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08 août 2023

Dans les règles !

3590 - "Tradition oblige !"

Selon nos amis blogueurs espagnols qui sont à l'origine de l'initiative depuis maintenant près de 15 ans, c'est aujourd’hui 8 août qu'est fêtée"la Journée Mondiale de la Fessée"...

Comme chaque année...

Je ne peux que vous encourager à suivre cette intéressante tradition !

... Si évidemment vous avez "sous la main" le ou la partenaire qui convient ! J'en connais qui ne vont pas se priver...

Image © Stan/E. -2023

29 juillet 2023

♫ Chat s'en va et chat revient... ♫

3585 - "Un miaulement dans la nuit !"

Je me dis que parfois, si les animaux pouvaient parler... 

Comme ce chat (ou peut-être est-ce une chatte ?) très surpris(e) de voir sa maîtresse les mains sur la tête et son pantalon baissé les fesses à l'air se tenant debout presque silencieuse - mais reniflant par intermittence - dans un coin de l'appartement, dans l'attente de je-ne-sais quelle rédemption...

"Bon, c'est pas le tout, gamine... Mais quand t'auras fini ta méditation cul nu, tu penseras p't'être à mes croquettes, hein !"

Dessin: "Aïe Waï aïe !" © Stan/E - 2023

27 juillet 2023

Le vilain petit canard ? Coin !

3584 -
"Encore au coin ?! Décidément..."

Vous allez peut-être me trouver monomaniaque et vous n'aurez pas tort... vrai qu'en ce moment le thème est sans doute un peu récurrent chez moi... 

Mais voilà, c'est un passage obligé, une découverte, un rituel, qui sait ? 

J'avoue, j'aime bien m'asseoir et sans un mot puisque tout a été "dit", contempler la demoiselle dûment punie et en partie dénudée, son derrière exposé aux regards, qui reprend son souffle après une bonne fessée... 

Face au mur, elle renifle mais n'ose se retourner et ferme les yeux, attendant sagement que je la délivre d'un mot, d'un geste. Tout en sachant pertinemment qu'en attendant, mon regard acéré est évidemment fixé avec un sourire sadique et satisfait sur l'aplat garance que je viens d'appliquer à même ses reins. 

Parce que ses fesses pour l'heure incandescentes conserveront un moment la chaleur, tandis que peu à peu s'estomperont marques et rougeurs. 

Et ce jusqu'à ce que je décide d'en raviver la teinte ! 

En attendant, on ira sans doute déjeuner puis se promener, comme si de rien n'était, croisant des gens à mille lieues de pouvoir ne serait-ce qu'imaginer ce qui s'est passé entre nous dans le secret de cette chambre et ce feu "sacré" rituel entre nous qui a empourpré son cul...

Dessin: "Babe alone in Babylone" © Stan/E. - 2023

21 août 2019

Verge à l'ancienne et en kit !

3438 - "Bricolage et travaux pratiques à suivre !"

Chère Ana, vous ne m'en voudrez pas de partager ? Après tout, si on peut rendre service...

J'avoue que je ne suis pas un bricoleur doué... Y'a pourtant le mode d'emploi pour fabriquer cette superbe "verge à l'ancienne" (oui, comme les yaourts, le pain et la moutarde !) qu'aurait sans doute bien plu à la très redoutable madame Fichini.

J'avais déjà l'adresse pour les culottes fendues...

Alors je me suis renseigné auprès de la créatrice. J'ai déjà dans un tiroir à portée un très joli martinet siglé "Waldo", pourquoi pas une verge "Ana" ?

Que répond-t-elle ?  

"Très simple à faire et très économique. Il faut 50 tiges de bambou de ce type (40 cm à 50 cm de long, 0,3 cm de diamètre), une feuille de papier à poncer à grain fin et une cordelette... Le plus long est de passer en revue et poncer toutes les baguettes pour éliminer les plus fragiles et les moins droites et éviter les échardes. Le tout est lié fermement par la cordelette. 

Inutile de chercher à tout bien aligner, les baguettes bougeront de toute façon un peu à l'usage et ça présente un réel intérêt quand on utilise le bout directement sur la peau rougie soit pour griffer soit pour la "malaxer"...

Au travail maintenant :)" qu'elle dit, la dame.

