Je l'ai déjà dit dans ces pages, évidemment... Mais à chaque fois, découvrir un cul avant le déculottage sera toujours pendant une fraction de seconde l'instant fatidique, le moment précis où le cœur chez moi (et j'ose espérer chez elle...) bat plus vite pour moi, comme une sorte de point de non-retour sexuel évident.
Oser... Transgresser. S'imposer ! L'infantiliser le temps d'une punition complice mais aussi honteuse. Baisser sa petite culotte après l'avoir grondée, une fois allongée et fermement maintenue en travers de mes cuisses...
Vite d'un geste preste, plus lentement en prenant le temps et constater qu'en dépit du temps qui passe, ces émotions érotiques, que d'aucuns d'ordinaire pourraient juger fragiles et éphémères, perdurent et ne s'émoussent pas.
Qu'à chaque fois que ça arrive, l'émotion est toujours aussi forte pour moi que cette première "première" fois qui doit remonter bien des décennies en arrière, au temps de ces jeux interdits pratiqués dans l'enfance, avec cousine Anne...
Aujourd'hui, mon amoureuse et moi connaissons l'une et l'autre nos "rôles" à la perfection et pourtant à chaque fois c'est toujours aussi fort, comme si la représentation, une fois le "rideau" ouvert, était à la fois la première et la dernière, si vous me permettez cette métaphore théâtrale...
Euh... Non pas de public. Et les applaudissements ne sont pas dans la salle pour admirer le spectacle, même si les claques (mais pas dans nos mains, sur ses fesses évidemment) se succèdent autant que les bravos, ensuite !
Ce sentiment à chaque fois, je dois avouer l'avoir éprouvé avec toutes... L'émotion de la prise de pouvoir et de l'inéluctable, sans doute...
Que ce soit par exemple Marie-B, Véronique, Hélène, Sophie, Katia, ou encore Nathalie parmi les plus investies de ces jeunes femmes m'offrant parfois - au-delà de leurs fesses - des émotions rares et une belle histoire amoureuse partagée, quelques semaines, mois, années...
Ou d'autres, certes plus éphémères, mais tout autant complices, le temps d'une révélation et de quelques jeux de mains en duo ou trio...
À travers toutes mes complices/amantes/amoureuses des années passées, cette émotion s'installe toujours quelques fractions de seconde avant que ne s'abatte la première claque, suivie d'autres, pour rendre la fessée intense, bruyante... et mémorable. Je me souviens de toutes.
Alors forcément, qu'elles soient rassurées, je me souviens de TOUT. Et j'ai pour toujours d'elle(s) des images que ma photothèque personnelle ressort parfois de temps à autre, me procurant un petit sourire évasif sur les lèvres en souvenir... des souvenirs !
Image © ?
5 commentaires:
Personne n'oublie jamais rien vous savez... :)
Vous m'en direz tant...
En fait si malheureusement, on oublie souvent. La mémoire est sélective... Mais en ce qui concerne ces jeux, j'avoue que j'ai (encore) tout en tête...
Moi aussi, je parlais des fessées bien sur :)
Et vous n'oubliez pas celles que vous avez reçues, du coup ? Mes compliments à celui qui les a données, hein...
Belle déclaration de souvenirs et de tendresse à vos complices et à votre amoureuse. Et magnifique éloge du déculottage donc de la fessée ou des fessées !
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