03 mai 2023

La revanche du confit (private joke)

3571 - “Tu fais le mal si bien !“ 

Achetez ce livre ! Toutes affaires cessantes ! 

© Alda Mantisse  

“La loi du Talon“ 

la Musardine - 380 pages  19 € - Avril 2023

Alda ? Voilà maintenant plus de dix ans que j’ai rencontré pour un premier dîner en tête à tête à Paris autour d’un confit de canard cette élégante et intrigante jeune femme blonde au regard vif et perçant, à l’époque fervente blogueuse et donc de fait consœur par moi liée (enfin, juste “linkée“ à mon blog, ne rêvons pas !) que j’avais eu l’envie de rencontrer “en vrai“... 

Entre autres pour savoir qui se cachait derrière son énigmatique pseudo… 


Troublé ce soir-là ? Assurément un peu... Et j’avoue que si à la fin de ce dîner, Alda m’avait pris par la main et demandé de la suivre de ce ton sans réplique dont je la sais capable, je me serais à coup sûr laissé glisser vers quelques-unes des savantes tortures dont elle m’avait causé une partie du dîner, faisant baver nos voisins de table... Et notamment cette jolie brunette attablée face à un ennuyeux gars à lunettes qui pérorait sans se rendre compte qu’elle ne l’écoutait que d’une oreille, essayant de l'autre de ne pas perdre une miette de ce que me racontait innocemment (!) la belle blonde… 

En fait, il est probable qu’une bonne fessée par elle administrée dans son alcôve m’aurait suffi, je suis sans doute un peu trop douillet pour la cire, les aiguilles et les pratiques au-delà des avatars narrés par la Comtesse de Ségur qu'on sait “née Rostopchine“ ! (Je n'ai jamais caché qu’occasionnellement je pouvais être switch...)

J’y ai pensé un moment pendant qu’elle m’accompagnait jusqu’à ma petite auto avant de déposer un chaste baiser sur mes joues en signe d’au-revoir… C’est comme ça que naissent les légendes... 

C’est trop tard ! (des regrets, Stan ?) Après ce moment, nous avons poursuivi notre dialogue amicalement complice par à-coups dans le temps et par mail seulement, car la demoiselle est rare. Et surtout était repartie vivre bien loin de Paris, sur un autre continent d’où elle consignait de son écriture incisive très personnelle et sans compromis les différents aspects de sa personnalité sur un blog intelligemment érotique, mais ne cherchez pas, il n'existe plus...

Quelques années passent et j'ai la joie lors d’une convention BD parisienne (de fait à Nation cette fois) dont j'étais un des auteurs invités de la voir surgir devant moi un beau samedi de juin avec son sourire carnassier pour se faire dédicacer un de mes albums qu'elle vient d'acheter… 

Alors, vous comprenez bien que je suis évidemment ravi et fier qu’à son tour, elle m’ait dédicacé le sien !


Car malgré sa curieuse façon de tenir une fourchette quand elle n'est pas au restaurant, Alda Mantisse est certes mon amie, mais n'en doutez pas, également une auteure de talent à la plume acérée qui publie à la Musardine depuis la mi-avril un très beau livre intitulé “la loi du talon“ (subtil jeu de mot que n’aurais pas désavoué “Maître“ (tiens..) Capello en son temps. Remettons 10 euros dans le nourrain et revenons à l’essentiel...) consacré sous l'alibi de la fiction (tu parles !) à cette part sulfureuse de sa vie actuelle de “dominatrice à Paris“ utilisant pour ça sa seconde identité, Madame Lule.

Bon, faut dire que pour en faire son métier, elle avait des bases, Alda, Depuis longtemps:

“Oh, gamine, j’avais en moi beaucoup de sauvagerie. L’un de mes jeux favoris était de poursuivre les garçons dans la cour de l’école, de les attraper, de les frapper et de les forcer à me supplier d’arrêter. Je pouvais être sans pitié ! Je jouissais de mon pouvoir sans avoir vraiment conscience du bien ou du mal. Maintenant je ne cours plus après les garçons pour leur flanquer des gifles !“ 

Elle ne court plus... parce que désormais, ce sont eux qui viennent à elle ! 


Alors oui, “la Loi“ est un livre évidemment profondément autobiographique dans lequel Alda se livre beaucoup pour qui connaît les codes. Et possède quelques clés. 

Je ne vais pas vous faire une fiche de lecture, mais sachez que dans ce roman, l’héroïne c’est elle. À peine masquée Alda nous dévoile certains aspects de ce qu’est une vie de dominatrice “professionnelle“ au travers des fantasmes inattendus autant qu'étranges de soumission que les hommes viennent quérir chez elle ! 

