusqu’à ma petite auto avant de déposer un chaste baiser sur mes joues en signe d’au-revoir… C’est comme ça que naissent les légendes...
C’est trop tard ! (des regrets, Stan ?) Après ce moment, nous avons poursuivi notre dialogue amicalement complice par à-coups dans le temps et par mail seulement, car la demoiselle est rare. Et surtout était repartie vivre bien loin de Paris, sur un autre continent d’où elle consignait de son écriture incisive très personnelle et sans compromis les différents aspects de sa personnalité sur un blog intelligemment érotique, mais ne cherchez pas, il n'existe plus...
Quelques années passent et j'ai la joie lors d’une convention BD parisienne (de fait à Nation cette fois) dont j'étais un des auteurs invités de la voir surgir devant moi un beau samedi de juin avec son sourire carnassier pour se faire dédicacer un de mes albums qu'elle vient d'acheter…
Alors, vous comprenez bien que je suis évidemment ravi et fier qu’à son tour, elle m’ait dédicacé le sien !
Bon, faut dire que pour en faire son métier, elle avait des bases, Alda, Depuis longtemps:
“Oh, gamine, j’avais en moi beaucoup de sauvagerie. L’un de mes jeux favoris était de poursuivre les garçons dans la cour de l’école, de les attraper, de les frapper et de les forcer à me supplier d’arrêter. Je pouvais être sans pitié ! Je jouissais de mon pouvoir sans avoir vraiment conscience du bien ou du mal. Maintenant je ne cours plus après les garçons pour leur flanquer des gifles !“
Elle ne court plus... parce que désormais, ce sont eux qui viennent à elle !
Je ne vais pas vous faire une fiche de lecture, mais sachez que dans ce roman, l’héroïne c’est elle. À peine masquée Alda nous dévoile certains aspects de ce qu’est une vie de dominatrice “professionnelle“ au travers des fantasmes inattendus autant qu'étranges de soumission que les hommes viennent quérir chez elle !
Pour la rencontrer avant une session sous sa férule, il y a un cheminement, notamment par l’intermédiaire d’un questionnaire habile qui lui permet de mieux voir à qui elle a affaire… Et il vaut mieux. Les mails ou SMS qu’elle retranscrit de temps à autre fidèlement sont d’ailleurs de vrais messages aussi authentiques et surprenants que quelquefois pathétiques…
Au fil de "séances" mémorables qu’on pourra, c’est vrai, trouver sublimes, baroques mais aussi parfois assez “tristes“, elle nous narre par le menu dans son livre une expérience de vie hors du commun ainsi que ce qui peut se passer durant ses séances, tout en se confrontant à ses propres limites.
Et ce sans rien nous épargner de ce que viennent chez elle chercher des hommes tellement “ordinaires“ qu’une fois leur paquet déchargé (sic) ils repartent dans la vraie vie, apaisés.
Jusqu’à la prochaine fois !
(ici une belle interview qui lui est consacrée, là son site pro, à vos risques et périls...)
Je recommande évidemment chaudement ! (Ici son site de contenus artistiques très BDSM et pour les curieux qui veulent tout savoir et se promènent sur les réseaux sociaux j'ajoute pour le même prix son Instagram et son Twitter !)
Images © Alda Mantisse
3569 - "Prière d'insérer" !
"Culs écarlates", ça, les amis, ça c'est du titre !
L'ami Richard a encore sévi en publiant chez Média 1000 dans la collec"les Nouveaux Interdits" un nouvel opus sorti de son imaginaire et de son réel, rappelons que l'auteur est un ancien de DD qu'on a connu sous le pseudo de Mainferme pour les initié(e)s qui jadis fréquentaient le forum de Mr No...
Le résumé en dit pas mal.
"Après de nombreuses années d’un mariage sans histoires, Karine se découvre une passion pour la fessée.
Mais le véritable obsédé de la chose s’avère son mari ! Après s’être fait la main sur le postérieur de son épouse, il assouvira son nouveau vice en brutalisant les fessiers consentants de Fabienne, une amie du couple, puis fera profiter de ses sé(r)vices les participantes d’un forum réservé aux fans de cette thérapie de choc.
Et il est doué, le bougre. Ça n’est pas son carnet de bal qui se remplit, mais son carnet de fesses !"
"Culs écarlates" est un roman érotique tonique et revigorant, libertin et libertaire, aussi bien que le portrait d’un homme complexe, partagé entre sa vision traditionnelle du couple et son goût du partage.
Richard Le Corre, pseudonyme d’un auteur de polar qui préfère rester dans l’ombre, signe ici son grand retour après Fesses cramoisies, sa précédente incursion dans un monde trouble dont il est devenu, par la force des choses, un expert..."
Dont acte ! Si vous aimez les bouquins sans prétention mais avec intentions (onanistes, c'est ce que j'appelle des p'tits livres "branlette" et j'en ai quelques-uns...) c'est pour vous !
3568 - "Piqure de rappel ?"
J'avais déjà passé cette vidéo qui date de plus de douze ans en arrière, à présent...
Cette somptueuse fessée qui dure un moment était due aux talents en la matière d'un émérite fesseur français évoqué ici et qui savait s'y prendre. Il faut reconnaitre que la plupart des vidéos qu'on trouve proviennent des pays anglo-Saxons et sont assez différentes...
Bon, j'ignore s'il "sévit" toujours. Probablement, c'est une passion qui ne disparaît pas comme ça !
Il faut savoir qu'à l'époque ce post avait suscité des dizaines de commentaires de mes lecteurs, qu'ils soient élogieux, moqueurs ou envieux y compris venant de l'étranger... Américaines et Anglaises avaient apprécié.Amusant de relire tout ça, après avoir admiré l’endurance de la demoiselle ET de la main du gentleman !.