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05 août 2023

Son cadeau !

 3588 - "Jusqu'ou iras-tu ..."

... Pour lui plaire ?

Vaste question..

Mais surtout... Happy Birthday, hein ! 

Dessin: "L'appel du loup..." © Stan/E. -2023

17 mai 2020

Et même au-delà de la mort ?

3484 - "La tombe... du fouet !"

C'est en Italie qu'on visite la fameuse “tomba della fustigazione“...

Plus précisément un peu au nord de Rome, dans la nécropole étrusque de Monterozzi aux environs de Tarquinia.

Datée d'environ 490 avant J.C. (non pas "Jean-Claude"...) cette tombe découverte seulement en 1960 porte ce nom singulier en raison d'une des fresques ornant un des quatre murs et pour laquelle évidemment nous aurons ici un regard tout particulier...

Bon, il est malheureusement visible au premier coup d’œil que la plupart des peintures de ce tombeau sont gravement endommagées et nécessiteraient un important et complexe travail de restauration...

Il n'empêche qu'on devine quand même facilement le but du projet... On y voit des musiciens, des danseurs et un boxeur nu peints sur les murs de l'unique pièce. Tout ici suggère l'influence du culte de Dionysos. Sur le mur en face de l'entrée, deux de ces personnages sont séparés par une fausse porte peinte sur le mur. Bon, c'est joli, OK mais on s'en fout un peu...

C'est sur le mur à droite de l'entrée que je vous invite à découvrir deux scènes érotiques, à chaque fois mettant en scène deux hommes et une femme.

Triolisme, donc.

Avec à gauche deux hommes, vraisemblablement en train de satisfaire la femme qui se tient debout entre eux. Et à droite, autre trio avec une femme penchée en avant se maintenant aux hanches d'un barbu, lequel a sa main droite levée au dessus de la croupe, dans un geste qu'on qualifiera de sans équivoque...

Il semble assez évident sans être spécialement perspicace que cette fille est en train de le sucer poliment, mais l'état de la peinture, très abimée à cet endroit et sans doute vandalisée à plusieurs reprises (peut-être par puritanisme religieux et ordre moral dans un pays très catholique ?) ne permet pas de le déterminer avec certitude... On a bien une petite idée quand même ?

Derrière la dame qui s'affaire, un autre homme, glabre celui-ci, debout derrière elle, main droite posée sur ses fesses tandis qu'il brandit un fouet de l'autre main.

Ça sent la sodomie à venir et le SM en plein. Ou alors, c'est moi ?

C'est peut-être moi...

Un rituel, prétend-on... Pour éloigner des démons ! Bon... C'est clair que j'aime bien ce rituel.

Des représentations érotiques comme celles-ci, peintes dans un tombeau, avaient pour but d'affirmer les plaisirs de la vie par dessus tout sans doute pour contrebalancer la symbolique de mort de l'endroit...

Mais ces peintures nous démontrent une fois de plus qu'en matière de sexe il n'y a rien de nouveau depuis la nuit des Temps et que nous n'inventons rien, on reproduit... Et c'est d'ailleurs le cas de le dire !

Des exemples rares d'un art étrusque, qui pourtant met peu le focus sur des actes sexuels explicites, au contraire de ce qu'on trouve du genre dans l'art grec ancien...

D'où l'expression "Va te faire voir chez les Grecs !“ Non ?

30 octobre 2015

Faire une pause...

3284 - "Alanguie après une correction ?"

... Ou plutôt avant. Difficile de s'asseoir parfois.

J'aime ces instants de calme qui précèdent la tempête. Reprendre son souffle avant un nouveau corps-à-corps effréné. Des moments juste partagés, sans bruit et dans l'intimité la plus évidente.

Elle est nue. Elle le regarde. Puis sourit, sans un mot.

Elle l'attend... Deuxième round ?
Image © Ignat Ignatov

20 juillet 2015

Aller au bout des choses...