Pour la rencontrer avant une session sous sa férule, il y a un cheminement, notamment par l’intermédiaire d’un questionnaire habile qui lui permet de mieux voir à qui elle a affaire… Et il vaut mieux. Les mails ou SMS qu’elle retranscrit de temps à autre fidèlement sont d’ailleurs de vrais messages aussi authentiques et surprenants que quelquefois pathétiques… 

Au fil de "séances" mémorables qu’on pourra, c’est vrai, trouver sublimes, baroques mais aussi parfois assez “tristes“, elle nous narre par le menu dans son livre une expérience de vie hors du commun ainsi que ce qui peut se passer durant ses séances, tout en se confrontant à ses propres limites. 

Et ce sans rien nous épargner de ce que viennent chez elle chercher des hommes tellement “ordinaires“ qu’une fois leur paquet déchargé (sic) ils repartent dans la vraie vie, apaisés. 

Jusqu’à la prochaine fois ! 

(ici une belle interview qui lui est consacrée, son site pro, à vos risques et périls...)


Elle écrit bien, ma copine. Sur un sujet particulièrement scabreux que la morale (mais laquelle ?) peut réprouver avec des cris d’orfraie, elle, la Maitresse-Femme nous plonge au travers de cette fiction pas si inventée au cœur des secrets d’un certain BDSM qu’on peut qualifier de "hors-norme".

Je recommande évidemment chaudement ! (Ici son site de contenus artistiques très BDSM et pour les curieux qui veulent tout savoir et se promènent sur les réseaux sociaux j'ajoute pour le même prix son Instagram et son Twitter !)

Images © Alda Mantisse

20 mars 2023

Attendre...

3570 - "Tu fumes trop !"

J'aime beaucoup que mes lectrices m'envoient des textes de leur cru... 

Or, celui-ci retrouvé dans un mail ne fait pas exception à la règle et date d'il y a deux ans, dû à la plume inspirée d'une inconnue qui ne l'est pas tant que ça... La suite de celui-ci !

Elle avait appelé ça "gestion du tabagisme dans le couple"

Elle fume, moi pas. Excellent prétexte éducatif permettant bien des fantasmes. 

"J’entends la clé dans la serrure. 

J’ignore depuis combien de temps je t’attends ici, nue à l’exception de ma petite culotte, (un tanga) allongée sur le ventre, les oreillers rehaussant mon cul pour que tu puisses le corriger comme jamais. 

J’ai la gorge sèche, mon cœur bat très vite et je tremble un peu. 

En peu de temps, la belle et fière jeune femme que je suis a fait place à une sale gamine penaude et trouillarde, ce qui renforce la honte et mon trouble. Oh, j’ai un peu froid, mais je sens mes joues et mes oreilles chauffer. Elles doivent être écarlates comme le seront mes fesses tout à l’heure, car je te connais bien...

Toi si attentif, strict, tendre, dur, rassurant... et il me faudrait bien plus de place pour écrire tout ce que je pense de toi. Moi et ma mine déconfite, ma moue boudeuse et mes yeux de biche qui m'ont de tout temps permis de systématiquement obtenir ce que je veux des hommes. Et aussi de certaines femmes...

Tu n’en n’as cure, tu sais ce dont j’ai besoin et ne te laisses pas séduire ni apitoyer pour me corriger dès que tu l'estimes nécessaire... C'est à dire souvent. 

Tu me parles !

Ta voix exige, me guide, me gronde... Me susurre des mots à l’oreille quand je suis allongée en travers de tes genoux ou que tu es allongé sur mon dos... 

Une voix qui oscille entre douceur et fermeté avec des mots sévères pour m’amener sur tes genoux, tu me fesses sans concession, méthodiquement... 

Ce n'est qu'une fois gémissante, cul garance et brûlant, que je finirai par te laisser entendre la mienne et ses aveux..."

Texte © Mademoiselle Flaubert - 2020
Image © Honkawa Oshiri

19 mars 2023

Rouge, écarlate ou cramoisi ?

 3569 - "Prière d'insérer" !

"Culs écarlates", ça, les amis, ça c'est du titre ! 

L'ami Richard a encore sévi en publiant chez Média 1000 dans la collec"les Nouveaux Interdits" un nouvel opus sorti de son imaginaire et de son réel, rappelons que l'auteur est un ancien de DD qu'on a connu sous le pseudo de Mainferme pour les initié(e)s qui jadis fréquentaient le forum de Mr No... 

Le résumé en dit pas mal. 

"Après de nombreuses années d’un mariage sans histoires, Karine se découvre une passion pour la fessée. 

Mais le véritable obsédé de la chose s’avère son mari ! Après s’être fait la main sur le postérieur de son épouse, il assouvira son nouveau vice en brutalisant les fessiers consentants de Fabienne, une amie du couple, puis fera profiter de ses sé(r)vices les participantes d’un forum réservé aux fans de cette thérapie de choc. 

