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27 mars 2018

À fond la forme, quoi !

3383 - "On vous voit, les gens !"

C'est le responsable de la communication de Décathlon qui l'a fait remarquer dans un amusant tweet récent. Car visiblement surpris par l'explosion des ventes de... cravaches (!) la chaîne de magasins d'articles de sports s'en étonne dans un premier temps, ne voyant aucun cheval garé sur le parking clients...

... Avant de faire le rapprochement évident: tout est lié, les ventes "suspectes" ont augmenté d'un coup à la sortie du fameux navet américain porno chic "50 nuances, etc..." Le mummy porn dans tout ce qu'il a de détestable, puritanisme en plus,  

"My God, mais quelle horreur !" disent-ils/elles la main devant les yeux, mais les doigts suffisamment hypocritement écartés pour ne pas en louper une miette. C'est les Américains...

"Décathlon, à fond la fessée !" pourrait-il devenir le nouveau slogan porteur de la marque ? Une cravache se vend il est vrai à compter de 3 €, et je ne vous les conseille pas, mais alors pas du tout parce que ce sont des instruments qui méritent de la qualité, ne prenez pas à ce prix-là un mince brin de fibre de verre, recouvert de faux cuir... 

Prenez-les en micocoulier, de grâce ! Et là ça chiffre. Mais vous m'en direz des nouvelles et votre partenaire aussi... Sans aller jusqu'aux 380 € de la superbe Hermès, une vraie cravache de dressage tressée et en micocoulier vous coûtera - au minimum - 20 fois le prix annoncé ici... Mais elle vous fera de l'usage et ne cédera pas au bout de trois ou quatre utilisations, l'embout se détachant, par exemple.

Bon. L'article ne dit pas combien de clientes rosissantes et la mine gênée ont rapporté l'objet du délit, "ticket de caisse faisant foi", en se rendant compte, au-delà de l'excitation artificielle du départ "pour faire comme tout le monde et ne pas mourir idiotes", qu'en fait, ben ça fait mal et que ce n'était pas du tout leur truc... Mais alors, PAS du tout. J'ai connu ça.

Ben oui. Ce sont de vrais désirs qu'il faut avoir en soi, sado-masochisme (c'est dit...) réellement chevillé au corps et surtout pas par suivisme moutonnier d'un film médiocre tristement à la mode.

"Vanille", "BDSM", chacun sa façon de voir, rien d'imposé et toujours "entre adultes consentants". Cravaches, paddles ou martinets, et évidemment la main, en priorité pour moi, même si depuis quelque temps et en cas de sévérité nécessaire dans la DD, il m'arrive d’utiliser aussi quelques "instruments".
Parce que l'érotisme n'est pas quelque chose de simpliste, c'est même pile le contraire. L'humain est complexe... Et nous n'avons pas, loin s'en faut, TOUS les mêmes envies, les mêmes univers, ni a fortiori... les mêmes troubles.

... Et pis c'est tant mieux !

PS: Ah, on notera l'amusante réplique cinématographique immédiate tweetée par la communication de Leroy Merlin, pas en reste et avec comme une pointe de regret. Non ?

15 janvier 2018

Hashtag "au secours..."

3376 - "Contes du lundi... ?"

C'est un dessin que j'ai repris et refait, issu de cette page, la repro étant abimée par le scan.... 

Mais l'histoire en entier est suffisamment savoureuse. Tom fesse Toots, pour sa Birthday Spanking qui lui vaudrait de nos jours un hashtag vengeur... 

On frise le détournement de mineure, puisqu'il lui donne 17 claques, mais dans les années 50-60, on avait l'esprit axé autrement... 

Et personne n'avait la bêtise d'exiger l'interdiction d'un Disney dans lequel le Prince Charmant embrasse la Belle au Bois Dormant, (endormie donc et du coup contre son gré...) pour harcèlement...

C'est pour la réveiller en fait qu'il l'embrasse, connasse ! 