3272 - "Acte de contrition"...

Elle avait écrit avoir envie de trouver ses limites. Pas les siennes à lui, évidemment !

Se dépasser juste ce qu'il faut. Ressentir une vraie douleur au cours d'une correction jusqu'aux larmes qui se diffuserait ensuite dans tout le bas du corps, en bouffées de volupté, une fois la cruelle punition appliquée...
Qu'il ne fallait pas qu'il s'arrête même si elle lui demandait grâce !

Elle voulait comprendre ce que signifiait "avoir un fesseur" qui ne lui laisserait rien passer et qui lui répétait qu'un mauvais comportement "se payerait cul nu..."

Il était prévenu...

Alors il avait fait exactement (un petit peu plus que) ce qu'elle attendait...
Image © ? 

26 avril 2015

Intimité et plaisirs flous...

3221 - "Fessée ? Plaisir ? Les deux ?"

Eux ne se posent pas la question dans cette fessée amoureuse où l'homme va de temps en temps apaiser sa compagne avant de "replonger" ! (le mot est faible) 

Ça va ainsi des caresses intimes les plus pénétrantes aux claques qui reprennent dès que la fille sent par trop monter son plaisir ! Mélange de punition rougissante et de doux clapotis dans un sexe humide aux moiteurs marines...

On a déjà abordé le sujet il y quelques mois et vos réponses montraient que le sujet semblait intéresser pas mal les filles: entre punition et sexualité - alors que parfois on aime bien différencier - comment le vivez-vous ?

12 avril 2015

Fermement et solidement appliquée !

3204 - "Ça se passait dans les années 90..."

Oh, ça ne date pas d'hier donc, mais ça se laisse regarder, non ?

On voit ici le célébrissime Ed Lee de Nu-West administrer une copieuse fessée à Jennifer Brooks.

Un des animateurs du site précise dans un commentaire avoir rencontré la blonde Jennifer dans les années 90, lors d'une des conventions de Shadow Lane et qu'elle n'était pas simplement une actrice consciencieuse de "spanking movies", mais qu'elle aime réellement les fessées et n'en avait jamais assez !

Pourtant là, quand même, elle est pas mal servie...

Images © Nu-West

17 mars 2015

Le cheval d'arçon...

3169 - "En selle..."

Dans tous les textes concernant l'éducation anglaise" du début du siècle dernier, il n'est pas un roman se déroulant dans un pensionnat de jeunes filles qui n'ait sa scène de fessée publique:

L'infortunée élève hissée - fesses à l'air évidemment - au sommet du fameux cheval d'arçon, le "poney", un chevalet de punition, indispensable instrument en vigueur dans tous les pensionnats anglais, sur lequel étaient attachées les punies, déculottées et fouettées pour fautes graves.

Pierre Mac Orlan sous le pseudonyme de "Sadie Blackeyes" (sic) en fait une séquence d'anthologie dans son célèbre "Baby douce fille" (1911)...

La malheureuse héroïne ingénue est amenée devant l'ensemble pensionnat réuni pour l'occasion et punie les jupes troussées en compagnie d'une camarade de classe, pour bavardage.

Ah ça rigolait pas en ce temps-là...

Pour ma part, j'aime bien le côté désuet de ces pantalons de fine batiste, en dentelles, avec les coulisses et ces pans de tissu qui s'écartent, au départ pour faciliter l'intimité naturelle, mais évidemment propice aux châtiments en tous genres...

Las, je suis de la génération Petit Bateau. Alors, oui, ça a son charme aussi, mais avouez mesdames, que ce n'est pas la même chanson !

Allez savoir si un jour je ne pourrai pas vivre ça, dans le cadre d'un fantasme assumé et donc... assouvi !

25 janvier 2015

De bien cuisants souvenirs...

3157 - "Naissance d'un fantasme ?"

Sait-on seulement dater nos souvenirs avec précision, sans enjoliver, cinquante ans plus tard ?