Et il est doué, le bougre. Ça n’est pas son carnet de bal qui se remplit, mais son carnet de fesses !"

"Culs écarlates" est un roman érotique tonique et revigorant, libertin et libertaire, aussi bien que le portrait d’un homme complexe, partagé entre sa vision traditionnelle du couple et son goût du partage. 

Richard Le Corre, pseudonyme d’un auteur de polar qui préfère rester dans l’ombre, signe ici son grand retour après Fesses cramoisies, sa précédente incursion dans un monde trouble dont il est devenu, par la force des choses, un expert..."

Dont acte ! Si vous aimez les bouquins sans prétention mais avec intentions (onanistes, c'est ce que j'appelle des p'tits livres "branlette" et j'en ai quelques-uns...) c'est pour vous !

16 mars 2023

En cadence et crescendo !

3568 - "Piqure de rappel ?"

J'avais déjà passé cette vidéo qui date de plus de douze ans en arrière, à présent... 

Cette somptueuse fessée qui dure un moment était due aux talents en la matière d'un émérite fesseur français évoqué ici et qui savait s'y prendre. Il faut reconnaitre que la plupart des vidéos qu'on trouve proviennent des pays anglo-Saxons et sont assez différentes...

Bon, j'ignore s'il "sévit" toujours. Probablement, c'est une passion qui ne disparaît pas comme ça !

Il faut savoir qu'à l'époque ce post avait suscité des dizaines de commentaires de mes lecteurs, qu'ils soient élogieux, moqueurs ou envieux y compris venant de l'étranger... Américaines et Anglaises avaient apprécié.

Amusant de relire tout ça, après avoir admiré l’endurance de la demoiselle ET de la main du gentleman !.

23 février 2023

La plus rouge pour aller fesser * !

3567 - "Ils sont fous ces RoUmains !"

Bon, ça c'est du Obélix dans le texte. Avec le U en plus ça change un peu. 

Car c'est ailleurs que ça se passe. Du côté de Bucarest...  et c'est télévisé

Nos amis Roumains sont les champions des concours de claques (si, si ça existe !) entre costauds qui s'en envoient à se décrocher la tête, sans doute pour dégommer le peu qui leur reste de cervelle...  

... mais aussi des concours de fessées entre femmes ! On en a en Russie aussi qui ne sont pas les derniers pour les conneries !

Savent plus quoi inventer. Je suis même à peu près certain qu'au Japon aussi, on trouve pire dans les programmes télé mais passons...

Là, pendant de longues minutes dans ce contexte de concours de Miss d'un genre un peu particulier en public et commenté par une sorte d'arbitre-femme avec un micro qui juge la prestation (il y a des règles) avant au final de lever le bras de la gagnante, les jeunes femmes, Alexandra et Cristina, certes culottées mais d'un micro-tanga, vont enchaîner de bonnes claques sur les fesses à tour de rôle jusqu'à déterminer une gagnante !

Alors, ça se juge soit sur l'abandon de l'adversaire qui crie "pouce c'est bon là !". (En roumain forcément)

... Soit en fonction de la couleur du fessier: celle qui a le cul le plus écarlate l'emporte. Et l'histoire ne dit pas ce qu'aura gagné ce soir-là cette jeune Roumaine au fessier bien plus rouge que celui de sa copine.

Son poids en martinets, plugs, paddles ou cravaches ?

Bon, comme vous allez sûrement me demander ce que j'en pense, disons que je trouve ça un peu con, mais rigolo. Et que ça manque de trouble surtout, mais ça c'est une autre histoire que comprendront les femmes qui aiment la fessée mais également le rituel (et même cérémonial n'ayons pas peur des mots) autour de l'affaire, entre elles et leur Monsieur ! (ou Dame, évidemment) 

* sur l'air Vartan de "ce soir je serai la plus belle pour aller danser"


20 février 2023

Textos en conduisant !

3566 - "Boire ou conduire ?"

 C'est une vidéo sympathique en deux parties montrant une punition cuisante administrée à une jeune femme qui envoie des textos et téléphone en conduisant... La vilaine !

Interdit. Du coup, hop chez son fesseur attitré, lequel va la punir sérieusement. Non mais !

C'est très didactique, hein. Bon si vous ne parlez pas anglais, c'est un peu dommage parce que ça dure 18 minutes quand même "part 1" et "2" et que ça cause beaucoup, mais bon, c'est plutôt simple à comprendre...

En gros, le correcteur lui fait longuement la morale en lui rappelant les dangers sur la route, les accidents dus à la distraction au volant et le nombre de morts que cause cette pratique aux USA, puis lui fait énoncer les statistiques et répéter à plusieurs reprises que non, c'est pas bien de se mettre en danger et de risquer la vie des autres..

