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29 janvier 2023

Des fessées de cinéma !

3564 - "En Technicolor et sur grand écran !"

Je montrais le blog ce jeudi à un copain acteur - qui au passage découvre avec amusement une de mes passions érotiques - lequel me demande tout à trac si du coup je connais un site traitant de la fessée au cinéma...

Pas de bol, seule me revient alors à cet instant celle donnée par Jean Marais à la belle Claudine Auger dans "le masque de fer" en 1962. Pas la plus sexy, quoi que pour l'époque… Or il y a évidemment des tas de films avec des extraits de ce type, mais à part "9 semaines 1/2" j'avoue que...

Il fut un temps où un blogueur aujourd’hui disparu traitait de ça avec talent dans un espace dédié avec des centaines d’extraits, une vraie encyclopédie... Las depuis, nul ne recense avec autant de références le média... Quelques extraits de films, reprenant des scènes de fessées ? 

Je propose sept scènes sexy où la fessée joue un rôle... prépondérant.

"Whatever you want, boss..." On commence par Rachel Miner, dans "Californication" avec une fessée que Charlie donne à sa blonde secrétaire Dani California (Rachel Miner, ex-madame Macaulay "j'ai raté l'avion" Culkin) dans son grand bureau directorial...

On poursuit avec cette scène kitsch de 1995 dans "Live Nude Girls" dans lequel la Desperate Housewife Dana Delany s'en prend une bonne dans une ambiance du plus pur style "Godfather" (le Parrain) avec un sosie approximatif de Marlon Brando en exécuteur des basses œuvres... 

On n'oublie pas Charlotte Gainsbourg en 2015... Le film de Lars von Triers, "Nymphomaniac" dont la réputation sulfureuse était annoncée des mois avant sa sortie officielle contient une scène fort explicite entre Jamie Bell et Charlotte Gainsbourg qui ne laissera pas mes ami(e)s indifférent(e)s...

Jessica Alba ? La jeune femme est violemment fessée à la ceinture, slip à mi-cuisses cul nu à plat-ventre sur le lit par son amant Lou Ford, rageur, qui se déchaîne sur les fesses offertes dans "The Devil inside Me“ en 2010... (probablement celles d'une doublure "cul", je doute que l'actrice se soit laissée filmer ainsi...)

Et en 2011 c'est Keira Knightley qui y passe dans "A Dangerous Method"...  

Et Catalina Rodriguez dans un extrait de la série "Magic City"


Évidemment en bonus, impensable de terminer sans elle... On a donc droit à la belle Maggie Gyllenhall dans "The Secretary" (2002) 

01 septembre 2019

L'inspiration de l'artiste !

3446 - "L'attrait irrésistible de Rose, modèle pour artiste..."

Mais à quoi peut donc bien songer cette jeune femme demi-dévêtue dans un coin de l'atelier du peintre qui la fait poser pour ses tableaux de nus ?

Quand je regarde, l’imaginaire m'emporte rapidement, sans doute comme vous. Car tout dans cette photo peut être prétexte à vagabonder vers une histoire amusante, trouble ou simplement romantique...

Ce n'est pas facile de garder la pose parfois alambiquée que souhaite l'artiste...

Montparnasse, vers 1900. Le peintre qui a du mal à trouver l'inspiration et peine sur sa toile depuis une heure sans grand succès va finir par trouver une raison à ses ratages techniques et s'énerver en cherchant un bouc émissaire (ici plutôt une chèvre, forcément), prétextant en toute mauvaise foi que sa jeune modèle (peut-être aussi sa maîtresse...) n'est pas suffisamment coopérative et que c'est forcément à cause d'elle qu'il n'y arrive pas...

De là à la fesser ? Ben tiens...

Ensuite si la posture l'inspire, chercher au plus profond du séant rougi de la demoiselle au moins de quoi s'amuser un peu, avant évidemment de reprendre sa toile, essoufflé et "vidé"...

Puis comme par magie, de retrouver enfin sur la toile l'inspiration qui lui faisait momentanément défaut.

Comment vous croyez que je bosse ?

Bon sinon, et c'est une recommandation personnelle si on aime le genre, on pourra toujours déguster l’excellent "Deux filles et leur mère" de Gilles de Saint-Avit, petit bijou d'érotisme joyeux et paillard, paru chez Blanche il y a une vingtaine d'années... J'en avais parlé ici, il y a dix ans...