J'ai le sentiment que mes désirs les plus intimes, notamment ceux qui sont liés à la fessée, viennent de ma prime jeunesse. L'Américaine Kelly Payne m'a confié lors d'un déjeuner au soleil parisien il y a quelques mois que pour elle aussi, se souvenant d'un petit voisin fessé déculotté par sa mère dans un jardin attenant à sa maison de Long Island. La scène a marqué son esprit pour toujours en orientant sa sexualité alors qu'elle n'avait pas huit ans.

Un moment déterminant pour la suite...

Question de génération. Enfant dans les années 60, époque au cours de laquelle on ne parlait pas de "ces choses-là", je n'ai que tardivement (à seize ans largement révolus) pris conscience de ce qu'était le sexe, mettant enfin un nom sur ce qui m'excitait plus jeune, sans que je connaisse les termes ni la signification des choses... Je comprenais juste confusément que c'était "sale". Et surtout interdit...

"Masturbation" est un mot que j'ai découvert des années après en avoir tant fait usage, sans connaître le terme. Des litres de sperme répandus sur les draps et dans mes pantalons de pyjama dans l'angoisse d'être anormal de me frotter le bas-ventre de cette façon qui faisait venir un plaisir trouble et mouillé... Sensation de commettre une abomination, un péché qui ne disait pas son nom, avec de mauvaises pensées qu'il me faudrait narrer à confesse...

C'est pour ça que depuis je dors nu. Phobie de ces putains de pyjamas...

Des scènes troubles (enfin, décryptées comme telles) de la Comtesse de Ségur, des punitions méritées où je n'avais pas le meilleur rôle (encore qu'il faut s'entendre: qu'est-ce qui est mieux ? Fesser, ou être fessé ?) ont longtemps été dans mes pensées, avec une culpabilité accentuée par le fait de n'en pouvoir parler à personne...

Alors ce dessin de Red Rump, il me parle, lui... Lié au souvenir précis d'une punition (très méritée avec le recul) dans un home d'enfants du Valais Suisse au cours des grandes vacances de 66 ou 67... La poigne de la directrice corrigeant le môme dissipé que j'étais alors et qui l'avait provoquée dans le dortoir malgré trois sommations. Une Suisse-Allemande à la poigne robuste !

Ouille, m'en souviens encore, tiens...

Rien ne se crée, tout se transforme, il paraît ?
Dessin © RR

01 janvier 2013

Sade donne la fessée ?

  2911 - "Divin dessinateur..."

C'est une toile signée d'un certain "Sade"... Voilà un pseudo qui semble assez bien utilisé, au vu du thème.

 "La fessée" de "Sade" est donc une huile sur toile format carré (2 mètres de côté), signée en bas à droite. L'auteur a réalisé une autre œuvre de même facture, intitulée cette fois: "la dernière nuit"...

Des peintures estimées autour de 2 500 €...
Images © Sade

10 novembre 2012

Punition à la campagne...

    2874 - "Russie d'antan !"

Les Russes... On sait que leur histoire humaine est cruelle tout au long des siècles. Corvéables à merci, leurs moujiks ont été longtemps traités pire que nos serfs du Moyen-âge jusqu'à récemment encore quand on y pense. Quel destin que celui de ce peuple, masse ballottée sous la férule de régimes très durs qui se sont succédés à sa tête depuis... toujours.

Fouet et knout furent instruments de punition régulièrement utilisés et personne ne s'étonnera jamais chez eux de l'application de châtiments corporels tout à fait admis à tous les niveaux de la société, au point que la comtesse de Ségur s'indignera longtemps de la permissivité qui selon elle règne dans la France du 19ème siècle, quand elle arrive à Paris.

Elle mettra d'ailleurs en scène souvent le thème dans ses livres, notamment en montrant l'étonnement d'un Russe devant les mœurs laxistes de nos compatriotes - jugés bien faibles et tolérants envers "une domesticité particulièrement insolente qu'il faut remettre à sa place" - dans "le Général Dourakine".

