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18 avril 2020

Ta voix peut tout...

3461 - "Mes lectrices ont du talent, suite..."

Nouveau texte très court mais senti, reçu par mail.

Pas de moi, donc, mais universel quand on a la passion chevillée au corps... et que vous pourrez sans doute adapter à vos propres émotions avec des résonances toutes personnelles.

Autour de la voix, celle de celui qui impose, qui dirige. Ludique et passionnel.

C'est important une voix. Si elle ressemble à celle de Donald Duck, si vous avez une voix de fausset vaguement ridicule, c'est sans doute un peu plus compliqué. On ne choisit pas.

Mais si votre module résonne avec des accents graves de mâle et des basses viriles bien prononcées, une voix de ventre venant de loin plutôt qu'une voix aiguë, de tête... Alors vous avez toutes vos chances et tout est possible.

Marielle ou Lavoine, quoi...

Ta voix...

“Elle exige, elle me guide, elle me gronde...

Me susurre des mots à l’oreille quand je suis allongée en travers de tes genoux ou que tu es sur moi ou sur mon dos... Elle oscille entre sourires, douceur et fermeté avec des mots sévères pour m’amener sur tes genoux. Que tu me fesses sans concession, méthodiquement...

Mon cul garance et brûlant, je finis par te laisser entendre la mienne qui fait ses aveux...

Tu attends la fin...

Puis plus tard, tu plonges en moi et mon cul qui t’accueille en maître et propriétaire. Mon derrière brûlant et écarlate contre ton bas-ventre et ta virilité... Tu es à moi, je t’appartiens, on se possède et enfin nos voix, nos gémissements et nos cris jaillissent à l'unisson de nous...“
Texte © YaëI
Image © Arrufos Belmiro de Almeida - 1887

22 août 2019

Du bon usage des verges !

3440 - "Un claquement dans la nuit !"

Oui, on sait, "la main", tout ça...

Mais je reconnais depuis trois années un certain attrait - en s'en servant avec parcimonie - pour quelques objets, en parallèle avec les plaisirs purement manuels que je professe... (hihi)

On laisse de côté la fameuse strappe "London Tanner", achetée par elle dans un excès d'optimisme béat et qui se révéla à l'usage trop lourde avec comme résultat des bleus et des marques disgracieuses, tout en nous éloignant du but recherché. Lequel demeure quand même avant tout ludique et partagé, autant dans le plaisir que dans l'excitation des deux...

Le trouble est là, intellectuellement, mais dans les faits c'est un ustensile que je trouve par trop brutal. Et elle aussi. On laisse dans le tiroir et on ne s'en sert, de façon dissuasive, plus guère que dans une forme d'évocation menaçante...

Le martinet par contre est très apprécié, (merci Waldo !) ainsi qu'une bande de cuir issue d'un large ceinturon (4,5 cm) dont la boucle a disparu depuis belle lurette mais que je n'avais pas jeté, le conservant pour la qualité, l'odeur musquée et son épaisseur parfaite, avec sans doute une petite idée derrière la tête et bien m'en a pris : il m'arrive de claquer ses fesses avec car cette courroie trouve grâce à ses yeux... et donc aux miens.

Et puis la verge, faisceaux de tiges ou de branches...

Ces dessins de Malteste, mon dessinateur favori dans le genre, attestent, si besoin est, que ça fait partie de l’arsenal punitif propre à troubler plus d'une vilaine.

Et je vais sans doute y revenir, une fois l'objet confectionné par mes soins, grâce aux conseils avisés d'Ana...
Images © Louis Malteste

31 mai 2016

Bien trop longue attente...

3340 - "Tu es à moi !"

C'est peut-être sa façon de dire: "je t'aime..." 

Pieds et poings liés, la fille attend son bon vouloir, les fesses hautes.

Les yeux clos, elle savoure sa totale reddition. Ce n'est pas lui qui a imposé leurs jeux, c'est elle qui implicitement les demande puis les accepte, (j'allais dire "les dirige"...) l'autorisant à toutes les voluptés d'un seul regard ou d'un seul mot. Petit à petit, la fière a eu envie d'être sienne, de lui appartenir et de capituler dans ses bras, sur ses genoux ou à plat-ventre quand il est fiché en elle et l'envahit d'une seule poussée rectiligne et impérieuse au plus serré d'un cul marqué et incandescent.

Indécent...

Pudique impudique, elle a décidé de se laisser porter par ces plaisirs troubles qu'elle n'avait jamais avant lui vécu autrement qu'en images dans sa tête, loin de penser un jour passer à l'acte pour les vivre pleinement physiquement.

Confiante. Pas "soumise". D'ailleurs, à elle la pasionaria féministe qui est de tous les combats, le mot dans son acception au premier degré fait horreur, agissant sur elle comme un répulsif, d'ordinaire...

Pourtant...

La confiance permet tout. Le laisser-faire, le laisser-aller, l'abandon de soi, les mots les plus osés deviennent vocabulaire évident, sans retenue ni blocage...

Mais... La confiance se gagne. Elle se perd aussi immédiatement et sans rémission, si on ne l'entretient pas. Ces abandons et ces désirs exclusifs n'appartiennent qu'à eux deux et ne tolèrent pas trahison et petits mensonges, lâchetés ou autres tromperies du quotidien dont beaucoup d'humains semblent parfois - cédant à la facilité - si friands. Je suis à toi si tu es à moi, pas de place pour immiscer sa peau entre eux quand on est tierce personne...

