28 septembre 2010

Te faire hurler...

1929 - "Serrer les dents, ne pas laisser échapper un cri qui lui ferait trop plaisir..."

Parfois, des photos, des images ou des dessins me "parlent" parce qu'ils me rappellent des situations amoureuses vécues ou imaginées. Comme cette photo par exemple.

Je ne saurais dire vraiment pourquoi, mais, oui, je l'aime.

Pour le rictus, plaisir ou douleur, le regard en coin, fierté assumée et pas dissimulée. Je l'imagine bien comme ça, tiens... Envie.

Main plaquée sur les fesses nues, pile au moment où elle claque et comprime le séant, instant où les chairs se rencontrent, brûlent mutuellement le temps de l'impact...

Ils rentrent du restaurant, la discussion a été houleuse pour un rien qui s'envenime, la tension palpable. Furieux, vexé par son attitude, lui, le mâle, montre sa colère à sa femelle. Des bonobos...

Elle sait, elle a compris, elle s'excuse déjà d'une petite voix. Trop tard, évidemment...

Il l'a prévenue dans la voiture de la raclée à venir inévitable, souhaitée, attendue, espérée, sorte de libération jubilatoire et de jouissance commune qui viendra en point d'orgue. Coup de chance, mais ce n'est pas vraiment un hasard, elle aime recevoir des fessées, il adore lui en donner.

Alors ils en jouent, faisant grimper l'adrénaline d'un cran supplémentaire. Attente, insupportablement délicieuse.

À peine rentrés, il l'entraîne jusqu'à la chambre à coucher. Orgueilleuse, elle veut mettre un point d'honneur à ne pas laisser échapper le moindre cri pendant la correction qu'elle a méritée, en serrant les dents. Lui qui l'a d'autorité prestement courbée et déculottée veut la faire hurler !

Il faudra bien un compromis qui viendra de lui-même, quand ils dépasseront les bornes juste comme il faut. Ils ne feront l'amour qu'une fois ses fesses écarlates et elle dûment punie pour ses insolences récurrentes volontairement si mal maîtrisées...

Et elle sait par avance (crainte, désir, cœur qui bat pour l'interdit surmonté, le plaisir rauque et pimenté hors norme) que dans tous les sens du terme et au paroxysme d'une sorte de rituel accepté d'office, il ne se servira la nuit durant que de son cul...

5 commentaires:

Mademoiselle G a dit…

Entre tension et excitant... La nuit sera pleine de promesses rauques, cuisantes et alléchantes...
Quel merveilleux programme !!

Mademoiselle G a dit…

Excitation

Mademoiselle G a dit…

Dites sans vouloir être trop indiscrète vous ne vous seriez beaucoup inspirer de vos propres fantasmes et envies cher Stan?

Stan/E. a dit…

Oui bien entendu, je ne l'ai jamais caché non plus, hein... des dizaines d'années de cul, ça laisse (si je puis dire...) des traces.

Mademoiselle G a dit…

Rire oui je vois...