Écrit sous forme d'un vibrant hommage à l’œuvre de Pierre Louÿs, l'action (et il y en a) se passe au début du XXème siècle dans le quartier des Halles et autour du café de Ninon où se retrouvent grisettes, ouvriers, bouchers et peintres.

Plusieurs scènes très crues et assumées entre un artiste et son modèle pourraient parfaitement être illustrées par cette magnifique photo comme prologue...
Image © ?

19 août 2016

Sages en apparence...

3350 - "Elles me mâchent le travail !"

Alors parfois je reçois des mails...

Comme celui-là, hier soir, auquel je ne peux répondre, vu que l'adresse ne semble pas exister et que les messages reviennent en erreur. Du coup, je vous en livre un peu... Je ne trouve pas le nom de l'auteur, par contre.

"J'étais en train de créer un blog... un de plus me direz-vous, et vous auriez raison, sur un thème qui vous est cher. Enfin qui vous était cher. À moi aussi bien sûr, sinon je ne serais pas en train de vous écrire à une heure où les honnêtes gens dorment (ou baisent). Enfin bref, je me suis dit, après avoir mis le point final à mon tout premier article, pas peu fière de moi, qu'en fait, je n'aurais sans doute rien d'autre à écrire, et que créer un blog pour n'y publier qu'un seul article, c'est un peu... peu. 

Enfin bref bis, je me suis dit qu'il était probable que je n'étais de surcroît pas la première à publier ces images et donc je suis venue fureter chez vous puisque, comme le disait la publicité, "on trouve tout à la Stanaritaine". (hi hi). Et bien non, même pas !!! J'ai pourtant cherché, et non, rien de rien. 

Je ne peux imaginer que ces dessins vous aient échappé, c'est donc qu'ils vous déplaisent ? Trop sado-maso sans doute... Pourtant ceux de La Princesse et la Grenouille et de Pocahontas collent bien à l'idée que je me fais de la discipline domestique, celle que vous mettez à l'honneur Au fil des jours

Alors quoi ? Quoi qu'il en soit, et même si le buzz autour du calamiteux Fifty shades of grey est retombé comme un soufflé raté, il se peut que vous en ayez davantage l'usage que moi, comme disons un "post à peu de frais". 

Vous trouverez l'article d'origine ici...
 

PS : j'aime beaucoup, beaucoup, les photos illustrant les articles 3339 et 3342..."

Merci Madame. Bon du coup, j'ai eu le doute.

Je connaissais bien ces images, mais les avais-je postées ? Comme mes recherches sur mon blog et ma mémoire défectueuse ne donnent rien, je propose d'aller ouvrir un lien que m'indique cette charmante lectrice dans lequel on retrouvera nos petits plaisirs coupables.

"Ainsi la Bête s’apprête à fouetter la Belle, la petite Sirène partage un bain torride avec son Eric ou Jasmine goûte aux plaisirs charnels au son de l’Ipod d’Aladdin. À noter que si le film n’a pas osé s’attaquer à la scène du tampon… ça ne semble pas choquer les héros de la Reine des Neiges…"

Mais on ne va pas se fâcher avec Disney pour si peu, hein...

PS: pour les images 3339 et 3342, moi aussi !
Images © DeviantArt ?

25 janvier 2016

L'instant préféré !

3300 - "Un compte aussi rond que tes fesses..."

Ce n'est pas un secret, ce moment-là, c'est celui qui me fait le plus d'effet.

Que ce soit en force en tirant l'élastique de la petite culotte vers le bas d'un geste bref et autoritaire ou en prenant mon temps pour faire glisser la dentelle le long des cuisses, ça reste un instant de trouble très intense que le déculottage.

La surface à châtier apparait dans toute sa plénitude rondeur. Parfois frissonnantes de trouilles, les fesses palpitent, se serrent et se desserrent dans l'attente de la première qui va tomber... La punie offre au regard toute l'indécence de son intimité et ces parties de son corps d'ordinaire cachées qui n'ont plus de secret pour le voyeur qui la maintient...

Moi, j'adore.

