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20 mai 2016

Le dernier des posts de Stan ?

3333 - "Le dernier ? Mais... ?"

Je dois vous avouer un truc.

Depuis plus deux ans, je me dis qu'à la façon d'un "bandit manchot" (ce qui est le comble pour un homme qui aime donner la fessée) je cesserai d'animer ce blog le jour où s'aligneront quatre chiffres, faisant résonner les sirènes et arriver de toutes part des demoiselles en petite tenue hululant comme des sirènes pour venir t'entourer avec un sourire niais quand tu gagnes à Las Vegas... (J'ai eu cette chance il y a pas mal d'années: les hululements, les gonz... euh, hôtesses de l'hôtel, c’était au Caesar's Palace...)

 3333...

Un chiffre rond. Je n'ai pas fait de compte à rebours ces dernières semaines, mais dans l'idée, je voulais vraiment arrêter le blog, pensant sincèrement avoir tout dit, tout raconté. Et parce que tout ça m'était devenu un peu excluant. Que des raisons personnelles m'éloignaient un peu de tout aussi.

Bref.

Et puis... J'ai encore envie, dites donc !

Donc 4444 maintenant ? 

La photo ? Ma foi c'est une que j'ai trouvée et qui me parle en ce moment, même si - rassurez-vous ou tremblez selon QUI vous êtes - je n'ai pas l'intention de passer à la ceinture, tant je suis amoureux du cuir à cuir, du peau à peau, main sur son cul... et du partage. 

Même si l'idée du martinet me fait de l’œil de temps en temps !
Image © ?

27 mars 2015

Le temps qui passe !

3182 - "Et il faut mettre à l'heure les pendules !"

En ce moment, ma libido spankee est en sommeil. Pas le temps.

Oh, l'envie est là, mais pour le moment d'autres urgences me prennent tout mon temps. Et je le déplore. Seul reste le blog, qui me permet de garder le contact et de m’amuser autour des images, des vidéos et des clins d’œil de celles et ceux qui me suivent, réagissant et commentant au gré de leur imagination !

Mais l'heure tourne et l'envie demeure.

Question de timing, comme le suggère l'image ci-dessus ?

23 novembre 2014

J'aime aussi les douceurs !

3143 - "J'vous ai apporté des bonbons..."

Un célèbre chanteur belge disparu psalmodiait ça quand j'étais petit... Paraît que c'est moins périssable que les fleurs...

Je ne connais pas "bien" Waldo, même si nous nous sommes quand même croisés par deux fois au cours des années passées. Pour un déjeuner et ensuite lors d'un vernissage... Depuis on n’a jamais réussi à se revoir, problème de timing de l'un et/ou de l'autre... Ça viendra.


J'avoue que je le considère aussi un peu comme une sorte de grand frère spirituel (c'est vrai qu'il est fort drôle) et sa culture artistique me confond parfois. Quand à son expérience passée et présente, elle me laisse coi sur bien des points. Rien du fascinant monde X des années 70 ne lui est inconnu, une mine d'or d'anecdotes sur cette période prolixe d'un certain cinoche hexagonal et de ses artisans, Tranbaree, Rollin et consorts...

Professionnellement, je suis aussi assez proche de lui en dessin, même s'il a de l'avance en ce qui concerne notre thème de prédilection que je n'ai fait qu'effleurer à quelques reprises là où lui en a fait des centaines.

Je crois que je préfère fesser en réel que de mettre des fessées sur papier, moins amusant à faire... Et qui demeure un travail d'illustrateur avec contraintes et technique...

Cette semaine, il s'est vu offrir une boîte de chocolats par une amie à lui qu'il n'avait pas vue depuis un moment....Une fois ouverte, surprise. C'est PAS des chocolats !

J'imagine la dame, préparant avec amour ces adorables petites friandises en massepain... En pâte d’amande, quoi !


Ah, j'adore le massepain aussi, hein !

