3300 - "Un compte aussi rond que tes fesses..."
Ce n'est pas un secret, ce moment-là, c'est celui qui me fait le plus d'effet.
Que ce soit en force en tirant l'élastique de la petite culotte vers le bas d'un geste bref et autoritaire ou en prenant mon temps pour faire glisser la dentelle le long des cuisses, ça reste un instant de trouble très intense que le déculottage.
La surface à châtier apparait dans toute sa plénitude rondeur. Parfois frissonnantes de trouilles, les fesses palpitent, se serrent et se desserrent dans l'attente de la première qui va tomber... La punie offre au regard toute l'indécence de son intimité et ces parties de son corps d'ordinaire cachées qui n'ont plus de secret pour le voyeur qui la maintient...
Moi, j'adore.
Le reste aussi, évidemment, mais ça, c'est mon moment de grâce !
Et VOUS ? Que vous soyez fesseur ou fessée...
Quel est donc votre instant préféré ?
12 commentaires:
Eh bien, moi aussi, je le confesse! C'est mon instant préféré; j'adore ce moment du déculottage que je me force parfois à retarder pour créer un peu de frustration... puis prendre quelques secondes pour admirer ce panorama exquis, comme si le temps était soudain suspendu... avant de se ressaisir et d'accomplir son devoir de fesseur.
Ah non, pour moi, l'instant merveilleux et quand je vois dans ses yeux que d’inéluctable est arrivé, que je peux y lire à la fois l'angoisse et le plaisir.
Je suis bien de votre avis: la déculottée est toujours une humiliante infantilisation.
Déculottée, déculotter, déculottage...rien que les mots me mettent dans tous mess états...
Pour ma part, je trouve aussi que le déculottage est un très grand moment, mais, pratiquant des fessées authentiquement punitives dans le cadre d'un coaching, je laisse l'adulte punie se déculotter elle-même (sauf exception). En la faisant participer ainsi à la punition elle peut manifester formellement que même si son comportement appelle cette humiliante punition à connotation infantilisante, elle l'assume pleinement.
il mio momento preferito in un rapporto è quando tra un piccolo imbarazzo e l'altro soprattutto nei primi nuovi incontri è quando l'uomo prende l'iniziati e ti sfila piano piano le culotte e poi ti palpeggia con le sue mani calde il mio fresco culo le mie liscie antiche e te le comincia ad aprrire con le dita!!! bellissime immagini !!! baci baci baci
L'instant d'avant... La micro seconde où tout bascule, où son regard change, où sa main me frôle. A ce moment précis, mon cœur s'emballe et je sais que j'ai gagné :D
Céline (je n'arrive pas à inscrire mon prénom...)
@Celine: J'aime beaucoup cette notion "je sais que j'ai gagné !" C'est une façon de ressentir les choses et de vivre ses émotions pleinement qui demeure un des fils conducteurs essentiel des troubles liés à la fessée. Et c'est un fantasme constant qui ne s'émousse pas avec le temps.
Idem, le moment, court, silencieux, juste avant, où je sais, en l'espérant fort, tout en redoutant que ce ne soit pas ça.
@PLdE: un grand classique. Merci de ce passage sur ce blog qui m'a permis d'aller vous lire sur le vôtre...
Je crois que je serai déçu s'il n'y avait pas une petite culotte à baisser (sous une robe ou une jupe, pas sous un pantalon !). J'avoue avoir même remarqué que, lorsque je visionne des vidéos sur ce site, j'attends ce moment fatidique !
Je vois très bien, c’est le moment de la victoire et de la défaite, de l’abandon et de l’offrande...
Mais c’est aussi celui où les deux( au moins ) arrivent aux troubles convoités, appelés, redoutés, voulus et mérités...
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