965 - Illustration issue de l'imagerie gay qui d'ordinaire me laisse de marbre. Pour une fois, c'est un cul de garçon qui prend. Dans mes enfers switch, il y a parfois l'envie de m'abandonner à une personne (homme ou femme...) capable de m'entraîner aussi loin que je le fais moi-même avec celles de mes amies qui le suscitent. Comme sur ce dessin.
Il m'est arrivé - rarement mais quelquefois - d'être de l'autre côté, c'est vrai et ce n'est pas un scoop, il suffit de relire le blog. 90-10 en pourcentage, je l'ai déjà dit...
Quoi qu'il en soit, en ce moment je me sens plus dominant que dominé et j'ai l'impression que c'est pour quelque temps encore.
Je n'ai pas tout dit. Elle le sait.
6 commentaires:
Ah ! Pour une fois un mâle qui y passe, mais ce n'est qu'une image.
La position ne permet aucune protection, nudité et jambes ouvertes avec un polochon pour remonter les fesses.
La pudeur n'a plus sa place dans cette situation !
C'est une situation pour le moins compromettante dans laquelle j'avoue m'être trouvé. Rarement. Mais à bon escient.
Un brin nostalgique cher Stan ? ^^
Un petit brin, alors.
J’ai mis longtemps à m’apercevoir que la nostalgie n’est pas de la tristesse,
On garde en soi les souvenirs et y piocher peut-être tour à tour réconfortant, troublant et excitant.
Cela fait partie de nous mais ne saurait se substituer au réel et aux futurs souvenirs à se créer..,
Il paraît pourtant qu’une lanière (ou un brin ) peut piquer et cuire davantage que plusieurs.
Mais si c’est à bon escient et avec la bonne personne, que demander de plus!^^
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