 La recette:

"Alors, pour votre atelier "cuisinons avec Onc'Waldo", il vous faut:
- un bloc de 250 grammes de massepain
- du colorant alimentaire rouge (éventuellement bleu, mais vous risquez en ce cas une plainte pour violence massepinomiale)
- une zolie boite
- un ruban

Faites rouler le massepain de façon a réaliser des "boules-de-cul" de la taille désirée. À l'aide d'un couteau, ouvrez fermement la boule en deux (on dit "rayer" pour "faire une raie"?) Un peu de colorant alimentaire pour l'effet bonne mine... Et le tour est joué ! "

Une artiste aussi dans son genre !

PS: Regardez le post ci-dessous... Et la photo extraite du film. Les fesses de cette pauvre Kate ne ressemblent-elles pas comme deux gouttes d'eau à ces ravissantes petites friandises ? 

Même couleur, même forme...
Images © Waldoblog

01 janvier 2013

Sur les chevilles...

   2913 - "Imaginer ce qui se passe au dessus..."

L'instant où le dernier rempart tombe, floconnant autour des chevilles avant de recouvrir les pieds... Incarnation de la vulnérabilité. Elle approche, offrant ses lèvres. Les yeux clos, il savoure autant qu'elle, chacun s'appliquant dans sa partie du jeu.

Tenir, le plus longtemps possible...

02 décembre 2012

La tenir en laisse ? Euh...

    2891 - "Animalité..."

Pas simple... Franchir le pas. L'animalité revendiquée. Cette photo m'interpelle et me ramène à mes souvenirs. Sur ce qu'on peut accepter ou pas, par curiosité ou par amour. Et avec la bonne personne, aussi.

Tenir "une chienne" (au second degré, j'entends bien...) en laisse ? Lui imposer le collier, la cravache ? Selon moi, tout est possible, si euh... l'animal est d'accord.

Il y a pas mal d'années, c'est mademoiselle Flo, une jeune fille (22 ans*) toute nue (mais dans le noir, hein !) avec qui je venais de passer à une phase d'approche nocturne post-dîner qu'on qualifiera d'offensive et pénétrante en la pilonnant en missionnaire façon marteau-piqueur depuis un bon quart d'heure, qui s'est soudain mise à se raidir et à bloquer au moment où changeant mon fusil d'épaule (sic) j'ai émis l'envie de la prendre en levrette, faisant mine de la retourner.

- "Non, arrête, pas comme ça ! Je ne veux pas à quatre pattes, je ne suis pas un animal, putain !" (Oui, pourtant bien élevée à l'origine, Flo parlait soudainement plutôt mal quand elle était énervée.)

- "Mais..." bredouillais-je, très étonné de voir cette jeune fille jusqu'alors très impliquée et consentante me refuser un truc que TOUTES avant elle m'avaient offert sans barguigner...

- "C'est hors de question, je ne veux pas que tu me méprises... Chuis pas une pute quand même !", proféra-t-elle en boudant et tirant le drap sur elle, complètement sortie de l'histoire en cours, arc-boutée dans ses convictions, sans se douter que certaines de ses consœurs adoraient les mots crus. Et cette position qu'elle refusait plus par éducation et sens des convenances que pour l'avoir jamais tentée...

Bref, elle bloquait grave là dessus. Une posture qu'elle trouvait obscène (ben oui, c'est ça qui est bon !) en raison d'une morale judéo-chrétienne inculquée en force, un milieu familial rigide où on ne parlait jamais sexe et des convictions religieuses ancrées, il fallu des trésors de d'écoute, de diplomatie et de négociation persuasive (vous me connaissez) pour arriver à mes fins, après avoir parlementé quand même près d'une heure et demie !

-"Bon, attends... Non, bien sûr que tu n'es pas une chienne, je le sais bien. Mais, Flo, faut pas prendre tout ça au premier degré, ce n'est qu'un jeu, je te respecte évidemment, euh... mais enfin bon, c'est bien comme ça aussi, tu verras..."

- "..."