Pour la sauver, donc. Pas pour la niquer. Même si je dois avouer qu'il me semble que dans le conte original dont Perrault s'est inspiré en 1695, la métaphore est plus évidente et que le Prince en fait enc... euh, baise la princesse et... 

"Si la version de Perrault est la plus connue, elle s'inspire d'un récit plus ancien, Soleil, Lune et Thalie, extrait du Pentamerone de Giambattista Basile, publié en 1634. 

Perrault en transforme néanmoins sensiblement le ton. Le conte de Basile, écrit pour un public aristocrate et adulte, met l'accent sur la fidélité dans le couple et l'héritage. Perrault quant à lui écrit pour un public de la haute bourgeoisie, inculquant des valeurs de patience et de passivité chez la femme. 

L'intrigue contient d'autres différences notables : le sommeil n'est pas le résultat d'un sortilège mais est annoncé par prophétie, le prince ne réveille pas Thalie par un baiser mais la viole dans son sommeil ; lorsqu'elle donne naissance à ses deux enfants, l'un d'eux lui tête le doigt, ôtant l'écharde de lin qui l'avait plongée dans le sommeil, ce qui la réveille

Dans cette version, l'histoire continue après le mariage du prince et de la princesse : la mère du prince, qui éprouve du ressentiment envers sa belle-fille, tente de la manger elle et ses petits-enfants. C'est finalement elle qui trouve la mort..."

Là on aurait pu reprocher des trucs à Walt, mais comme toujours, Disney affadi tout et simplifie ses adaptations. L'attaquer lui, enfin sa firme, parce que ça fait des décennies qu'il bouffe les pissenlits par la racine, c'est juste, euh...

Bon, vous avez compris que ça m'énerve.
Dessin © Stan/E. d'après une page originale...

03 août 2014

Elles aiment le foot, hein !

3107 - "Shooter sur les fesses des filles avec un ballon ?"

Le Mondial de foot 2014 est terminé.

Et comme toujours, ce sont les Allemands qui ont gagné à la fin. Mais on a remarqué cette année que nos amis Belges n'étaient pas en reste. Va savoir si ce n'est pas parce qu'ils s’entraînent d'une façon un peu moins orthodoxe que ne l'ont fait les Brésiliens, par exemple ?

En tirant des penalty sur des culs !


Pour la promotion d'un événement qui avait lieu à Anvers en Belgique l'an passé, les organisateurs d'un tournoi de "futsal" avaient demandé à quelques-uns des joueurs de l'équipe de l'Antwerp de tirer sur les fesses de jolies filles.  Il y a eu des volontaires ! Des deux côtés.

PS: Et les rôles seront inversés à la fin. 

 

29 août 2013

Du vent dans les voiles...

   3009 - "Toutes voiles dehors..."

Envol de jupes... L'été est propice.

Il y a des endroits stratégiques où curieusement on aperçoit des groupes d'hommes qui baguenaudent et ont l'air d'attendre l'autobus, mais espèrent le passage d'une fille en robe au dessus d'une de ces bouches d'aération du métro si pratiques.

Et puis aussi des coups de vents mémorables qui permettent d'entrevoir des choses.

Mais je n'ai jamais eu l'occasion de surprendre la moindre rougeur, sous les jupes quand par bonheur (sic) j'ai eu la chance d'assister à un lever de rideau intempestif dû à un souffle inattendu.

Me revient l'image fugace de deux demoiselles assez girondes marchant quelques mètres devant moi surprises par un coup de vent sur les falaises d'Étretat et qui ont soudain eu leurs robes remontées jusqu'aux épaules. Elles ont vite redescendu les marches menant jusqu'à la plage, rouges de confusion d'avoir laissé entrevoir quelques dentelles à leurs suiveurs, mais c'est mon plus haut fait d'arme...

Filles ou garçon, vous avez des souvenirs de ce genre d'émotions soudaines, qui donnent envie aux filles de rentrer sous terre ou aux gars d'acheter un ventilateur portable ?

20 août 2013

Trompe-l'oeil...

   3005 - "Airport..."