Voilà qui inquiète fort à la maison, d'autant que je me suis mis dans l'idée de passer à la réalisation, hein. Pour un gars qui clame sur tous les sites et blogs de France et de Navarre qu'il n'y a que la main, je me pose là.

Mais bon, c'est une expérience, hein...
Image © Ana Stendhal - "le rouge et le noir"

27 juin 2018

Faire pour le mieux au réveil...

3388 - "Elle n'est pas du matin ? Aidez-la !"

C'est un chouette dessin qui date déjà d'une dizaine d'années, sous le crayon de l'ami Dave Wolfe.

C'est vrai qu'administrer à sa douce une bonne fessée dès le matin a du sens, si on s'en tient au concept "discipline domestique" que je professe (sic) en couple. Une sorte de starter, un adjuvant nécessaire ? Je dois dire que quand ça arrive, la journée s'écoule paisiblement... Comme qui dirait, un must.

Et pour vous ?
Dessin © Dave Wolfe - 2008

01 février 2018

De bons comptes font de bons amants.

3379 - "Le compte à rebours est commencé..."

L'idée ? C'est pour le 8, date anniversaire ! Beau chiffre, deux ronds qui évoquent une paire de fesses, pourrais-je dire devant la psychologue me montrant des images anodines qu'invariablement je rendrais érotiques ! Est-ce que je vois des culs partout ?

Jadis j'avais organisé un petit concours pour mes lectrices dont l'enjeu était... une fessée. Surprenant, non ? Ma belle amie "Chut" m'avait dit lors d'un dîner, complice et amusée, que quelle que soit la gagnante, qu'elle me plaise ou pas, "il faudrait aller au bout" et donc, la fesser...

Une histoire de commentaires à atteindre, un chiffre aussi rond qu'un cul de femme, le 12 000ème (ou était-ce 15 000 ?) atteint par une certaine Valentine, qui reçut sa fessée en bonne et due forme, un jour, pas bien loin de la frontière belge...

Moment inattendu mais réel. Au petit matin, la radio m'apprenait l'infortune d'un de nos hommes politiques en vue du côté d'un Sofitel, à l'étranger. Aucun rapport ?

Bon. C'était amusant et comme dans la chanson de Piaf, "Non, je ne regrette rien !"...

Rien de rien ?

Peut-être quand même, en y repensant, d'avoir un peu expédié la chose, mais la dame ayant trouvé son contentement, moi aussi, du coup... Ce fut un one shot, sans lendemain. Sans amour et envie réelle, ces jeux deviennent un peu gratuits et sans objet, je crois. Je suis un fesseur romantique...

Davantage "amoureux avec suivi régulier" que "fesseur d'un soir". Oh, je reconnais l'avoir été parfois, mais au final, ça m'a toujours laissé un peu sur le côté, avec amertume et regrets de ne pas avoir su dire non, quand je sentais (avant) qu'il ne fallait pas y aller. Et que j'y allais quand même. Avec (après) de l'agacement envers moi-même d'avoir été incapable par pur plaisir de résister, de dire non.

Bref, d'être aussi "facile" parfois...

Allons. Mieux valent des remords que des regrets. Je n'ai ni les uns ni les autres. C'est passé.

Du coup, nous voici arrivés, vous et moi, à la 12ème année "d'Au Fil des Jours"... Marquer le coup, oui, mais comment ?

OK, sans aller jusqu'aux 15 000 claques d'une fessée mémorable qui fut appliquée mathématiquement devant un public averti il y a quelques années, mettant en scène un ami disparu et sa compagne, j'ai pensé que 100 claques par année ? 1 200, donc ?

Ça devrait faire une jolie photo, que, pudeur oblige, je transformerai en dessin. Madame une fois rougie se préférant culièrement illustrée que crûment photographiée par mes soins, l'image vaudra preuve.

Le 8 février, date anniversaire, ce sera donc une fessée qui compte ! Just for fun...

... And love, as usual.
Dessin: "12X100=1200" © Stan/E.

27 décembre 2017

Histoire de fréquence...

3370 - "Histoire de rythme... et de régularité !"

Ils avaient échangé plusieurs mails de plus en plus précis, réelle façon d’apprendre à se connaitre avant même de se voir. L'un et l'autre souhaitant avant tout sans se le dire vraiment éviter erreurs, approximations et rencontres hasardeuses au petit bonheur la chance...