Et bla-bla-bla... Quand on pense que dans la nuit, mais plus tard, j'ai même reproduit avec elle la scène beurrée du "dernier tango", mademoiselle accomplissant en fin de compte des progrès plus que rapides envers ses blocages, faisant allégrement fi de ses tabous jetés aux orties et s'enfonçant avec délice au cœur de cette soi-disant "bestialité" tant décriée une heure plus tôt... C'est dire comme tout progresse !

Bien débloquée dans la tête, mais hermétiquement close dans les fesses malgré une envie de faire plaisir qu'elle me chantait sur tous les tons comme un klaxon italien.

Avant de s'ouvrir de bonne grâce, une fois tartinée de 50 g de ce fameux Charentes Poitou extra-fin ("tradition du goût" prétendait la pub dont les plus âgés se souviennent) issu d'une plaquette que j'avais été chercher dans la cuisine, têtu, mais manquant cruellement de salive au moment opportun... À force de parlementer, hein. Gorge sèche, normal.

Autant vous préciser qu'ensuite nos relations prirent un ton plus convivial et de plus en plus sexuellement débridé, le temps que dura la romance. Comme quoi...

Et je sais qu'ensuite, ses amants "d'après" n'eurent pas à se plaindre de mes cours accélérés de plaisirs interdits...

(* Précisons pour éviter les malentendus que j'en avais 26...)

01 mai 2011

Changer de culotte !


Oui, j'avoue sans la moindre honte que j'ai dû faire ça vers dix ou douze ans en cachette, d'enfiler les culottes de ma mère piquées dans le tiroir dans sa chambre à coucher... Premières approches d'une sexualité qui pointe déjà et ne veut pas dire son nom, puisqu'on n'en parle jamais à la maison et que je mettrai encore quelques années à savoir comment on fait les bébés.

Vaguement coupable, peur de me faire surprendre, je me revois devant la glace, le front plissé en ressentant une sorte de trouble inconnu en me découvrant fille. Je vous rassure mesdames, je n'en porte plus depuis ces années lointaines et c'était probablement juste une façon de frôler l'interdit en faisant quelque chose de "sale", ou jugé tel, plutôt qu'une tendance féminine cachée qui m'aurait permis de révéler quelque envie refoulée...

Le vendredi, c'est culotte de fille chez Osiris, quand on est un gars.

La demoiselle qui le tient par derrière a retiré le boxer et une autre assise devant lui, visage à hauteur d'un sexe qu'il tente de dissimuler, gêné, l'aide gentiment à enfiler une élégante petite culotte rose à nœuds et dentelles, bien moins mâle...

Les fesses déjà rougies montrent que ça ne s'est pas fait tout seul.
Dessin © Underling

03 mars 2011

Parker and Barrow !

2226 - "Trail's end"...

Je suis surpris par le sourire de cette jolie jeune femme espiègle de 23 ans... Qui tua plusieurs personnes.

On a parlé de Gainsbourg toute la journée, et ce soir encore. J'ai vu il y a une semaine le film de Sfar qui m'a laissé un peu sur la touche, tant j'ai été bluffé par l'acteur principal et horripilé par le scénario chiantissime. Peu importe. Il restera de Serge infiniment plus que ce biopic raté qu aurait pu être génial.

Oublions, pour regarder ces jeunes gens qui posent devant leur voiture, deux jeunes Américains qui vont connaître un destin tragique et avant d'être immortalisés en 1967 au cinéma par Dunaway et Beatty et dans une chanson célébrissime l'année suivante en 68, sous les traits de Serge et de Bardot. Bonnie and Clyde...

Les paroles sont inspirées du poème de Bonnie, "the Trail's End".

12 février 2011

♫ Don't go home, please ! ♫

2198 - "Lolita menottée"...

Dieu qu'elle était belle, Jane sur la pochette de ce "Lolita go home",  album de 75 sorti en pleine vague gainsbourienne. Tout à fait le genre de demoiselle qui m'émouvait dans ces années-là.