Bon, je suis myope, vous me direz, mais il m'a fallu un moment pour piger l'image, persuadé que cette pauvre voyageuse avait traversé tout l’aéroport avec la culotte coincée dans sa jupe après avoir été faire cac... euh, aux toilettes.

Et puis en regardant mieux...

25 juin 2013

La vraie raison du naufrage...

   2970 - "Distractions à bord..."

On a beaucoup parlé de l'iceberg et des carences de l'équipage, mais la vérité c'est que si le Commandant Edward J. Smith n'était pas à la barre pour parer à la manœuvre et éviter le choc, c'est qu'il avait pour ça une coupable raison que le blog est en mesure de vous révéler plus de cent ans plus tard...

En perverse et galante compagnie, le gaillard était sur le pont arrière (forcément) en train de fesser une passagère de seconde classe !

02 février 2013

Tu parles, Charles...

   2924 - "La trompette d'Aïda"

"Sade: monstrueux ou Divin Marquis" ?

Avec un titre pareil il fallait s'y attendre. Et autant vous dire que jeudi dernier la belle Aïda n'en est pas revenue.

23h10, le 31 janvier dernier sur France 2... Oui, au vu de l'heure, Berling avait dû attendre dans sa loge avec une coupette un peu trop longtemps et il avait l’œil égrillard qui convenait au sujet. Suffit de voir le regard du gars pendant l'énoncé du sommaire, mais pompette ou pas, je ne sais pas si on doit trouver ça très... élégant.

C'est à vous de juger si ce sont des choses qui se font devant des millions de téléspectateurs. Connaissant le garçon et sa filmographie parfois un peu provocante ou osée (vous avez vu "nettoyage à sec", d'Anne Fontaine ?), je ne suis pas tellement étonné, au fond ça lui ressemble bien.

À l'heure où c'est passé, il y a moins de monde, c'est vrai. Mais le net relaye désormais tout ce qui se passe d'insolite, y compris des trucs que je n'aurais jamais vus: bref, c'était dans "Grand public" sur France 2, la charmante Aïda Touihri recevait l'acteur Charles Berling.

Et la jeune présentatrice a vécu un grand moment de solitude avec l'acteur lorsque ce dernier a soudain décidé de se lever sans dire un mot pendant qu'elle faisait son lancement pour la rejoindre et la ceinturer par derrière, avant de l'incliner tranquillement sur le capot d'une voiture rouge dans le décor pour lui mettre... une fessée !

Enfin, une claque, mais la séquence a visiblement perturbé l'animatrice.

Qui s'en est pas mal tirée sur le moment, mais j'avoue que je me demande quand même ce qu'ils ont bien pu se dire hors antenne... S'est-il excusé ? J'imagine que la jeune femme était vraiment furieuse, mais qu'elle a dû ravaler sa colère en souriant et n'a pas fait d'esclandre...

Possible que l'au-revoir après l'émission a été tendu.

11 novembre 2012

Make my day !

    2876 - "Main(s) au cul !"

Un petit extrait d'une émission allemande de Sat1, Knallerfrauen. (Merci Chross...)

Martina Hill, qu'on dit être une des actrices les plus drôles d'outre-Rhin, aborde dans un sketch à la télé le délicat problème du harcèlement sexuel au bureau en montrant de la part de la fille qui se prend une main au cul une réaction inattendue qui déstabilise le gros con, soudain pris à son propre piège et qui comme de bien entendu se barre, incapable d'assumer une quelconque "suite"...

... Qui de toute façon n'est pas désirée !

> Alors évidemment ce qui m'intéresse, les filles, c'est de savoir si ça vous est déjà arrivé, une main aux fesses - non désirée s'entend ! - 

Et surtout comment vous avez réagi, ensuite. Violence immédiate, coup de genou dans les burnes, sonore paire de gifles, insultes diverses bien senties ? Ou surprise, tétanie et fuite en avant sans rien oser ajouter, retraite en abandonnant la partie, furieuse, humiliée et honteuse ?