Le reste aussi, évidemment, mais ça, c'est mon moment de grâce !

Et VOUS ? Que vous soyez fesseur ou fessée...

Quel est donc votre instant préféré ?

07 mai 2015

Holy Spanking !

3235 - "Well... I could stay a bit longer...*"

Scène mythique évidemment très connue du film culte des Monty Python, s'il en est... Mais si vous ne la connaissez pas...

J'ai vu "Holy Graal" peu de temps après sa sortie, dans une petite salle du quartier Latin vers 1975, de mémoire... C'était un OVNI cinématographique, mais je connaissais déjà l'humour anglais pour avoir vécu en Angleterre, à Brighton, une année dans mon adolescence et avoir vu ce style d'humour loufoque à la télé...

Et même vu de près ce qu'était une fessée donnée par ma logeuse à ses insupportables gamines. Mais c'est une autre histoire que j'ai déjà narrée...

Je pense que Gallahad le chaste (sic), ici "sauvé de la tentation" par le preux Lancelot, a dû regretter longtemps que ses copains viennent le délivrer du mal, au moment où il allait rester faussement "à contrecœur" avec ces demoiselles peu farouches et très excitées qui réclamaient toutes une bonne fessée !

Je l'ai même envié, à cette époque...

 
* "Euh... Je peux rester un peu plus longtemps, en fait..."

30 juin 2014

Suivre les règles ?

3090 - "Dix règles pour bien coucher à droite et à gauche..."

"10 Rules for Sleeping Around" de Leslie Greif est un film de 2013 passé inaperçu, une de ces comédies américaines un peu hot comme les USA nous en servent de temps à autre.
 

Il y a là-dedans une petite "spanking scene" très gentillette où Virginia Williams se retrouve sur les genoux d'un petit jeune homme (Reid Ewing) qui la prend pour une cougar. Elle a 29 ans...

Au fond, en la matière, il vaut mieux s'assurer d'avoir le bon partenaire, car le quiproquo n'est jamais très loin... Et la déception non plus.

28 juin 2014

Trouver le bon dosage ?

3084 - "It's suppose to hurt !"

Ben si, la fessée, ça fait mal.

Cette jeune personne semble en témoigner à son corps défendant. Les larmes ne sont pas loin de la submerger. L'émotion. ET la douleur !

... Mais on le sait, c'est une part du plaisir et du trouble, que cette nécessaire douleur... Chacun de nous quel que soit son rôle établi fesseur ou fessé(e) l'estimera et la subira à son aune, car le mélange entre les deux donne des cocktails détonants.

En gros: point trop n'en faut, mais pas assez n'est pas suffisant. C'est l'axiome. Trouver le juste milieu.

Ah, non je ne parlais pas de sodomie...

Quoi que, après...

Images © Realspankings

26 décembre 2012

Deuxième chance...

    2906 - "Film maudit, seconde chance ?"

"What's Wrong with Virginia", l'histoire d'une mère de famille instable qui bouleverse la tranquillité d'une petite ville américaine à cause de son aventure avec un policier.

Du cinoche ricain classique...

Seulement, présenté en avant première à Toronto - lors d'un festival de cinéma conçu comme une vitrine financière pour les films en attente de distributeur - le film devient aussitôt un désastre annoncé: bouche à oreille dévastateur relayé instantanément par la presse américaine, les studios remballent, dépités.

Pour tenter de ne pas perdre trop, nouvelle tentative plus d'un an après sa présentation à Toronto, on ressort avec un nouveau titre, une nouvelle bande-annonce et une nouvelle "tonalité".

Mais cette comédie dramatique avec l'excellent Ed Harris et Jennifer Connelly dans le rôle titre a de toute façon du plomb dans l'aile depuis le début, personne n'est dupe. Sale coup pour le réalisateur qui avouera quelques mois plus tard lors d'une interview:  

"Mon film a été massacré. Ils avaient raison, c'était assez mauvais ! La critique était dure. Tout ça a été difficile parce que ce projet était important pour moi... Alors je suis retourné en salle de montage avec un nouveau monteur et je me suis replongé dans le scénario en me demandant ce que j'avais aimé dans cette histoire au début. Et surtout pourquoi tout le monde avait accepté de le faire..."

Bonne question.