Pour peu qu'on soit en osmose, en fait pas grand-chose ne nous arrête, excepté nos propres limites, de toute façon très similaires, quand on se connait et que le dialogue permanent est la composante essentielle de ce qui nous rapproche...
Image © Koldunov Bros

16 mars 2011

"Tiroirs de filles !" - 3: Emma

2258 - "Tiroir Jurassien..."

Et hop. Deux d'un coup dans la boîte mail. Après Nush, c'est Emma qui s'est décidée à son tour à nous entrouvrir ses tiroirs...

Le mot de la lectrice: "Vous savez ce qui est drôle ? Ce matin, je file acheter du fromage à la fruitière avec ma puce... Quand on entre, la fromagère est  précisément en train d'expliquer à des touristes attardés (parce que les vacances sont finies, hein, pas des simples d'esprit !) ce que c'est que la cancoillotte, que c'est "un produit du terroir". 

Je sens la surprise de ma petite qui se tourne alors vers moi en disant bien fort: "On a pas de cancoillotte dans not'tiroir, nous ! Hein maman ?"... Elle est un peu sourde , ma fille !

Bref, voilà mon tiroir, rien de bien intéressant. Z'auriez dû demander une photo de celui de la table de chevet !
 
Mais maintenant, c'est trop tard !"

L'avis de Stan: "My God... (sic)

Qu'est-ce qu'il peut bien y avoir dans ce tiroir de table de nuit ? J'imagine le pire, maintenant, Emma... Moi qui croyait que la Franche-Comté était un endroit un peu "mort", je vois qu'il y a au contraire pas mal de "vie" y compris "nocturne", visiblement..."
Image © Emma

"Tiroirs de filles !" - 2: Nush

2257 - "Collection privée..."

C'était attendu, connaissant notre fashion victim sudiste, je ne ne pouvais qu'imaginer une armoire (ouvragée) remplie à ras bord de lingerie de marque. Au moins l'équivalent du stock d'une petite boutique spécialisée de province, tout entier contenu dans son dressing...


Le mot de la lectrice: "Pour ma lingerie j’ai 3 tiroirs en fil pleins, deux boites et un autre tiroir 'secret' avec ma lingerie 'un peu spéciale' que je ne peux pas photographier aujourd’hui. Comme vous pouvez le voir, beaucoup de lingerie, classée par coloris.

J’ai un tic d’achat: j’achète deux (2) ‘bas’ différents pour un (1) haut. Actuellement, j’ai une centaine d’ensembles. Dès que c’est légèrement usé, je jette sans état d’âme. Et en achète un autre, ou pas…

Au fil des ans et des achats, j’ai constitué cet ‘ensemble’. Aujourd’hui, même en changeant tous les jours, je n’use pas vraiment ma lingerie, ce qui fait que je suis à l’abri de manquer…

Comme pour tout ce que j’aime passionnément, j’aime ‘à la folie’, d’une manière démesurée et je suis la plus heureuse lorsque le matin je dois décider de quel ensemble je vais mettre et avec quoi.

Bizarrement, ma vie ‘sexuelle’ a fort peu d’impact sur ces choix. À part la lingerie un peu 'spéciale' que je mets en club ou pour un réel amateur (corset, guêpière...) je porte tous mes ensembles ‘pour moi’.

Détail: aujourd’hui que j’ai peu besoin d’acheter, je ne le fais que si je trouve une teinte ou une forme vraiment très originale..."

L'avis de Stan: "Là, c'est du lourd... Une collection complète de falbalas et fanfreluches et encore je suis certain qu'il en manque...

J'ai eu le bonheur de passer un sage après-midi entier au soleil avec Nush il y a quelques années, sans imaginer les trésors dissimulés sous sa jupe. Car je suis un gentleman, voyons... Je me suis concentré sur ses yeux, du coup.

Mais visiblement, il y avait de jolies choses, on dirait...

Je note qu'il y a une photo "tiroir secret" en attente..."
Images © Nush

15 mars 2011

"Tiroirs de filles !" - 1: Ellie

2256 - "C'est celle qui le dit qui y est..."

Comme promis, car Ellie tient toujours sa parole, le tout premier tiroir de la rubrique arrive en droite ligne... de sa chambre.

Le mot de la lectrice: "Quand ma mère a arrêté d’acheter mes culottes - Petit Bateau, coton lisse et blanc - il a bien fallu que je m’y mette... et je m’y suis mise. En regardant le contenu de ce tiroir, me revient le premier qui me vira le gros pull marin et le jean, sans que je lui colle une calotte, l’expression de son étonnement… 

Celle des précédents aussi, d’ailleurs..."

L'avis de Stan: "Méfiez-vous de l'eau qui dort. Cette photo lui ressemble. Que voilà un tiroir bien rangé où je devine les choses plus que je ne les perçois. Je reconnais les tiroirs en toile bien pratique, (ouais, j'ai les mêmes) mais d'étalement malhonnête et de stupre, point.

La belle Ellie est une jeune femme classique d'apparence aimable et candide (oui, bon, on se connait de vue...) mais je la soupçonne au vu de ce qu'elle écrit, de cacher des dessous incandescents de salop... euh, de péripatéticienne, sous des habits bien sages de fille de bonne famille... 

Et que c'est réservé à qui le mérite..."