Serge ne l'avait pas encore fait tourner avec Joe Dallessandro à l'arrière du fameux camion-benne, mais déjà, l'amour physique était totalement sans issue...

J'avoue que je n'avais jamais vraiment fait attention aux menottes, pourtant présentes, me concentrant davantage sur le regard et tout ce qu'il pouvait inspirer de troubles érotiques à un jeune homme d'à-peine 18 ans...

11 janvier 2011

Spank your Mini...

2151 - "Adorable arrière-train ?"

La Mini revue par BMW quand ils ont racheté Rover fait un carton chez les filles depuis qu'elle a été lancée. Il faut reconnaître que le design cinquantenaire dessiné par Sir Alec Issigonis a été conservé, mais revu, dépoussiéré et modernisé. Et que oui, elle a un arrière très réussi.

Au point de la fesser ?

D'ailleurs, la voiture est rouge...

08 janvier 2011

Cynisme intempestif...

2146 - "L'impression d'un filet de pêche !"

En fait, des bas à résilles probablement achetés pour l'occasion à Prisunic, histoire de faire monter la pression des mâles. Sauf que ça ne lui allait pas, mais alors pas du tout.

On avait évoqué une partouze. Enfin, plus élégamment "un jeu à trois"... (le mot "triolisme" très usité dans les magazines féminins n'était pas à la mode comme aujourd'hui !) Une collègue de travail de mon copain, dénommée Martine était très partante.

Faut dire qu'il l'avait briefée et travaillée au corps.

Sergio m'avait dit: "tu vas voir, elle vient habillée super sexy..." et j'avais en face de moi, dans ce café où elle venait d'entrer pour nous rejoindre, une demoiselle un peu timide, visiblement habillée pour la circonstance et engoncée dans des fringues trop osées pour elle. Ses jambes résillées un peu plus fortes que de raison, le tout accentué par la pression et l'élastique en haut du jarret me firent immédiatement penser à deux saucissons entourés d'un filet et accrochés au plafond d'une charcuterie.

Pas charitable. La vision de la brave Martine accrochée comme un jambon de Bayonne en haut de la boutique tripière m'est apparue d'un coup. Je fus pris d'une crise de fou-rire incontrôlable, perdu dans des pensées évidemment inexplicables. Mon pote m'interrogea du regard pendant que cette pauvre Martine s'asseyait, pas très à l'aise et que je cherchais désespérément une excuse potable à mon rire idiot impossible à stopper.  

"C'est nerveux..." tenta de justifier l'ami Sergio...  

- "Tu vois, il est troublé... T'es super féminine ! Elle est très belle, hein ?" reprit-il en lui palpant vigoureusement le cuissot avec un clin d'œil égrillard vaguement complice dans ma direction, tandis que les larmes de rire brouillaient ma vue et coulaient sur mes joues...

Nouvelle crise de rire incontrôlé dont j'ai bien conscience qu'à force, ça devient de moins en moins agréable pour la demoiselle. Je pouffe ! (non, ce n'est pas un jeu de mot)...

Difficile lui préciser l'image grotesque que j'avais en tête pour ne pas paraître plus discourtois que je venais de l'être accidentellement. Tout le repas se passa dans une fausse bonne ambiance avec des conversations prétextes assez vaines et une façon de procéder où chacun se jaugeait gentiment, mais trop tard, le mal était fait...

Saucisson !

Va-t-en récupérer ça, tiens !

Bref, ratage sur toute la ligne...

On s'est retrouvé chez elle, dans un petit trois-pièces coquet de Vincennes.

Là, une fois sur place, on s'est motivé pour la part... Euh, le trio. Mais impossible de me détacher de l'image charcutière.

Alors oui, ils sont devenus entreprenants et ont commencé à se lutiner de plus en plus sous mes yeux, vautrés sur le divan. Je ne pouvais pas retirer mon regard des cuisses enfermées dans ces bas dont un avait filé, laissant apparaître un trou s'élargissant à vue d'œil.