26 octobre 2012

Suivre la mode...

   2861 - "Vive la mode..."

Le film "la secrétaire" fait des émules...

C'était une collection de Kate Sylvester, qui fut présentée de façon surprenante en novembre dernier, je crois. La jeune créatrice qui est une icône de la mode néo-zélandaise est aussi une femme qui ne manque pas de distance et d’humour: elle en a ainsi fait la démonstration l'an passé, lors de la présentation de sa collection Automne-Hiver 2012 à la Galerie d’Art d’Auckland... Et j'avoue que ça m'avait échappé.

Je pense toutefois que si un homme avait osé faire ça, il se serait fait descendre immédiatement. Car comme pour les pires histoires juives qui ne peuvent être racontées que par des juifs (on peut remplacer par "noir", "belge" etc...), j'ai bien peur qu'en ces temps politiquement corrects, seule une femme puisse s'autoriser de jouer avec l'image de la femme de cette façon provocante porno-chic. Non ?

22 octobre 2012

Le nez dans les affaires d'autrui !

   2858 - "Qui est le maître, qui est l'esclave ?"

C'est une des images de WanderMaske, extraite de DeviantArt, qui offre ici un travail plutôt inégal que vous irez découvrir dans les galeries, pour peu que vous soyez inscrits (c'est gratuit évidement)...

J'avoue que c'est la seule de sa série qui m'amuse, probablement pour le regard de la demoiselle qui n'est pas du tout effrayée par ce début de bondage. Tout en profitant de la langue du monsieur qui vu la posture est en train de lui faire une feuille de rose (très jolie appellation pour désigner l'anulingus...) Ou de lui lécher les cuisses, remarquez...

Les autres sont moins drôles, (et souvent moins "habiles" graphiquement aussi) je trouve. Peut-être parce qu'elles sont très "premier degré". On verra quand même quelques fessées et rougeurs réjouissantes entre deux croquis, un brin obsessionnels.

Alors oui, ça pourra sembler bizarre de la part d'un gars qui aime les fessées au point de tenir un blog régulier sur le sujet et qui n'est peut-être pas si net non plus, mais tant pis, j'assume: j'ai souvent - quand je découvre de nouveaux dessins "kinky" - une interrogation sur l'auteur...

Avec un peu de mal à pouvoir extrapoler la part de réel et de fantasme, parfois... Au point de me demander si le dessinateur derrière les images, ce gars qui semble à ce point aimer ligoter et torturer les jeunes filles dans ses œuvres, s'en tient bien uniquement à ses pinceaux. Passer à l'acte. Je ne parle pas de plaisirs partagés entre adultes, évidemment, mais bien de tendances criminelles qui peuvent tourner à l'obsession.

Il est clair que c'est une manière d'exorciser ses fantasmes aussi que de les coucher sur le papier plutôt que dans sa cave... Mais je n'ai pas de réponse. Et vous ?
Image © Wandermaske

24 septembre 2012

Ce type qui t'a traitée de connasse ?

   2836 - "...Et pas grand-chose sur Stan non plus !"

Autant vous le dire, j'adore cette séquence, pour tout un tas de raisons, dont certaines très très personnelles. On n'y parle pas du tout de fessée.

Mais peu importe, ce n'est pas l'essentiel, "Rien sur Robert" de Pascal Bonitzer est un film aux dialogues finement ciselés, y compris bien entendu dans cette vraie scène d'anthologie entre une époustouflante Sandrine Kiberlain et un magistral Fabrice Luchini.

Parce qu'il faut arriver à les prononcer, ces phrases...






Là c'est la même scène, mais rejouée. Scène de fin de stage au CEFPF avec Yohann Brize (?) et on voit vraiment que le même texte occasionne bien des différences, même si c'est intéressant et que la fille donne pas mal d'intensité à son personnage.

26 août 2012

Badge au mérite...

  2830 - "Concours de pipes..."

Un badge au mérite... Pourquoi pas, hein ? "Oral"... Même si je ne suis pas un affolé de la chose, ça m'a bien fait rire.