- "Combien de morts par an, mademoiselle Cara ? “ 

- "Beaucoup, monsieur !"

Alors bon évidemment, Cara jure ses grands Dieux qu'on ne l'y reprendra plus, qu'elle a compris la leçon, mais en dépit de fesses joliment bien marquées par la seconde correction, je doute - tant c'est rentré dans les mœurs - qu'elle pose désormais le phone à côté d'elle sur le siège passager et se concentre sur la route uniquement à l'avenir, même si la fessée est copieuse...

C'est clair que si après ça elle n'a pas compris... C'est qu'elle aime les corrections.

Et que le motif est juste là pour faire joli... La seconde correction au paddle marque davantage et la miss se tortille à plat-ventre sur son siège en criant presque qu'elle a compris et sera sage !


PS: J'en connais une dans le même cas, qui en rigole. Mais qui sait ce qui l'attend, le jour où...

 

05 février 2023

Doigt d'honneur à la place ?

3565 - "À deux pas de la Tour Eiffel..."

C'était une de ces rencontres qu'on fait bizarrement sans trop de conviction sans vraiment savoir ce qui fait hésiter, mais avec l'espoir que ce soit réussi quand même. Et ça l'est finalement assez souvent. 

Donc, on y va. La chair est faible, parfois...

À cette époque, célibataire forcé, je traînais sur "les Lunes Pourpres" et parmi les diverses annonces, celle de cette dame avait attiré mon regard. On rappelle que le site était ainsi conçu que les gens désireux de participer devaient passer une sorte d'entretien "de motivation" (plutôt une bonne idée) façon casting avec le concepteur de l'endroit. Qui par ailleurs "testait" à l'occasion les "candidates" le souhaitant ! 

Heureux homme ! Que n'ai-je eu l'idée avant lui ? Mais passons... 

Habitant Paris mais venue de quelque part aux USA, Sue à l'aube de sa cinquantaine habitait seule un bel appart non loin de la Tour Eiffel (pas le quartier le plus moche) et bien qu'un peu puritaine de par sa culture et son éducation d’Américaine bon teint, fantasmait en secret depuis des lustres énormément sur la fessée. 

Osant se l'avouer, elle avait (avec difficulté pour se lancer à l'eau) franchi l'étape "casting" évoquée plus haut et voulait avancer. Avec un gentleman. Moi en l’occurrence qui sait l'être à l'occasion... 

Quelques échanges plus tard, le contact était suffisamment établi pour entamer une histoire... 

On en a parlé via mail, messagerie puis téléphone durant quelque temps, mettant sur pied tout une progression vers "l'aboutissement" au travers d'échanges de plus en plus osés, vu qu'elle n'avait en fait jamais pratiqué ailleurs que dans son imaginaire... 

Finalement convaincue que j'étais bien l'élu chargé de lui faire découvrir la chose, Sue trouva alors un créneau dans son emploi du temps d'executive woman pour que nous allions dîner un soir et... 

Je suis donc passé la chercher chez elle, découvrant une femme charmante quoi qu'un peu fébrile à l'idée de cette sortie, il est vrai assez  particulière... Mais je sais briser la glace et très vite la conversation devint enjouée dans ma petite Fiat filant vers "le Café de la Jatte" où par ailleurs le dîner se passa admirablement entre rires et troubles, avant que nous ne repartions vers son appartement. Un peu de tension et d'angoisse dans son regard au moment de se garer, puis de monter avec elle qui me tient le bras... Faut dire qu'elle a bu un peu plus que de raison, sans doute pour se donner du courage !

Dans l'ascenseur, la tension s’accentue. Troublée par ce qui se rapproche inéluctablement, Sue échange deux ou trois banalités et n'ose plus trop me regarder...

Une fois chez elle après une succincte "visite" des lieux (on sait jamais si y'a pas un gars caché dans un placard avec un caméscope, hein... J'ai un copain à qui c'est arrivé !) je me dirige vers le divan que j'ai repéré dans un grand salon aux volets clos puis l’inclinant sur mes genoux je...

"Tu veux pas boire un truc d'abord ?“ me demande-t-elle pour retarder le moment fatidique...

Non, je veux te fesser parce que putain, on en a parlé toute la soirée, même que le jeune couple de la table à côté abasourdi n'en a pas perdu une miette et... Bref, déculottée, les quatre premières claques tombent et cinglent le rond postérieur de Sue avec un bruit très plaisant... avant qu'elle ne crie que ça fait très très mal, que c'est bien trop dur et qu'il faut vraiment arrêter "please" parce que non, elle est désolée, mais elle n'y arrivera pas !