Désormais "What's Wrong with Virginia ?" est devenu plus simplement "Virginia" et les distributeurs semblent avoir masqué l'aspect psychotique de leur héroïne, mettant davantage l'accent sur l'humour décalé... Faudrait voir pour juger si la critique était injuste. Ou pas...

 Et pourquoi je vous parle de ce film ? Parce qu'évidemment, il y a une scène qui nous concerne, repérée par Tim the Tum... Mais vous ne la verrez pas dans la bande-annonce ci-dessous.


Mais grâce à l'impeccable Chross qui repère tout, voilà la séquence...

28 octobre 2012

Fessée tchèque...

    2866 - "C'était bien mérité !"

1937.

C'est un vieux film que je n'avais évidemment pas vu, trouvé grâce à nos amis hollandais de "Theatre du discipline" (sic...)

L'actrice excitée qui se fait copieusement fesser dans "Duvod k rozvodu" ("le motif du divorce") est la star tchèque Anny Ondráková alors au sommet de sa gloire. On est avant-guerre... Ensuite, elle ne tournera plus tellement, stoppant sa carrière en 1951...

Faut dire que son (second) mariage avec Max Schmeling (boxeur allemand qui fut le premier Champion du Monde des Lourds européen en 1932, adulé par Hitler, jusqu'au moment où il perdit son titre quelques années plus tard, le Führer n'aimant que les vainqueurs) et les amitiés du couple durant la guerre avec quelques dignitaires nazis ne l'a pas aidé à reprendre une carrière brillante une fois la paix revenue. Victime d'une épuration larvée, bien qu'elle ne soit pas proche du régime, cachant même des enfants juifs aux pires moments de la guerre, elle ne tournera quasiment plus...

Bref, c'est une autre histoire.

Quand à l'extrait, il prouve juste qu'en 1937 comme de nos jours, devant une demoiselle exaspérante, il n'y a pas trente-six solutions à appliquer...

24 septembre 2012

Ce type qui t'a traitée de connasse ?

   2836 - "...Et pas grand-chose sur Stan non plus !"

Autant vous le dire, j'adore cette séquence, pour tout un tas de raisons, dont certaines très très personnelles. On n'y parle pas du tout de fessée.

Mais peu importe, ce n'est pas l'essentiel, "Rien sur Robert" de Pascal Bonitzer est un film aux dialogues finement ciselés, y compris bien entendu dans cette vraie scène d'anthologie entre une époustouflante Sandrine Kiberlain et un magistral Fabrice Luchini.

Parce qu'il faut arriver à les prononcer, ces phrases...






Là c'est la même scène, mais rejouée. Scène de fin de stage au CEFPF avec Yohann Brize (?) et on voit vraiment que le même texte occasionne bien des différences, même si c'est intéressant et que la fille donne pas mal d'intensité à son personnage.

25 août 2012

Léon en entier...

  2827 - "Années 70 en diable..."

J'en ai parlé à plusieurs reprises, comme je vois que certaines personnes reviennent dessus, autant proposer le lien qui permettra à ceux qui ne le connaissent pas de voir le film.

22 août 2012

Pauline "Pan-Pan" s'en prend une...

  2819 - "Julot casse-croûte..."

Du cul à l'ancienne, encore, histoire de bien nous souvenir qu'on n'a pas inventé récemment les sulfureux plaisirs que nous partageons ici et qu'avant nous, il y en a eu du monde pour tenter le coup (sic) au moins une fois et pratiquer toutes sortes de "dérives"...


Ce film semble provenir des années 40, mais ce n'est pas daté précisément, en dépit de la musique de Django Reinhardt qui donne le ton. Sur un prétexte fin comme une feuille de papier à cigarette, s'enchaînent une suite de scènes toutes plus chaudes les unes que les autres, le tout commençant comme il convient par une bonne fessée...

"Les Pornos-Cinéastes réunis" présentaient "Julot la Terreur, Anna Macaroni et Pauline Pan-Pan" (qui n'est pas de la famille du lapin...) dans une production "Cecil B. de Mézig", que voilà des noms qui fleurent bon la Butte, l'argot de Ménilmuche et les années Gabin d'avant-guerre...