Seul avec Titine, j'aurais probablement surmonté mon peu d'envie et accentué l'ouverture, déchirant cette panoplie convenue avant de la fesser avec vigueur.

Mais là, je me suis contenté de regarder leurs ébats sans grande saveur, déclinant poliment une demande de venir les rejoindre... Prétextant un herpès géant évidemment sacrément dissuasif.

Quand l'osmose n'y est pas...

07 février 2010

Cible émouvante pour cowboy en herbe...

1484 - J'aime bien jouer aux cowboys et aux indiens...

Enfin, j'aimais bien, quand j'étais petit.

Depuis le temps a passé. Je ne me déguise plus en Josh Randall avec le feutre mou de mon grand-père qui faisait un peu chapeau texan dans mon imagination et la fameuse Winchester à canon scié du chasseur de primes des années 60...

Dont, comme des tas de mômes de cette époque, je possédais un exemplaire en plastique et à fléchettes...

Avec une cible dans l'emballage. Comme celle ci-contre ?

Non, les fesses de l'indienne n'étaient pas au programme. Plus prosaïquement, on avait des petites têtes d'outlaws patibulaires en carton, à placer à quelques mètres pour tirer dessus...

Aujourd'hui, curieusement, je préfère de loin les rondeurs de cette squaw à plat-ventre.

Pas nécessairement pour jouer aux fléchettes. Par contre, une petite séance au poteau de torture...

PS: ne me cassez pas mes rêves. Oui, j'ai bien vu que sur ce petit dessin on avait plutôt affaire à une soubrette "années 30" nattée avec une coiffe, un plumeau et des bas... Mais c'est moins marrant à imaginer qu'une cheyenne captive et les fesses à l'air sur un lit dans un saloon...

03 janvier 2010

Tsunami en rouge vermillon...

1403 - C'est curieux... En ce moment me prend des envies de... fessée !

Une envie qui n'étonnera personne, après tout je tiens un blog sur le sujet, hein ! Mais je ne suis pas sur le gril 24 heures sur 24 non plus, il m'arrive même (rarement, oui, bon...) de penser à autre chose...

Mais ça m'a pris hier et ne me quitte plus depuis. Faut qu'je fesse.

Alors qu'elle soit prévenue, j'ai envie de la faire hurler, crier, pleurer...
Lui rougir les fesses, lui faire des marques, faire flamboyer son cul à ne plus pouvoir s'asseoir pendant, euh... Une journée ? Ou deux ?

La consoler ensuite s'entend... Avec mes bras autour, sa tête dans mon cou, sur mon épaule. Je suis un homme sur qui on peut compter. Et s'enfouir. Pour se cacher avant de récupérer. Et de se sourire, les yeux dans les yeux...

Reste plus qu'à LA trouver. Bon, OK, c'est pas le plus facile...
Dessin: "La fessée est amour..." © Monsieur To

10 décembre 2009

À poil... mais sans !

1351 - "En avoir ou pas"... Des poils. Vaste question.

Je ne parle pas des filles, la mode étant ce qu'elle est, je suppose que la plupart de ces dames ont déjà tenté l'expérience de se faire arracher les poils recto-verso, pour le plus grand plaisir de l'homme qui y verra probablement une nouveauté intéressante et un plaisir décuplé en cas de cunnilingus... Je connais. Tout comme je sais les réticences de quelques filles qui bloquent sur l'aspect "petite fille" et ont peur de réminiscences perverses anormales chez leur partenaire qui semble frétiller en évoquant l'absence de poils autour de leur précieuse chatte. Je n'ai jamais fait le rapprochement, j'aime bien ça, sans y voir rien de malsain dans ce sens...

Mais inversons un peu.

Car oui, messieurs, apparemment pas de rapport avec la fessée, (quoi qu'en cherchant bien, TOUT dans ma libido a un rapport avec la fessée...) mais je vous propose ici un banc-test masculin sur les vertus de l'épilation pubienne.