"Chat échaudé craint l’eau froide" dit-on. Bien sûr, il avait en magasin deux (ou trois) belles histoires, au mauvais moment: elle était libre, pas lui, il l'était, elle ne l'était plus, un classique... Mais surtout à la longue, trop de déconvenues, de déceptions d’après-rencontres et surtout ces petits ratages, ces moments gênants où on voudrait être ailleurs, du temps plus ou moins long passé avec des filles aussi chiantes éloignées de lui qu’il l’était d’elles, avaient émoussé son enthousiasme.

Du moins le croyait-il... Et pourtant, à nouveau, il replongeait.

Comme à chaque fois. Parce que: "Et si c'était la bonne ?"

Forcement au fil des phrases se dessine un début de complicité, le trouble mutuel de lire les réponses qui arrivent, quelques minutes à peine après les questions posées, l’attente les yeux rivés sur l’écran et ce petit sourire d’excitation en voyant s’afficher "vous avez un nouveau message..." de plus en plus rapidement, à la façon d’un ping-pong virtuel aussi direct et sans fausse pudeur ni compromis qu’érotique.

On est sur la DD (Discipline Domestique), avec pour envie de la vivre, vraiment. Pas juste pour jouer, mais que ce soit quasiment inscrit dans les rituels du couple... C'est un truc qui leur fait envie depuis... depuis toujours, en fait ! Lui l'a approchée, a beaucoup fessé dans sa vie, mais jamais vraiment avec une profession de foi conjugale au quotidien aussi ancrée. Intéressant. On continue...

À un moment, ils en viennent à évoquer la fréquence des fessées qu'elle rêve de recevoir. Parce que finalement, ça a du sens de savoir un peu sur quel chemin on s'engage. Alors ? Une fois par semaine, deux ? Par mois ? Lui sait qu'il en a besoin, que s'il ne le vit pas avec régularité comme avant, le risque est grand qu'il s'en aille chasser ailleurs au bout d'un moment, l'envie est plus forte que lui.

Alors il demande carrément, un brin innocemment, mais pas trop: “et toi dis-moi, par rapport à ta libido, tu penses que tu as besoin d'être fessée à quelle fréquence ?“

Sa réponse fuse dix secondes plus tard...

“Everyday !“ (*“Tous les jours“...)

Pas autre chose dans le mail. Pas d'enrobage, pas de "bisous", pas de signature. Juste un mot, poussé spontanément comme un cri du cœur. Tous les jours ?

Tous les jours ! Et c'était pas pour faire un mot.

Bon, les ami(e)s... Et VOUS Messieurs-Dames ? Je ne vous ai jamais vraiment demandé, mais... Quelle est votre fréquence, dites ? Les réponses dans les commentaires ? J'attends avec intérêt détails et circonstances, hein...
Photo: "Bon usage du W..." © Stan/E.

26 août 2017

Le jour du Saigneur !

3362 - Revoir ses classiques...

Je ne suis plus venu depuis un moment, mais le monde de la fessée tourne toujours. Ainsi, le 8 août, j'ai pour la première fois intentionnellement fêté comme il se doit notre fameux Spanking Day, en fessant Madame de la bonne manière.

Allons, le 8/8, on s'en parle chaque année !

- "D... Darling ? You wouldn't dare ?!"

... Ben si, tu parles !

04 octobre 2016

Que les choses sérieuses commencent...

3356 - "Cinquante nuances de lanières"...

Quand elle entend que - jugeant sans doute le moment venu - son amoureux sort enfin le martinet du tiroir après une fessée préparatoire qui la laisse pantoise, la fille se place à plat-ventre. Et des milliers de papillons palpitent entre ses cuisses en battant des ailes en elle, comme s'ils voulaient s'envoler par myriades...

Petite chérie a l'impression qu'avec cet instrument qu'elle craint, des centaines de lanières lui fouaillent la peau au point de la brûler d'un feu ardent.

Véritable torture aux effets douloureux, mais délicieux abandon qui lui fait perdre la tête et en demander toujours plus.

C'est l'impression qu'elle a quand le martinet siffle dans l'air au milieu de la nuit.

Lorsque la punition devient inévitable parce que ses insolences répétées en permanence s'ajoutant à une puérile attitude de défi trouvent enfin la limite de sa patience. À lui...

