1276 - "The Cully Flaug'd"...
Là, c'est la dame qui fesse monsieur. Ça nous change un peu et amusera les filles... Illustration d'époque que l'on pourrait penser "switch" de nos jours... On est pile dans les excès de stupre et de fornication - cette luxure insouciante alors que le peuple souffre - tant reprochés à la noblesse d'avant la Révolution de 89... Sade n'est pas bien loin.
L'homme aux bésicles (médecin ? en tout cas un notable, visiblement plus âgé que sa complice...) s'est placé en travers d'une chaise curieusement couchée pour lui servir de reposoir avec son pantalon baissé.
La femme (une domestique au service du maître ? son épouse ?) a elle retroussé sa robe et apparaît en pantalon affriolant, dans une attitude très osée et érotique pour l'époque, afin de mieux corriger et pouvoir claquer le rond postérieur masculin offert à son faisceau de verges, sans être gênée dans ses mouvements par ses habits ! "Corrigé sur ses grosses cuisses comme peut l'être une jeune épouse..."
"What Drudgery's here ! What Bridewell-like correction !
To bring an Old Man, to an Insurrection.
Tirk on Fair Lady Flaug the Fumblers Thighs
Without such Conjuring th'Devil will not rise..."
4 commentaires:
Comment ça "Ça nous change un peu et amusera les filles..." ??
D'accord pour la première partie, mais pour la seconde, je n'en suis pas si sûr... Comme tu le dis très justement : "La femme a, elle, retroussé sa robe et apparaît en pantalon affriolant", ce qui montre un peu à qui est destiné le dessin.
Il est bien rare qu'une fessée masculine n'offre pas au voyeur masculin son lot de "beauté dénudée"... Toujours pour les mêmes...
Je serais une fille, je serais furax et je me ferais un plaisir de fesser des gars sans leur offrir le moindre bout de chair à admirer...
;-)
C'est un peu ce que font les femmes qui fessent, je crois. Enfin, certaines "maîtresses" qui ne se sentent pas obligés de se mettre en bas et corset pour dresser leurs hommes de peine.
C'est une vieille illustration datant du XVIIIème siècle, et qui montre une scène de flagellation sensuelle et certes pas punitive. Le sexe n'est pas très loin.
Incroyable ! Le poudré allongé et offrant ses fesses me rappelle une connaissance que je suis ravie de voir ici dans cette position !
Vous allez rire, je crois bien que je le connais aussi. Enfin, peut-être pas celui-là, mais avec cette tête-là, basique, banale et archi-vue de crâne d'oeuf, on en connait tous au moins un.
Mon voisin a cette tête-là aussi, c'est dire.
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