On ne peut pourtant pas dire que la condition de la domesticité française de cette époque soit agréable à vivre non plus, mais à priori pas de fouet institué légalement pour nos paysans et serviteurs d'alors...

Ce tableau réaliste des méthodes punitives pratiquées dans la société russe peint en 1909 par Nikolai Vasilyevich Orlov n'étonnera donc personne là-bas...
Peinture © Nikolai Vasilyevich Orlov

10 octobre 2012

Pin-up timide...

   2850 - "Interprétation graphique..."

Je ne connais pas trop l'histoire de ces images. Peut-être qu'elle m'en avait parlé à l'époque. En attendant, si j'en juge par ce qui est écrit en dessous, elles datent déjà d'une dizaine d'années. Peintures, photos retouchées ou redessinées ? Sais pas. Pas très important, vous en conviendrez.

"(...) Je découvre un site qui met en relation des modèles amateurs ou pros, avec des photographes amateurs ou pros. Le site me fascine: on peut gagner de l’argent en faisant "seulement" ça ? Oui, je me suis posée la question à l’époque. Heureusement, j’étais bien entourée: hors de question de gérer ce genre de contacts toute seule. Cela a permis de balayer un certain nombre de propositions malhonnêtes qui me font froid dans le dos quand j’y repense. 

Puis l’artiste qui a fait ces dessins m’a contactée. Un contact sérieux: nous nous sommes rencontrés pour qu’il me présente son travail. J’ai flashé sur les pin-up. Il m’a fait signé un contrat de cession de droits avant la séance. J’en ai toujours un double. 

La séance s’est très bien passée: il a su me mettre parfaitement à l’aise, me guider. J’ai touché la même chose que ce que je gagne pour une publication à la Musardine. Ça ne s’invente pas.(...)"

La jeune femme ainsi "interprétée" sous la plume et les pinceaux d'Hubert de Lartigue existe "en vrai" et quand elle ne pose pas de façon flamboyante et sensuelle bien loin d'être son quotidien, mène une vie rangée fort classique de femme et de mère, comme des millions d'autres.
Janus... Un classique. La "fille aux deux visages" que vous pourriez croiser dans une rue sans la voir, tant la timide peut se fondre dans un anonymat qui l'arrange bien. Ou l'admirer trois heures plus tard à la nuit tombée, active provocante extravertie prête à toutes les outrances dans le salon discret d'un club libertin...

La même femme, maman attentive qui, une fois la porte refermée sur l'enfant endormi, se mue volontiers en geïsha pour rédiger sur son laptop des textes érotiques ou carrément pornos.

En voilà une qui possède des univers troubles que franchement personne n'imaginerait en la croisant... Connaissez-vous des personnes semblables ? Vous-même ?

C'est ma petite sœur. Choisie. Je n'ai pas eu de vraie frangine.
Dessins © Hubert de Lartigue - 2003

25 décembre 2011

Matin calme...

 2565 - "Au petit matin..."

Pour quelle raison cette image me plaît tant ?

J'avais parlé de Francine van Hove au tout début de ce blog, fasciné par l'artistique beauté des corps de femmes, l'élégance des nuques graciles, le détachement calme contenu dans ses œuvres...

J'y reviens en tombant sur cette image qui m'évoque une certaine nonchalance, une expression de la confiance amoureuse, une sorte de décontraction d'après plaisir, au petit matin, quand l'intimité des corps est rattrapée par le quotidien sans qu'elle soit gênée d'être vue ainsi, ébouriffée, visage reposé, démaquillé, pas apprêtée comme la veille au soir.

Juste naturellement belle.

Petit déjeuner en face d'elle, ses cheveux mouillés coiffés d'une serviette éponge.

Alors même si je l'aime bien évidemment salope flamboyante, audacieuse catin ou hétaïre incandescente, pute intransigeante ou amante acceptant tous les vices, j'apprécie évidemment tout autant - le moment venu - calme et douceur d'un petit matin au sortir de la douche...