CUI y est allé et nous raconte en détail comment il s'est retrouvé glabre et talqué sous son caleçon en sortant de chez l'esthéticienne.

De là à y passer à mon tour, il y a de la marge. Mais qui sait ?

Après tout, ça repousse.

"L'origine du Monde" © Courbet

23 septembre 2009

S'amuser toute seule...

1217 - J'ai évoqué récemment la sortie du livre de la belle AnneLolotte, cette fois ça se rapproche.

Voici le coffret de Noël.

Le livre dans un chouette package bien étudié, incluant un sex-toy rouge à lèvres et une... "mini-bague plume" ? Là je vois pas bien, pour la bague... C'est ce machin qu'on se met autour de la bite ?

Je savais que ça existait chez les Incas déjà, (ou seraient-ce chez les Patagons ? En tout cas en Amérique du Sud...) cet anneau avec des poils très durs, un truc qui servait au plaisir mais aussi à punir les femmes infidèles. Un guesquel, en poil d'âne ou de guanaco...

"Ces crins sont raides et longs d'un bon doigt et leur effet est si violent que la femme hurle, pleure, grince des dents, mord, éclate de rire, sanglote, s'agite, écume, bave, fait des soubresauts, se tortille (...)

L'orgasme est si puissant qu'après la détumescence, la femme reste épuisée, râlante, rassasiée, satisfaite, comblée, étourdie de bonheur, bête à pleurer, n'en pouvant plus..."
© Blaise Cendrars - "Le plan de l'aiguille" - 1927

L'objet en plumes est sans doute plus soft... Mais chouette coffret. Pile le cadeau mode qu'on va retrouver sous pas mal de sapins. On pourrait pas imaginer un coffret "fessée" du même acabit ?

05 septembre 2009

Souvent entre ses reins...

1184 - "Anthologie de la sodomie"...

Un livre sorti en mai dernier avec un titre qui ne me déplaît pas. Pour moi, comme pour l'Auteur, la sodomie est "davantage qu'un simple jeu érotique"... Clairement.

J'adore ça.

Dans mon imaginaire érotique, j'ai toujours lié fessées et prise par derrière. Je veux dire dans le cul. Je dois aimer cette partie du corps plus que de raison.

Bref, pour la plupart des auteurs spécialisés dans le genre: "c'est le point d'orgue, l'apogée de la relation amoureuse, le moment de la plus grande intimité entre deux partenaires."

Pas faux. J'aime cet abandon total.

Dans ce livre, "on trouvera des textes qui décrivent gestes et plaisirs de la sodomie, que ce soit entre un homme et une femme ou entre deux hommes. Une courte notice présente à chaque fois l'auteur et son œuvre." C'est normal, Bernard, c'est le principe de l'anthologie...

Bernard Guérin a écrit d'autres livres, dont un essai remarqué sur "la disparition du bigorneau en Baie de Somme au cours de l'été 1924". Je vous jure que c'est vrai. En tout cas, c'est ce qui est écrit dans le "prière d'insérer"... Et c'est publié par la Musardine.

15 avril 2009

Mâle attitude...

965 - Illustration issue de l'imagerie gay qui d'ordinaire me laisse de marbre. Pour une fois, c'est un cul de garçon qui prend. Dans mes enfers switch, il y a parfois l'envie de m'abandonner à une personne (homme ou femme...) capable de m'entraîner aussi loin que je le fais moi-même avec celles de mes amies qui le suscitent. Comme sur ce dessin.

Il m'est arrivé - rarement mais quelquefois - d'être de l'autre côté, c'est vrai et ce n'est pas un scoop, il suffit de relire le blog. 90-10 en pourcentage, je l'ai déjà dit...

Quoi qu'il en soit, en ce moment je me sens plus dominant que dominé et j'ai l'impression que c'est pour quelque temps encore.

Je n'ai pas tout dit. Elle le sait.

14 juillet 2008

Just a break...

647 - ...For holidays !

PS: Je passerai quand même en coup de vent de temps en temps lire vos commentaires. Que j'espère nombreux... Bises.