Mais il n'a que 9 lanières...

Pour un peu, folle de trouille et prête à en pisser de frousse dans les draps, elle crierait presque par soulagement, extériorisant ainsi ouvertement sa peur et son désir avant que ne cingle le premier coup qui va la marquer de rouge d'entrée. Jusqu'au cramoisi. La femme se prend alors à cet instant précis à penser que décidément elle est folle d'aimer à ce point être corrigée par son homme à la moindre faute, selon ces foutues règles qu'ils ont établies ensemble, au début du jeu...

Jeu qu'elle aime. Tant. Lui, son bourreau, ne cessera que lorsqu'il jugera la punition suffisante. Là aussi, c'est leur règle.

Et voilà qu'il lui demande de compter...

25 août 2016

Vous avez dit "domestique" ?

3352 - "À l'ancienne..."

Ok mesdames et mes amies les filles, je vous le concède, tout ça est un peu caricatural, sur le principe de "la femme qui aurait le neurone du ménage et pas son mari", c'est bien connu et il y a même un premier et ensuite un second plan cadrant bien le balai et le seau pour montrer que cette souillon n'a pas fait son travail de Cendrillon...

Mais il faut bien un alibi "plausible" (je me me faire allumer) pour cette fessée très "discipline domestique", dans le sens ancillaire du mot...


09 juin 2016

Même si tu chiales...

3346 - "Sans la moindre concession..."

C'est une fessée dans les règles de l'art qu'administre ce monsieur à sa femme (admettons qu'elle le soit, tiens, je suis très "DD" ("discipline domestique") en ce moment) qu'il maintient solidement positionnée en travers de ses genoux. Une correction intransigeante, rageuse, claquant tour à tour fesses et cuisses en cadence.

On voit comme au spectacle et en gros (!) plan les plantureuses fesses de la punie qui se débat et reçoit ce qu'elle mérite, avec des plaintes et des cris qui ne semblent pas feints.

J'adore. cette petite séquence. Même sans être fan des bas que beaucoup de filles croient devoir mettre à chaque fois qu'elles ont un rendez-vous galant. Mais c'est sans importance. L’essentiel est ailleurs. Et une fois la culotte baissée, madame fait moins la maligne.

C'est tout ce qui compte !


03 juin 2016

Punitions ancilllaires ?

3343 - "Tenter le diable..."

Elle est là, un peu honteuse, fesses à l'air dans la cuisine, debout devant l'évier. Chaleur et rougeurs attestent du sérieux du châtiment qu'elle vient de recevoir.

Pas de faux procès, il ne s'agit évidemment pas ici de la réduire à des tâches domestiques qui ne sont pas selon moi l'apanage des femmes et que d'ailleurs je fais aussi bien qu'elle, mais juste parce que ça se passe là, dans cette pièce.

Faut dire que désormais, on nous vend des "cuisines américaines" à tout bout de champ et que du coup, la fesser au salon revient à le faire aussi dans la dite cuisine.

Voilà un moment qu'elle me cherche, ça se sent.

Au début, comme à chaque fois je ne la vois pas venir et lui répond gentiment au premier degré avant de comprendre que c'est juste une posture, une façon de me chercher pour qu'à force de m'asticoter elle parvienne à me faire craquer, juste avant que je ne l'empoigne pour lui appliquer une correction dans les règles...

Et elle n'a pas fait le voyage pour rien !

31 mai 2016

Bien trop longue attente...

3340 - "Tu es à moi !"

C'est peut-être sa façon de dire: "je t'aime..." 

Pieds et poings liés, la fille attend son bon vouloir, les fesses hautes.

Les yeux clos, elle savoure sa totale reddition. Ce n'est pas lui qui a imposé leurs jeux, c'est elle qui implicitement les demande puis les accepte, (j'allais dire "les dirige"...) l'autorisant à toutes les voluptés d'un seul regard ou d'un seul mot. Petit à petit, la fière a eu envie d'être sienne, de lui appartenir et de capituler dans ses bras, sur ses genoux ou à plat-ventre quand il est fiché en elle et l'envahit d'une seule poussée rectiligne et impérieuse au plus serré d'un cul marqué et incandescent.

Indécent...