Cette promiscuité "triviale"; irruption du quotidien d'une banalité ordinaire peut sembler peu érotique, mais pour moi l'est infiniment...
Image © Van Hove

03 juillet 2011

L'appel du cul !

2405 - "Irrésistible vue de dos..."

Je déteste les strings, certes. Pourtant en voyant cette image parmi d'autres, bien envie d'y mettre la main, sauf que ça ne se fait pas...

N'est-ce pas que la peinture de Laurenzi rend généralement bien les transparences, les courbes et le volume ? J'en avais déjà causé...

Voluptueux.
Image © Paul Laurenzi

27 janvier 2011

Eros à Strasbourg...

2174 - "Un doigt inquisiteur..."

Non, on ne trouve pas que des cigognes, des saucisses et de la choucroute en Alsace.

C'est de cette région chère à mon cœur que proviennent les images trouvées ci-dessous. Inspirantes, même pour un non-adepte, parce qu'artistiquement émouvantes.

Croquis coquins du strasbourgeois Tomi Ungerer que je ne connaissais pas...

Ces illustrations au trait proviennent d'un numéro de LUI, notre "magazine de l'homme moderne" qui se voulait le pendant de Playboy et datant de 1976 il y 35 ans déjà...

Magnifique...

 Dessins © Tomi Ungerer

26 octobre 2010

Fesses cachées...

1974 - "la face cachée des fesses". Quel joli titre. Quel beau livre...

Le prière d'insérer précise qu'il est "important de savoir qu’il n’y a pas d’histoires de fesses entre Caroline Pochon et Allan Rothschild

En fait, tout a commencé le jour où Allan découvre un texte sur les fesses écrit par un auteur indiscutablement inspiré. Il décide de le rencontrer. Et là, surprise, c’est une fille, c’est Caroline. Lors de leur première rencontre, ils ne parlent que de Fesses et de Cul mais avec un F et C majuscule. 

Ils se rendent compte que le sujet est foisonnant et passionnant et décident de se lancer ensemble dans la réalisation d’un documentaire pour Arte intitulé "la face cachée des fesses".

Ce livre est donc une sorte de conclusion qui forme un tout avec le documentaire dont j'avais déjà parlé ici-même, il y a près d'un an, lors de la diffusion du-dit "docul"...

28 septembre 2010

Te faire hurler...

1929 - "Serrer les dents, ne pas laisser échapper un cri qui lui ferait trop plaisir..."

Parfois, des photos, des images ou des dessins me "parlent" parce qu'ils me rappellent des situations amoureuses vécues ou imaginées. Comme cette photo par exemple.

Je ne saurais dire vraiment pourquoi, mais, oui, je l'aime.

Pour le rictus, plaisir ou douleur, le regard en coin, fierté assumée et pas dissimulée. Je l'imagine bien comme ça, tiens... Envie.

Main plaquée sur les fesses nues, pile au moment où elle claque et comprime le séant, instant où les chairs se rencontrent, brûlent mutuellement le temps de l'impact...

Ils rentrent du restaurant, la discussion a été houleuse pour un rien qui s'envenime, la tension palpable. Furieux, vexé par son attitude, lui, le mâle, montre sa colère à sa femelle. Des bonobos...

Elle sait, elle a compris, elle s'excuse déjà d'une petite voix. Trop tard, évidemment...

Il l'a prévenue dans la voiture de la raclée à venir inévitable, souhaitée, attendue, espérée, sorte de libération jubilatoire et de jouissance commune qui viendra en point d'orgue. Coup de chance, mais ce n'est pas vraiment un hasard, elle aime recevoir des fessées, il adore lui en donner.

Alors ils en jouent, faisant grimper l'adrénaline d'un cran supplémentaire. Attente, insupportablement délicieuse.