Trouvé sur un site américain. Ces gens adorent ces petits signes distinctifs brodés et en proposent des centaines dans tous les genres, le sexe ne pouvait donc pas y échapper. Je n'ai pas trouvé d'insigne spécifique consacré à la fessée qui me convienne, mais il y a celui ci-dessus dont j'ai traduit le petit texte explicatif en français...


19 août 2012

Ça s'invente pas...

  2810 - "Shall I slap her bum ?"

C'est une bonne question. L'image de cette fille qui reçoit une bonne claque sur le cul à la volée repérée chez Valdor vaut ce qu'elle vaut, mais je me suis surtout arrêté dessus - au-delà du sujet - en raison de la signature du photographe, un certain Paul... Fessey !

Comme quoi il y a des noms prédestinés...
Image © Paul Fessey

Bitch volée...

  2809 - "T'as vu la fille ?"

En cette période estivale, on sort les maillots et on expose des parties de soi habituellement planquées le reste de l'année...

Étonnante photo de plage prise pendant les activités du club Mickey...

Elle n'a pas l'air truquée ni photoshopée. On croise bien parfois des dames qui ont des marques sur les fesses, mais pas à ce point et la plupart du temps, elles prennent soin de dissimuler soigneusement les suites de leur "infortune", quand même... Évitant le string, utilisant une culotte bien couvrante, voire un bermuda... Ou alors, c'est voulu ?

Cette jeune fille qui regarde les enfants jouer en attendant son tour n'a probablement pas fait attention en enfilant son string à l'hôtel de la Plage, mais figurez-vous que bleus, rougeurs et meurtrissures, bref, traces de fessées, peuvent subsister quelques jours pour peu que la correction ait été... appuyée.

Ce qui visiblement a été le cas ici.

Parce que franchement et au vu de la canicule, je doute qu'elle se soit assise sur un radiateur...

Du coup, voilà qu'elle expose un beau derrière marqué, dont l'origine punitive ne laisse pas trop de doutes, aux regards en coin des passants, surpris. Dont certains la gratifient d'un clin d’œil complice, sans d'ailleurs qu'elle pige vraiment pourquoi diable elle est l'objet de tant d'attention.

Ou alors, elle s'en fout pas mal !

Bonne fin de vacances, hein...

PS: dites, mesdames, pour rebondir (sic): quand vous avez des traces, vous faites comment dans la vie courante, vous ?

15 août 2012

Symphonie sur un cul !

  2800 - "Mozart n'avait pas que la flûte d'enchantée..."

Aparté. J'ai toujours pensé que si un jour je m'arrêtais de rédiger ce blog très prenant, une sacrée aventure, ce serait probablement sur un compte rond, genre au 3000ème ou 4000ème post. Il m'en reste donc au moins 200 encore avant de pouvoir - potentiellement du moins et selon mes critères - tirer ma révérence... 

En attendant, je dois à une lectrice ce nouveau post. Il se trouve que j'ignorais tout du ton épistolaire employé par Mozart... On en parle ici dans cet extrait diffusé sur Arte.

Car... "Mozart a partagé sa vie entre deux écritures: celle de la musique et celle des lettres. Des centaines de milliers de notes sur la partition, des centaines de milliers de mots sur le papier. De l'une à l'autre et de l'autre à l'une, toute une vie, la plume court. Sur la scène épistolaires des personnages s'animent, croqués sur le vif, des villes défilent au rythme des auberges, des palais, des églises, des théâtres...

C'est toute l'Europe musicale des Lumières qui s'agite sous la plume mozartienne et toute sa musique, à la lettre: symphonies, concertos, messes, opéras.

(...) Mais c'est aussi la petite musique des jours ordinaires qui nous retient et nous touche: la vie comme elle va ou ne va pas, griffonnée à la hâte, le quotidien tissé des petits riens que l'on échange pour que perdure le lien. Sur le papier s'inscrit la suite des jours, des années, s'écrivent les amitiés, les amours, les épousailles, les naissances et les morts..."
"Mozart, lettres des jours ordinaires.1756-1791" © Annie Paradis - Fayard 2005.