Pudique impudique, elle a décidé de se laisser porter par ces plaisirs troubles qu'elle n'avait jamais avant lui vécu autrement qu'en images dans sa tête, loin de penser un jour passer à l'acte pour les vivre pleinement physiquement.

Confiante. Pas "soumise". D'ailleurs, à elle la pasionaria féministe qui est de tous les combats, le mot dans son acception au premier degré fait horreur, agissant sur elle comme un répulsif, d'ordinaire...

Pourtant...

La confiance permet tout. Le laisser-faire, le laisser-aller, l'abandon de soi, les mots les plus osés deviennent vocabulaire évident, sans retenue ni blocage...

Mais... La confiance se gagne. Elle se perd aussi immédiatement et sans rémission, si on ne l'entretient pas. Ces abandons et ces désirs exclusifs n'appartiennent qu'à eux deux et ne tolèrent pas trahison et petits mensonges, lâchetés ou autres tromperies du quotidien dont beaucoup d'humains semblent parfois - cédant à la facilité - si friands. Je suis à toi si tu es à moi, pas de place pour immiscer sa peau entre eux quand on est tierce personne...

Pour peu qu'on soit en osmose, en fait pas grand-chose ne nous arrête, excepté nos propres limites, de toute façon très similaires, quand on se connait et que le dialogue permanent est la composante essentielle de ce qui nous rapproche...
Image © Koldunov Bros

30 mai 2016

Sous le tissu, les fesses...

3339 - "Personne ne le saura..."

C'est quelque chose d'important dans ma libido qui d'ailleurs revient souvent au cours de mes envies: que ma compagne et moi nous promenions main dans la main, balade d'amoureux dans Paris (pas sous la pluie comme ces jours-ci mais au soleil, évidemment !) en étant elle et moi les seuls à visualiser très nettement ce que personne ne verra, à savoir la rougeur et l'incandescence sous la jupe ou le jeans...

Nous marchons au milieu de la foule qui ne doute de rien, tout en sachant que Madame a été punie. Qui pourrait s'en douter en nous voyant passer, elle le bras autour de ma taille et moi la main tendrement posée sur son épaule... ?

Chaque mouvement et chaque pas lui rappellent chaudement la correction reçue peu avant de sortir pour raviver la chaleur que j'aime tant ressentir sur son cul et que parfois je lui remémore à l'oreille ce qui s'est passé, tout autant que ce qui l'attend en rentrant...

Elle frémit d'aise, délicieusement troublée.

Me susurre des "Non, chuuuut, arrête !" en roulant des yeux de comédienne du Français qui se veulent inquiets mais ne sont que concupiscents et dans l'attente de ce qui va lui arriver...

... Et qu'elle me demandera de lui raconter, de lui chuchoter dans le creux de l'oreille au cours de nos ébats. Ou même à voix haute si je veux la faire rougir dans la chambre tandis qu'elle s'offre et répète mes horreurs avec gourmandise, tout en imaginant avec une délicieuse gêne nos voisins de chambre le lendemain matin au petit déjeuner nous regarder avec des sourires égrillards et rigoler sous cape en faisant des messes basses...

C'est que ça fait du bruit, parfois, une bonne fessée...

26 mai 2016

Partie de campagne...

3337 - "les choses sérieuses..."

Ça faisait pourtant un bon moment qu'il l'avait prévenue...

Plus question de laisser passer ses impertinences répétées et ses petites provocations stériles... Il y a un temps pour tout. Y compris pour sévir !

Assise à l'avant de la voiture, elle l'avait écouté avec un agaçant petit sourire en coin qui semblait vouloir dire "cause toujours..." avant de poursuivre comme si de rien n'était, au fil des kilomètres qui s’égrenaient sur l'autoroute...

Il n'allait pas la fesser sur la bande d'arrêt d'urgence !

Et puis il avait pris une sortie que n’indiquait pas le GPS, passé le péage tandis que curieusement inconsciente du "danger", la jeune femme moqueuse qui n'avait pas le sens de l'orientation ne cessait de l'asticoter... Ils roulaient à présent sur une petite départementale bien moins fréquentée sans qu'elle ne s'aperçoive (et donc ne s'étonne) du soudain changement d'itinéraire...

C'est quand son mec avait stoppé la voiture en pleine campagne sur un étroit chemin de terre derrière une petite maison de vacances visiblement vide de ses occupants et sise à l'écart de la circulation que la demoiselle avait compris que la France profonde possédait de toute évidence un charme indéniable pour qui recherche un peu de discrétion...