Le porno dans toute sa splendeur, comme il était fait jadis sous le manteau. C'est pour ça que c'est muet, je suppose, question de moyen pour ces petites productions underground. d'avant l'âge d'or que furent les années 60 et 70, dont Waldo pourrait sans doute nous parler avec plus de précisions que moi, puisque lui fut part intégrante de ce fameux milieu du X français...

J'ai passé dans un post récent un extrait datant des années 20, on fait ici un saut dans le temps d'une vingtaine d'années pour retrouver des exploits franchouillards sexuellement corsés que ne désavouerait probablement pas l'ami John B.Root...(John, si tu nous lit...)

Donc, "Esprit de famille"... (c'est pas le titre d'un autre film, là ?)

19 août 2012

Au temps du "Muet"...

  2812 - "L'école de la fessée..."

On doit à "Femme fessee" de Spankcitement cette trouvaille vintage sur son blog consacré au cinéma: un superbe petit porno "flagellant" des années 20, exactement comme ceux dont nous parlait Boudard dans son formidable "âge d'or des maisons closes" que j'ai ici souvent évoqué...

Et que je ne peux que vous engager à lire.

Il faut savoir qu'on a réalisé des pornos sitôt qu'on a inventé le cinéma, la caméra, la pellicule. Je ne serais pas étonné qu'après "l'entrée du train en gare de la Ciotat", Lumière n'ait tourné "le cul de Lucette sur la commode"...

Bref... La production de petits films de cul dans ces années-là était florissante mais passait exclusivement par les réseaux des bordels: on ne pouvait évidemment pas les voir d'un simple clic chez soi comme maintenant. Pour ça, il fallait obligatoirement passer la porte du Sphinx ou du One-Two-Two et s'installer confortablement dans les fauteuils du salon en attendant que ces demoiselles descendent. Bref les voir, mais sous le manteau...


Car il y avait dans nos maisons closes de jadis des spécialités pour toutes les perversions, dont la fessée, évidemment. Ce genre de petites séquences pouvait utilement servir de mise en jambes avant l'acte, histoire de revigorer monsieur et de ne le laisser partir qu'une fois comblé...

La vidéo et le net ont changé tout ça. Aujourd'hui, on consomme du porno en boucle très facilement sans payer... Le cinéma X des années 70 est mort, tout comme celui des années 20. Nous restent quelques images et quelques souvenirs...

Dont ceux-ci:

04 août 2012

Côté pratique...

  2786 - "Commodités fendues..."

En dépit de ma préférence pour les fessées à la main, j'avoue que cette image de fille au fessier exposé entre les pans de sa culotte fendue - une poignée de verges posées sur les cuisses, non loin des lobes - est pour le moins séduisante et donne furieusement envie de sévir.

Et les plus douées pour s'inventer des histoires à base de situations troubles vécues (ou pas...) sauraient sans nul doute développer à partir de cette image une histoire qu'on pourrait facilement et à bon compte - pour peu qu'on ait un peu d’imagination - construire autour d'une version 1930 "d'Histoire d'O" ou pourquoi pas des romans de la comtesse de Ségur, version adulte.

Ce que j'aime par dessus tout, c'est ce pantalon fendu très pratique et élégant qu'on a bien envie d'écarter davantage, voire d'écarteler autant qu'on le ferait du cul, dans un but sodomite d'après fessée une fois le derrière amplement et correctement réchauffé...

Très tentant !

Est-ce que certaines femmes lectrices d'ici se seraient amusées à retrouver dans des vides-greniers ou autres brocantes de quartier ces incroyables pantalons de batiste, culottes fendues de grand-mères, reliques dépoussiérées venues du passé et à utiliser désormais dans un cadre purement érotique ?

Des photos, please...

25 juillet 2012

Sa vie par procuration...

   2776 - "Cinéma intérieur..."

Ioudgine écrit un blog... Un blog de fille. Je tombe sur un article où elle évoque ces films qui l'ont marquée, lorsque gamine, sa baby-sitter la laissait regarder n'importe quoi pour réviser ses partiels au calme...

On ne se méfie jamais assez des étudiantes et filles au pair censées garder nos gosses !

... Bref, elle a vu trop tôt des films pas vraiment pour elle, du "cinéma pour adultes". Avant de se rendre compte un beau jour qu'un de ses hommes adaptait sans vergogne certaines répliques et situations vues à la télé dans leur vie de tous les jours !