À peine rentrés, il l'entraîne jusqu'à la chambre à coucher. Orgueilleuse, elle veut mettre un point d'honneur à ne pas laisser échapper le moindre cri pendant la correction qu'elle a méritée, en serrant les dents. Lui qui l'a d'autorité prestement courbée et déculottée veut la faire hurler !

Il faudra bien un compromis qui viendra de lui-même, quand ils dépasseront les bornes juste comme il faut. Ils ne feront l'amour qu'une fois ses fesses écarlates et elle dûment punie pour ses insolences récurrentes volontairement si mal maîtrisées...

Et elle sait par avance (crainte, désir, cœur qui bat pour l'interdit surmonté, le plaisir rauque et pimenté hors norme) que dans tous les sens du terme et au paroxysme d'une sorte de rituel accepté d'office, il ne se servira la nuit durant que de son cul...

13 septembre 2010

Les dessins secrets de Mihàly...

1891 - Extraordinaires images du XIXème siècle du peintre hongrois Mihàly Zichy. Dit aussi Michael von Zichy...

C'est une trouvaille, envoyée par mail par Mamie Charlotte (merci...) qui nous permet au passage d'enfin attribuer la paternité graphique de ce fameux raccourci raté au même illustrateur, signature faisant foi.

C'est donc bien Zichy, peintre né à Zala en Hongrie en 1827 et mort à Saint-Pétersbourg en 1906. L'artiste sera un des nombreux peintres évoluant à la cour de Russie, sous le tsar Alexandre II.

Mais au-delà de cette fonction officielle qu'on pourrait qualifier d'alimentaire et qui ne permet sans doute pas trop de se laisser aller dans sa peinture, il sera dans ses œuvres personnelles, cette fois, un chantre de l’amour ou plutôt des amours. Car une certaine "trivialité" sexuelle ne lui fait pas peur. Les amours lesbiennes, non plus...

Je vous laisse juger.



Dessins © Michael von Zichy

28 avril 2010

Le jour de la rentrée...

1649 - "Premier jour d'école".

En plein débat sur la fessée, je vous ai trouvé un tableau de circonstance... Inutile de dire que je ne cautionne pas sur le fond.

Cette superbe peinture du 19ème siècle de Johann Peter Hasenclever (1810-1853) a été réalisée un an avant sa disparition. L'artiste allemand est alors au summum de son talent, maîtrisant avec brio clairs-obscurs, ombres et lumières...

19 avril 2010

Histoire d'eau bis...

1633 - Oh, je suis certain que vous allez rapprocher cette magnifique image d'Adam Stennett de mon histoire de baignoire et de détente aquatique récente...

Et c'est vrai que ce tableau de ce jeune peintre new-yorkais (38 ans) pourrait à merveille illustrer ce que je vous ai raconté.

Là, si ça ne donne pas d'envies de fessée...

"Girl in bath tub" © Adam Stennett

10 avril 2010

Hyper réaliste !

1618 - "Cul de femme au sortir de la douche"... Avec jeté de serviette-éponge en prime.

C'est une photo du néerlandais Peter Klashorst, artiste connu pour avoir peint et photographié de nombreuses jeunes femmes en Afrique. Même si ici, ce cul est (trop) blanc !

Pour l'anecdote, il faut savoir qu'il a été arrêté il y a dix ans au Sénégal, pays majoritairement musulman où on ne rigole pas avec la morale, et jeté en prison, suspecté de "production d'images obscènes" en raison de ses peintures et des nus qu'il réalise en faisant poser quelques fleurons de la population féminine locale.

Cette fois il a réussi à s'en sortir et à fuir en Gambie après avoir corrompu les autorités, un grand classique en Afrique. Merci "patron"...

Maintenant, Klashorst (52 ans) vit entre la Thaïlande (sic...) le Kenya et la Hollande... À bien réfléchir, je me demande s'il ne cherche pas un peu les emmerdes quand même.
Images © Peter Klashorst