Posément, il avait coupé le moteur, retiré la clé et était sorti de la voiture, claquant sa porte, la laissant étonnée et un peu interdite...  

- "Envie de faire pip... ?"

Visiblement pas. Ouvrant la portière passager et l’attrapant par le bras, son homme l'avait sortie de l'auto sans ménagement et un mot, les lèvres serrées et le regard dur... Avant de l'entrainer sans rémission derrière l'habitation.

Une fois hors de la vue d'éventuels importuns, il l'avait troussée, baissant prestement sa culotte en dépit de ses protestations étouffées et de sa gêne, l'inclinant ensuite sous son bras droit avant de la fesser vigoureusement à grandes claques rageuses et sèches qui résonnèrent en écho assourdissant dans le sous-bois tout proche...

Avant de la redresser en la remettant sur pieds, essoufflée et reniflante, ses joues aussi rouges que les fesses...

- "Et maintenant, tu te calmes ou je te fous à poil et tu termines le voyage toute nue sur le siège passager, jusqu'à la maison !"

Autant vous dire qu'elle n'avait plus moufté du reste du voyage ! 
Images © (on reconnait Headmaster Tom...) ?

25 mai 2016

La régularité paye toujours !

3336 - "Dix minutes par jour !"

... Au moins ! C'est de l'entretien quotidien pour tuer dans l’œuf les disputes, résoudre les conflits potentiels, la remettre en place quand elle dépasse les bornes. C'est le même minimum syndical. Alors oui, bien sûr, on m'objectera que ça peut devenir une routine, à force, et que la routine, dans un couple...

Mais dans ce domaine, je sais il n'y a pas de "mauvaises habitudes". À part évidemment celles qu'on veut lui faire perdre. Fumer, boire, sortir tard...

16 mai 2016

Je te ferai chialer !

3331 - "Fesses à l'air..."

Pour lui et sous sa main gauche, elle n'est plus cette nuit-là qu'une paire de fesses à rougir, toute sa féminité, son côté attendrissant et son aura de séduction évaporés en un instant, lorsque dûment déculottée, elle s'offre comme une gamine punie cul nu aux claques retentissantes qu'il lui administre à toute volée pour la dresser... Pour de bon.

Voilà un moment que cette raclée promise lui tournait autour, dans leurs mots, les échanges de mails, les coups de téléphone, l'excitant à distance en attendant le jour des retrouvailles...

Et puis pendant le diner du jour J, un début de bouderie, certes vite étouffé dans l'œuf, offre à son homme un prétexte en or pour sévir. Évidemment qu'ils peuvent "jouer" sans raison autre que le plaisir des sens. Mais quand elle se sait fautive, c'est un pur bonheur que d'enfoncer le clou pour la punir, jeans et petite culotte descendus à mi-cuisses...

Il lui a promis que la prochaine fois, il la recadrerait sans aucunement se soucier ni de ses cris ni de ses larmes. La faire hurler, chougner, supplier, demander pardon...

Le pire c'est que plutôt que de l'en dissuader, elle a continué à l'asticoter....

Chacune des menaces qu'il lui glisse à l’oreille la fait frémir et mouiller, presque à son corps défendant, perdant d'entrée le contrôle...

Mais elle en crève tant d'envie...
Image © Red Charls - "La place rouge

13 mai 2016

L'indispensable trouille bleue...

3330 - "Même pas peur !"

Assise le front collé sur ses genoux, la fille se cache le visage et se sent rougir d'un coup, emportée par l'émotion des mots qu'il vient de prononcer. Les menaces verbales font leur effet. Le martinet lui fait peur. Et puis elle relève la tête avec le regard déjà flou, pas encore brouillé de larmes et reprend très vite ce petit air de défi qu'elle affiche parfois pour le pousser à bout, repousser ses limites, tester les siennes.

Elle le provoque...

"Qu'est-ce que tu attends ? T’oses pas ? Peur de me faire mal ? Tu vois bien que j'arrive toujours à t'attendrir..."

Que ressentira-t-elle vraiment le jour où d'aventure il l'entrainera "au-delà", comme elle en rêve. Il va la punir. Il lui a dit qu'il la ferait chialer comme une gamine.