Mais lisez plutôt:

"Lorsque je dis cinéma pour adultes, je ne parle pas de porno, mais de films qu’une gamine n’est pas trop censée voir si on veut en faire une adulte équilibrée. (...) Très jeune, deux (films) m’ont particulièrement marquée et constituent hélas les fondements de ma sexualité d’adulte: "le lagon bleu" et "9 semaines 1/2". (dont j'ai parlé ici, note de Stan)

Oui, ça craint.

Dimanche dernier, je décide de revoir ces films pour la première fois depuis des lustres, dans l’espoir de tordre le cou à ces vieux démons. Je les regarde, je trouve que ce sont des nanars, je ris, mon subconscient rit, mes ovaires rient et la vie devient normale.

Je commence par "le Lagon Bleu" (...) Puis j’enchaîne sur "9 semaines 1/2" dont je n’ai absolument aucun autre souvenir que la fameuse scène de la bouffe sur le sol de la cuisine. Je lance le film sereine, car je sais que les deux protagonistes n’ont aucun lien de parenté (connu), et ça me réconforte drôlement. La ioudgine du futur regarde avec un peu de nostalgie le Mickey Rourke du passé.

Plus le film avance, plus les répliques de Rourke me semblent étrangement familières. Quand soudain, en plein threesome (eux, pas moi), je comprends que ce n’est pas ma mémoire à long terme qui aurait miraculeusement survécu aux années “j’essaie des drogues, pour voir”, mais bien mon petit neurone à court terme qui s’agite.

Ces mots je les ai entendus, ces situations je les ai vécues, y a pas si longtemps que ça… L’effroyable vérité est là: mon ex a plagié "9 semaines 1/2" lorsque nous étions ensemble. Et pas trois mots hein, une bonne partie du film (je vous fais grâce du choix des scènes). 

Je suis abasourdie. Quel con… Moi, si je devais plagier un personnage, j’irais piocher dans des Sundance non primés sortis direct en DVD, pas dans un film que toute la planète (je m’enflamme) a vu.

J’envisage de l’appeler pour l’insulter, mais finalement préfère m’abstenir et tomber tranquilou dans la paranoïa sur mon canapé. Et si ma vie était constituée d’une suite de plagiats ? (Je ne compte pas cet “ex” qui m’avait dit, dépité : “Bref, j’ai fini…” après 2 minutes d’intense coït, c’était AVANT Bref).

Et si j’étais une dinde séduite par les grosses ficelles d’Hollywood ? Et si je devais embaucher un script doctor à plein temps pour repérer les plagiats IRL ? (...)"
(la suite...)

14 avril 2012

Fessée de cinéma...

 2687 - "Fille en fer ?"

"The Iron Maiden" est une comédie britannique de Gerald Thomas comme il s'en est tourné des dizaines et qui date de 1962...

Sur la photo, Michael Craig fesse Anne Helm, mais comme souvent c'est peut-être une photo publicitaire prise en répétition car la même scène extraite du film semble différer quelque peu. La robe a une manche, on dirait...

Et puis la couleur n'est pas la même. Ou alors ça a été retouché pour les besoins de l'image ?

Bien possible...

30 décembre 2011

Punie pour de vrai !

 2583 - "Retentissante fessée à déguster"...

Ce premier tournage pour Shadow Lane dans "Punishment Book" met en action un vrai couple de jeunes gens, ensemble dans la vie, Lizzie Madison et David Pearl âgés de 23 ans l'un et l'autre au moment du tournage, en 2005.  

Lizzie et David étaient alors le plus jeune "vrai couple" venu tourner pour la maison de production... Rencontrés lors d'une de ces fameuses conventions Shadow Lane de Vegas où ils étaient venus en touristes voir comment ça se passait, ils ont tellement apprécié qu'au final, ils décidèrent de pratiquer leurs jeux de fessées devant la caméra exactement comme dans la vie: en gros, très fort... et pour de vrai !


Quand Lizzie est ainsi punie, elle doit ensuite consigner ses fautes et punitions dans une sorte de journal de bord. Relire ce qui lui est arrivé lui permet de s'améliorer et d'expier pour ses bêtises...

Je suis total fan.