12 juillet 2008

Changer une ampoule...

644 - Je confesse (joli mot, hein ?) porter assez peu d'intérêt envers les potiches purement décoratives à la plastique certes irréprochable mais au cerveau en jachère.

Qu'on ne s'y trompe pas: j'aime les "belles" femmes, mais aussi avoir du répondant en face.

Et pas qu'un peu...

C'est quand même autrement plus excitant de faire rendre les armes à une adversaire à sa hauteur, voire supérieure, que de conquérir une proie qui joue "perdante d'avance", non ?

Quel plaisir peut-on trouver à fréquenter des dames qui se couchent quand on leur propose de s'asseoir ?

Je n'aime pas les "soumises".

... Encore moins les petits "maîtres" qui s'en servent pour pallier à la médiocrité d'une vie réelle où ils ne sont que subalternes à la merci de chefaillons, écrasant à leur tour sexuellement de pauvres filles pour compenser...

Éternel et classique loi de la nature appliquée aux travers des hommes: le fort bouffe le faible, qui trouvera un plus faible en dessous de lui qu'il écrase à son tour et ainsi de suite...

Je n'aime guère qu'on se prenne trop au sérieux. Que l'humour soit absent. Qu'on soit incapable de rire de soi quand on est ridicule, de ses propres ratages... (et Dieu sait si j'en ai à mon actif ! C'est bien d'en rire. OK, je vous le concède, pas forcément au moment où ça arrive...)

J'aime les échanges passionnés (passionnels) et les joutes verbales... J'aime le regard qui pétille, l'œil qui frise, la complicité intellectuelle, charnelle, sensuelle, sexuelle, bref tout ce qui se termine en... Elle !

J'aime apprendre de mes amantes. On apprend à tout âge. (En fait c'est bientôt mon anniversaire...)

12 juin 2008

Corps de femmes...

596 - J'adore la sculpture...

Valmont, dont je vous recommande le blog "l'érotisme se dévoile", en a déjà parlé...

Ce n'est pas pour autant que je vais m'interdire une piqûre de rappel !

Les sculptures de Jacques le Nantec subliment le corps de la femme, dans des poses alanguies et lascive, voire insolites comme dans sa série "météorites", une mise en situation au travers de montages étonnants sur des images de rochers et de mer, comme sortis du temps.

"Qui peut savoir ce que recèlent vraiment les météorites et autres étoiles filantes ?

Le temps de faire un voeu et elles ont disparu.


Imaginez que l'une d'entre elles finisse précisément sa course dans votre parterre de millepertuis.

Vous la découvrez encore chaude. Approchez votre oreille: toc, toc, un coeur bat. Un être vit à l'intérieur...

Supposons que vous réussissiez, après des mois et peut-être des années de recherches tenues secrètes, à ouvrir la pierre sans détruire la créature mystérieuse.

C'est l'aventure qui m'est arrivée..."


Sculptures © Jacques le Nantec

17 février 2008

À poil chez nos voisins Allemands...



514 - Si la petite séquence du post précédent vous a fait lever un sourcil, que dire de celle-ci dans laquelle une jeune Allemande (Isa, si tu peux traduire, dans les commentaires ?) traverse le centre d'Heidelberg dans le plus simple appareil, (en clair totalement à poil, exceptées ses bottes !) et cela sous le regard à peine surpris de nombreux passants ?

Pas un seul flic pour la stopper (sauf peut-être à la fin, le type en civil dans le grand magasin) et cette foule de gens, hommes, femmes et enfants, qui déambulent à des côtés ou qui la croisent, certains sans même se rendre compte de ce qui se passe.

On distingue bien aussi quand même quelques types qui la suivent avec la bave aux lèvres, mais la présence de la caméra qui filme la fille durant 1/4 d'heure dans les rues de cette petite ville d'outre-Rhin doit les dissuader sans doute de venir l'importuner...

OK, on est ici un peu loin de la fessée, mais c'est quand même étonnant...