Elle dit qu'elle a hâte de vivre ça... Assumer.

"Je crois que je suis folle. Cette envie d'avoir mal aux fesses et de pleurer ! Intense forcément, la première fois, celle où tu m'emmèneras jusqu'aux larmes !"

Elle n'a encore jamais atteint ce stade avec son amoureux. Il sourit. N'en fait ni une recherche à tout prix et encore moins un enjeu. Seul un trop plein d'émotions et de douleur seront vecteurs de l’abandon qu'elle recherche et réclame avec impatience. La responsabilité qu'elle lui confère montre quand même que c'est elle qui mène le jeu. Au fond, du "Maitre" ou de "l'esclave", qui donc tient les rênes ?

On connait tous la réponse.

Et lui sait qu'il ne la fessera que parce qu'elle l'y autorise, qu'elle en rêve, veut aller loin et pour se faire, lui a confié les clés de son fantasme. Le leur. C'est lui qui décide maintenant.

Oh, elle lui fait confiance. Il a de suite repéré la serrure, là où ses précédents compagnons de jeu avaient parfois du mal à trouver ne serait-ce que la porte, déjà...

Ah, le cœur bat. Répondre à la demande. À SA demande. Y trouver du plaisir pour soi tout en étant attentif à l'emmener exactement où elle veut, dans un premier temps... avant de dépasser les limites et l'entraîner juste un ou deux mètres plus loin !

Et ça, même avec la clé, pas dit que ce soit plus facile pour autant !
Image © Varga

27 avril 2016

Le propre de la femme...

3321 - "Se créer des souvenirs..."

Debriefing au téléphone. Dialogue imaginaire... Forcément imaginaire.

- "Alors ? Tu y as repensé ?"

- "Euh ? Cette question ! Oui... Tout le temps du retour."

- "... En tortillant du cul sur mon siège pendant l'heure et demie de bagnole !" grince-t-elle, à voix basse, sans lui avouer. Le gars serait trop content...

- "Ensuite ? La première chose que tu as fait ?"

D'ordinaire moqueuse et volontiers provocatrice, elle lui dirait bien pour le choquer (si peu...) qu'elle a été pisser en premier parce qu'elle n'en pouvait plus, mais encore dans l'émotion, elle préfère aller à l'essentiel... 

- "Hmmm... Je... J'ai été dans ma chambre regarder s'il restait des traces devant la glace. Parce que, euh... Ça brûlait..."

- "Et ?" Sa voix, impérieuse. Qui "matche" à tous les coups. Elle chavire.

Long silence.  

- "Je m'attendais à des rougeurs, à des marques. Mais c'était très estompé."

Il ne dit rien, savoure l'information. Elle poursuit.  

- "Ne reste qu'une sensation de chaleur. Qui ne me quitte plus par contre. Pour les marques, il... Il faudra, euh... recommencer."

Et puis après un second silence...

- "... On se voit bientôt ?"
Dessin © Brian Tarsis

25 avril 2016

Sanctionner les fautes "graves"...

3320 - "Passer un cap..."

Depuis leur rencontre, la jeune femme le provoquait systématiquement, un peu par bravade, pour voir jusqu'où ce type calme et souriant pouvait aller au moment de la punir.

Confondant sans doute sa gentillesse avec de la complaisance, pensant un peu naïvement qu'elle saurait l'attendrir, bref qu'il n'oserait jamais la fesser sévèrement comme elle en avait envie, la demoiselle avait pourtant rapidement compris au retour d'un dîner un peu agité, qu'une fois en travers de ses cuisses, il savait faire...

Mais bien que très fort, il ne la fessait qu'à la main...

Or, même en trouvant régulièrement une réponse sonore et claquante à ses impertinences récurrentes, c'était plus fort qu'elle: pour continuer à y croire, ressentir cette trouille qui fait battre le cœur au moment où on ne peut plus reculer, il lui sembla logique d'intégrer dans leurs jeux une sorte de graduation pour les "fautes" graves.

Ludique. Mais aussi sérieux.

C'est alors qu'il lui glissa au détour d'une phrase avec un sourire en coin qui la fit chavirer immédiatement, qu'il possédait - quelque part dans un tiroir de sa commode - un martinet qui n'avait pas encore servi...
Photo © ?