Et pourquoi je vous parle de tout ça ?

Pour cette lettre écrite à sa Constanze en 1789. On est loin de la Bastille.

"Très chère, excellente petite femme de mon cœur !

J'espère bien que tu as reçu des lettres de moi, car elles ne se seront pas toutes perdues. Je ne peux pas écrire beaucoup cette fois, car je dois faire des visites. Je n'écris que pour t'annoncer mon arrivée. Je pourrai peut-être partir d'ici le 25, je m'y efforcerai tout du moins, mais te le confirmerai d'ici là. Je partirai de toute façon avant le 27 et serai si heureux d'être à nouveau auprès de toi, mon amour !

Mais la première chose que je ferai sera de te crêper le chignon: comment donc peux-tu croire, oui, seulement même supposer, que je t'aie oubliée ? Comment cela me serait-il possible ?

Pour cette seule pensée, tu recevras dès la première nuit une solide fessée sur ton charmant petit cul fait pour recevoir des baisers, compte là-dessus...

Adieu, à jamais ton unique ami et époux qui t'aime de tout cœur, W.A. Mozart"


Et il faut repréciser ici l'intérêt avoué de Mozart pour tout ce qui touche au cul, corroboré par les paroles très licencieuses et quasi scatologiques trouvées ici, grâce au commentaire d'Isabelle.

25 juillet 2012

" Sans pour autan partagé..."

   2775 - "Fermez les fenêtres, merde !"

"... Ou invitez-nous !"

Deux ou trois fautes d'orthographe, pas très grave, ça n'empêche pas de s'amuser à la lecture de ce papier soi-disant affiché par un voisin énervé dans l'ascenseur et dans la cage d'escalier.

Authentique ou pas, peu importe, en ces temps où on laisse les fenêtres ouvertes, le message est probablement complètement d'actualité dans certains immeubles.

Mais je ne vis pas pas en appartement...

21 juillet 2012

À la vue de tous...

  2768 - "Montre ta culotte, tiens..."

Ah, là... Quand je vois ce genre d'images, soi-disant prises à la volée, j'ai un gros doute. Il y en a plein le net, mais pour celle-là comme pour d'autres, je crois plutôt que la dame relève sa robe et nous montre ses fesses et son string en sachant pertinemment que son copain ou une copine prend la photo dans la foulée.

Bref que c'est "pour de faux", comme disent les mômes.

Parce que c'est un geste furtif que d'ainsi remonter sa culotte et se réajuster en pleine rue - même si c'est parfois une obligation technique douloureuse - et que le passant qui serait derrière par hasard n'aurait certainement pas le temps de réagir, à moins d'avoir déjà sorti et armé son Nikon...

Donc je parie pour une image bidon, même si la fille elle ne l'est pas...

Et qu'elle mérite une bonne fessée pour cette provocation indécente caractérisée. Faut bien trouver des prétextes, hein...

06 juillet 2012

Fessées for free...

  2756 - "Proposition généreuse !"

Photo prise il y a quelques années, mais la proposition ne peut que séduire, dans un pays où tout est payant. Et tout se négocie...

Images © Burning Man 08 Free Spankings Center Camp Cafe MichaelOlsen/ZorkMagazine

22 avril 2012

Pour un anniversaire ?

 2692 - "36 chandelles..."

Un anniversaire à souhaiter ?

Si c'est dans "l'intime", vous pouvez toujours utiliser des bougies originales, avec une forme qui sort de l'ordinaire. Moins classique que ce qu'on peut trouver en supermarché et façon d'induire l'air de rien vers ce que pourraient faire les convives une fois le repas terminé...

Bon, évidemment, à un moment donné, c'est vrai que j'arrive à un âge où les bougies coûtent davantage que le gâteau.

09 avril 2012

Le lundi au soleil...

 2678 - "Bed and breakfast !"

Juste par pur plaisir. Partagé, visiblement !