Bon, pourtant je vous promets que j'étais vraiment très soft, mais Sue venait en fait de se rendre compte que si la fessée fonctionne en littérature pour se faire jouir le soir dans sa chambrette, ce n'était pas son truc une fois en réel autant qu'elle le rêvait. Ça arrive.

Se relevant un peu confuse, elle m'a alors pris par la main pour m'entraîner vers sa chambre où on a fini par faire l'amour de façon très agréable, incluant la découverte pour elle d'une spécialité maison (via un index intrusif et ma langue conjoints) qui là aussi, était pour la puritaine et douillette Sue habituée exclusivement depuis des lustres par ses amants au traditionnel missionnaire, une découverte du péché qu'elle transgressa d'ailleurs allégrement jusque l'aube, avec entrain ! 

Je suis reparti épuisé... 

On ne s'est jamais revus. 

Dessin © Stan/E. - 2023

29 janvier 2023

Des fessées de cinéma !

3564 - "En Technicolor et sur grand écran !"

Je montrais le blog ce jeudi à un copain acteur - qui au passage découvre avec amusement une de mes passions érotiques - lequel me demande tout à trac si du coup je connais un site traitant de la fessée au cinéma...

Pas de bol, seule me revient alors à cet instant celle donnée par Jean Marais à la belle Claudine Auger dans "le masque de fer" en 1962. Pas la plus sexy, quoi que pour l'époque… Or il y a évidemment des tas de films avec des extraits de ce type, mais à part "9 semaines 1/2" j'avoue que...

Il fut un temps où un blogueur aujourd’hui disparu traitait de ça avec talent dans un espace dédié avec des centaines d’extraits, une vraie encyclopédie... Las depuis, nul ne recense avec autant de références le média... Quelques extraits de films, reprenant des scènes de fessées ? 

Je propose sept scènes sexy où la fessée joue un rôle... prépondérant.

"Whatever you want, boss..." On commence par Rachel Miner, dans "Californication" avec une fessée que Charlie donne à sa blonde secrétaire Dani California (Rachel Miner, ex-madame Macaulay "j'ai raté l'avion" Culkin) dans son grand bureau directorial...

On poursuit avec cette scène kitsch de 1995 dans "Live Nude Girls" dans lequel la Desperate Housewife Dana Delany s'en prend une bonne dans une ambiance du plus pur style "Godfather" (le Parrain) avec un sosie approximatif de Marlon Brando en exécuteur des basses œuvres... 

On n'oublie pas Charlotte Gainsbourg en 2015... Le film de Lars von Triers, "Nymphomaniac" dont la réputation sulfureuse était annoncée des mois avant sa sortie officielle contient une scène fort explicite entre Jamie Bell et Charlotte Gainsbourg qui ne laissera pas mes ami(e)s indifférent(e)s...

Jessica Alba ? La jeune femme est violemment fessée à la ceinture, slip à mi-cuisses cul nu à plat-ventre sur le lit par son amant Lou Ford, rageur, qui se déchaîne sur les fesses offertes dans "The Devil inside Me“ en 2010... (probablement celles d'une doublure "cul", je doute que l'actrice se soit laissée filmer ainsi...)

Et en 2011 c'est Keira Knightley qui y passe dans "A Dangerous Method"...  

Et Catalina Rodriguez dans un extrait de la série "Magic City"


Évidemment en bonus, impensable de terminer sans elle... On a donc droit à la belle Maggie Gyllenhall dans "The Secretary" (2002) 

28 janvier 2023

Coin-coin...

3563 - "Le choix dans la date...“

Que c'est pratique, Airbnb ! Outre que c'est bien plus convivial et discret qu'une chambre d'hôtel tristement impersonnelle, on peut à l'avance choisir le lieu qui nous convient dans le quartier qui nous arrange, tranquillement faire défiler les photos mises sur le site par les proprios et ainsi tranquillement avoir une idée de ce qu'on fera et surtout où on le fera, en extrapolant sur les images prises des différentes pièces. Le tout sans y être allé...

Elle lui avait dit en regardant les images de son côté, voyant que leur futur nid semblait très "meublé" et laissait peu d’espace:

-  "Hihi, tu pourras pas me mettre au coin, y'a pas d'angles de libres. Des meubles partout..."

Mais quand on veut, on peut ! Le "coin" c'est un mot, un concept. 


Ça peut tout aussi bien être devant une fenêtre. le tout c'est de se tenir nez au mur et tourner le dos au correcteur/trice qui examine ainsi son "œuvre"...

... Outre qu'on peut toujours bouger une table, un guéridon. Bref s'arranger. Faut ce qu'il faut !

Images © extraites d'une vidéo US

24 janvier 2023

Parcours scolaire !

3562 - "Bon sang... Mais c'est de qui ?"

J'aime beaucoup ce dessin très "Semaine de Suzette" issu des romans de flagellation de la collection "Orties Blanches" et très graphiquement daté années vingt (1920 !)... mais je n'en retrouve plus l'Auteur.


Peut-être René Giffey, mais j'ai un gros doute. 

Si quelqu'un en connaît plus précisément la provenance ?

ÉDIT: Merci comme toujours à Mamie Charlotte dont l'érudition en la matière est confondante.

Il s’agit donc effectivement bien de René Giffey illustrant ici "Éducatrice ou la belle vengeance de Lord Howard" (1934) de Joan Spanking (ce nom !) un pseudo d'un des auteurs qui écrivaient ces petits romans destinés à la joie onaniste de ces messieurs ! (et de ces dames, donc ?)

Et on n'aura cette fois plus aucun doute en regardant cet autre dessin extrait du livre mettant en scène... la même institutrice austère !


  Dessins "Éducatrice" © René Giffey - 1934

22 janvier 2023

Le roi de la raquette !

3561 - "Une amatrice se fait pagayer ?"

"Pagayer" ? Ok c'est le titre complétement surréaliste de cette vidéo ici traduit en français avec un double sens, on parle de "paddle" dans la VO, je suppose ? 

Et "une amatrice" ? Admettons.

J'avoue que je ne suis pas un spécialiste du ping-pong, je ne vois pas les balles et je suis pas le roi du réflexe, bref, il est possible que je m'oriente davantage vers une brosse à cheveux que vers une raquette dans le futur,...

Mais cette vidéo est plutôt réaliste, pas surjouée et semble issue d'une vraie punition de couple... Après je préfèrerai toujours sentir ce que je fais. 

Alors, la main, hein... Mais bon amusez-vous.


21 janvier 2023

La main peut tout !

3560 - "Troubles récurrents..."

Le photographe tchèque Jan Saudek qui vit et travaille en République Tchèque - et dont j'ai causé dès les débuts de ce blog en 2006 - est connu pour ses nus évoluant dans des espaces oniriques. Son érotisme très particulier plutôt trouble, ce qui n'est pas pour me déplaire, ne pourra que séduire ceux qui aiment par dessus tout ce qui sort de l'ordinaire en matière... de cul. (Je suis certain que Bella, par exemple...)

... Et ses images de jeunes femmes coloriées à la main au milieu de décors peints et d’accessoires baroques donnent à son travail artistique l'aspect de ces clichés du milieu du XIXe siècle...

Il y a une âme dans son travail. Allez voir.

Il faut savoir que cet homme né en 1935 à Prague a survécu très jeune à la captivité dans les camps de la mort nazi (alors enfant, il n'avait que dix ans à la fin de la guerre en mai 45!) et qu'il est évident - sans faire de la psychanalyse de bazar - que l’art - et donc la photo - est devenu au fil des ans pour lui LE moyen de supporter et d'extérioriser les terribles souvenirs d’enfance qui le hantent, forcément... 

C'est un artiste mondialement reconnu. Son travail est exposé dans le Monde entier, entre autres au Centre Pompidou à Paris, à l’Institut d’Art de Chicago, au Met de New York et figure dans les collections du J.Paul Getty Museum de Los Angeles ainsi que du Musée des Beaux-Arts de Boston. 

Je vous propose ici trois images. Deux qui sont évidemment des fessées (on ne se refait pas), fantasme qu'il met joliment en scène à plusieurs reprises...

... Et puis cette autre obsession qui revient souvent chez lui: la même photo prise avec différents modèles, montrant de profil une femme embrassant, voire vénérant, la main de l'Homme. Avec un grand H, oui…

(C'est pas très Sandrine R. hein…)

Peut-être celle qui caresse et corrige ? En tous cas, c'est une version qu'il a refaite et refaite de nombreuses fois au fil des années...

Photos © Jan Saudek

20 janvier 2023

En selle, miss !

3559 - "Passéiste ?"

Le chevalet de punition, j'ai découvert ça dans ces livres vendus sous le manteau du début du XXème siècle de la collection Orties Blanches

L’éditrice Dominique Leroy avait eu la bonne idée de ressortir au début des années 80 à prix très abordable et en version fac-similé plusieurs tomes de ces romans un peu désuets des années folles dits "de flagellation" et je m'en suis délecté en en achetant une douzaine, malheureusement revendus depuis. 

Je pense notamment à "Baby douce fille" dont j'ai déjà parlé sur le blog,écrit par Pierre Mac Orlan et illustré par le talentueux Louis Malteste.

Une photo comme on en trouve sur le site de l'ami Malcolm (que je vais bien finir par aller rencontrer en Angleterre pour un reportage sur le vif) m'y a fait repenser...

Dessin © Louis Malteste

19 janvier 2023

Avatar 2

3558 - "Question de chromatologie !“

En 2006, je m'étais dessiné un avatar pour le forum de DD dès mon arrivée sur le site de Mr No, un truc à base de ces petits personnages bleus bien connus, en leur offrant une situation BDSM inédite, qu'à ma connaissance, le studio Peyo n'a probablement pas mise en scène. 

Encore que connaissant certains des dessinateurs d'alors comme par exemple François Walthéry, il y a bien du avoir quelques images bien salaces et paillardes avec les personnages, impubliables et grattées sous le manteau ?

Au fond rien de tel pour se défouler à l’issue d'une journée d'encrage du côté bien gnangnan de la série paraissant dans Spirou que de leur faire faire des trucs cochons...

Ce dessin de moi rapidement réalisé, je l'ai perdu depuis. Je l'avais dans mes cartons, mais il n'était pas impérissable, je l'ai paumé ou jeté... 

Et puis j'ai changé d'avatar, mais celui-là reste le premier...

Je ne retrouve sur le net - car les dessins circulent - que cette copie bien moche et très pixelisée de mon dessin d'alors. En le revoyant tout à l’heure sur un site avec cette définition dégueulasse m'a pris soudainement l'envie de le redessiner en plus beau, plus net et surtout mieux gratté. Cest l'image en Une.

Est-ce que Peyo en serait content ? Je l'ignore, c'est juste un clin d’œil. 

Et puis, dites ? 

Les fesses d'une Schtroumpfette, quand c'est bien corrigé ? C'est violet du coup ?

Dessin "Fais-moi la mauve !" © Stan/E. - 2023 

d’après les personnages de Peyo

18 janvier 2023

Sous son regard attentif !

3557 - "Exposition temporaire !"

Elle lui a demandé de ne jamais rien lui laisser passer s'il veut être pris au sérieux. Qu'à la moindre incartade, il devra sévir sans la laisser poursuivre. 

Qu'en gros, elle mérite davantage que ce qu'il lui a déjà administré et qu'elle s'en agace presque, quand elle le provoque pour susciter une réaction énergique de sa part, de constater qu'il est trop gentil, trop doux, probablement pas assez sévère. 

Non, elle n'est pas une petite chose fragile mais juste une gamine capricieuse ayant viscéralement besoin d'être recadrée. Strictement ! 

Il l'écoute attentivement... La petite conne ! Carte blanche, hein ? 

Il l'attrape aussitôt et l'attire vers lui la calant en travers de ses cuisses, baisse la culotte d'un geste preste et la re-fesse sans retenir les claques vigoureuses qui cinglent et rougissent sa peau en résonnant tandis qu'elle étouffe des "pardon Monsieur !" bien tardifs dans les coussins du divan...

Puis la correction terminée, il la fait lever sans ménagement, l'entraînant culotte à mi-cuisses pour la placer debout au coin face au mur, mains sur la tête. Il la questionne alors à voix haute et la gronde de longues minutes sans aucunement se soucier des voisins en dépit des murs en cartons du petit appartement loué pour l'occasion... 

- "Qu'est-ce que tu as reçu, mademoiselle ?" 

- "U... une fessée, Monsieur !" hoquette-t-elle, confuse, tandis qu'il lui fait répéter à plusieurs reprises des choses qui la font frémir de honte, tout en sentant sa présence juste derrière elle. Mais plus question de parler de révolte. Là c'est juste une morveuse punie qu'il observe.

Il la laisse ainsi de longues minutes méditer, les fesses écarlates brûlantes et nues, n'osant pas se retourner, regardant avec un sourire cette grande fille de 37 ans punie, cul rouge et en feu, les mains sur la tête, exposée à la vue comme une pisseuse d'une douzaine d'années dûment corrigée et sanctionnée pour ses insolences répétées... 

Puis il la prend par la main pour l'agenouiller sur le divan. Ses fesses rougeoyantes et nues sous son regard, il va s'assoir un peu plus loin afin de contempler son "œuvre" !

Ensuite viendra l'abandon, l'instant où elle se calmera et retrouvant son souffle, reprendra pied. Il la prendra dans ses bras longuement, il lui caressera le dos, les hanches. Les fesses aussi, à présent brûlantes. 

Il ressentira un immense plaisir à sentir qu'elle vibrera en s'abandonnant peu à peu contre lui, sans franchir les limites "no sex" qu'ils se sont tacitement données, avant de migrer vers le confort du canapé. 

Ce sera un instant doux et calme. Elle attrapera un coussin et s'allongera contre lui, posera sa tête sur ses genoux, il lui caressera la main, les cheveux pendant qu'ils se parleront.

 Longtemps...  

Texte © Stan/E. - 2023 

Photo © Asa Jones - 2021

17 janvier 2023

Elle m'était très liée !

3556 - "L'attente..."

Je confesse ne pas avoir beaucoup d'attirance pour le bondage si ce n'est esthétique (et encore), les liens ne me procurent pas plus de troubles que ça au-delà d'avoir parfois - je le concède - attaché les mains de certaines de mes belles complices dans le dos ou derrière les cuisses pour m'octroyer quelques saillies à la hussarde.

... Mais j'aime beaucoup ce dessin. Les fesses ne sont pas marquées. Pas encore. Mais présentées avec autant d'allant, gageons que...

Une pose lascive et une forme d'attente, le regard en coin. Manque un bâillon pour que "la fête" soit complète... Faudrait que j'essaye, quand même. Un jour.

PS: J'ignore qui est l'auteur, (japonais je présume ?) de cette belle image ! Si vous avez des infos ?

Dessin © ?

12 janvier 2023

Avec... ou sans ? Dessus ou dessous ?

3555 - "Plaisir d'offrir, joie de recevoir !"

J'ai souvent dans mes humeurs ici abordé le déculottage, part essentielle du trouble et de l'interdit bafoué, de la honte qui s'ensuit et surtout du côté "pratique" d'une fessée...

... Pour moi, c'est primordial et fait partie du plaisir quand - mon cœur battant sans doute aussi vite que le sien dans l'émotion de l'inexorable - j'empoigne l’élastique et fait glisser la petite culotte de ma belle complice vers le bas, plus ou moins vite et prestement selon l'humeur de l'instant... 

Jeu trouble vaguement (?) SM, discipline domestique ludique ou réelle punition régulière destinée à recadrer "pour de vrai" comme le ferait un tuteur strict ? C'est selon...

Qui omettant cette partie essentielle de la mise à nu pour opérer s'est un jour durablement esquinté la main sur un jeans remonté jusqu'au nombril comprendra sans doute qu'il est essentiel de dépiauter soigneusement la demoiselle avant d'opérer, sous peine de devoir composer avec cette même main endolorie, comme broyée et inapte plusieurs jours durant.

Pour l'avoir oublié lors d'une après-midi intense passée en tête à tête avec une provocatrice au jeune cul insouciant en béton armé d'à peine vingt ans, j'ai retenu la leçon. (Et coucou C.  💗)

Voilà pourquoi cette petite vidéo est intéressante car le gars ne s’embarrasse pas de ces détails bassement physiques. Et techniques. 

Monsieur fesse solidement par dessus le pantalon, puis la relève et lui baisse à mi-cuisses en cours "d’épreuve", avant de reprendre fermement la punition par dessus le fin tissu, sans  se sentir obligé pour autant de descendre la culotte, ce qui sera un peu frustrant sans doute pour nous autres voyeurs et voyeuses, mais pas inopérant pour autant...  

Et puis, toujours ce geste de tendresse (!) que j'aime, tenir la main ou le poignet en même temps, histoire de ressentir plus encore les vibrations au fur et à mesure. Avec sa main qui se serre et se desserre en rythme au fil des minutes, leur permettant de communier de concert à chaque claque délivrée au plus intime !

J'y vois une certaine efficacité, même... et vous ?  Votre opinion dans les commentaires est toujours appréciée...


11 janvier 2023

Le Tatoué vous salue bien !

3554"From Richard with love !"

Parmi les blogueurs qui comptent dans notre petit "Spanking World,", il y a bien évidemment Richard Windsor (joli nom qui fleure bon son Angleterre natale) un solide quinqua Anglais tatoué bon teint avec des mains de docker qui vit à New York et a le chic pour proposer systématiquement de passionnantes trouvailles photographiques...

... Notamment de surprenants clichés datant des années 40/50 montrant que la fessée était très installée dans les mœurs chez les Anglo-saxons sans que personne ne s'en offusque, que ce soit dans la presse, les films et les publicités. 

J'aime bien y faire un tour, y dénicher des surprises ou simplement le lire, Richard déteste qu'on lui repique des choses et pille son blog - et donc sa collection personnelle d'images - sans donner les sources et le lien.

 Il a raison...

Justement c'est une petite vidéo LE mettant en scène qui a attiré mon regard...  Et j'adore positivement le petit cri en forme de hoquet de mademoiselle quand il la déculotte !

“Je ne crois pas que je vous avais encore proposé cette petite vidéo de moi, Richard Windsor, appliquant une bonne fessée à cette jeune personne du nom de Johanna Sullivan. Rien d'exceptionnel, simplement une solide fessée à la main J'ignore qui diffuse le clip en entier, mais il est sûrement trouvable quelque part...“

Vidéo: “ Richard's Hard Hand“ © Richard Windsor