1283 - " Love, Honor and Obey..."
Au fond pour faire "obéir" mes compagnes, même (et essentiellement) par jeu, point n'est besoin de carcan comme ici. Juste de complicité et de dialogue. On ne fera pas d'un âne un cheval de course, mais au moins, faut essayer. Aucune des dames à qui j'ai un jour proposé de jouer n'a jamais refusé.
Ensuite, c'est plus ou moins réussi bien sûr. J'ai fini par comprendre que c'était infiniment plus intense avec qui n'avait pas besoin d'apprendre le fantasme et l'avait déjà en Elle, plutôt que d'avoir à l'inculquer à une oie blanche fermée et peu attirée par ce domaine précis, comme je l'avais jusqu'alors fait à chaque fois...
Cette caricature anglaise qui ressemble à du Gillray m'y fait penser...
8 commentaires:
« c'était infiniment plus intense avec qui n'avait pas besoin d'apprendre le fantasme et l'avait déjà en Elle, plutôt que d'avoir à l'inculquer… »
Et on peut donc supposer que c’est vrai pour Lui aussi alors ?
On peut supposer, effectivement. Mais je suis un homme, donc pas concerné, du coup, par les talents d'un autre de mes congénères (en un mot) qui ne me font ni chaud, ni froid...
mais , on dirait deux hommes sur ce dessin , non?
Bon je sucre les commentaires anonymes, usuellement, mais la question est intéressante. Je ne crois pas. La femme vue par les caricaturistes de cette époque est rarement affriolante, plus proche de la mégère que du top model...
Et rien n'est plus simple que de transformer en quelques traits un visage, pouvant du coup devenir masculin pour le spectateur qui le découvre. Pour autant, à l'époque du dessin, l'homosexualité était punie de prison... Donc...
Ok, mais là , "la femme" a une moustache! et une pomme d'Adam proéminente, et puis je n'ai pas posté en anonyme , j'ignore pourquoi mon nom a été effacé , c'est pas grave.
Emma, pour moi qui maîtrise un peu le dessin, pas de souci, c'est bien une femme et il n'y a pas l'ombre d'une moustache sur la lèvre supérieure de la femme? Certes, on peut confondre, ce n'est qu'un dessin, (et donc pas une photo à décrypter comme telle) qui d'ailleurs fait allusion à Petruccio, le héros de la "mégère apprivoisée"...
Mégère et physique disgracieux, j'en conviens, mais ayant pas mal de dessins de cette époque dans mes cartons, je dois dire que c'est un standard de "moche"...
Toutes les femmes n'ont pas loin s'en faut le physique de rêve qu'elles souhaitent. D'ailleurs les hommes non plus.
eh , bien , dans ce cas , c'est plutôt le mari qui faudrait attacher pour l'obliger à remplir le devoir conjugal , non?
pas sexy du tout , comme illustration... chacun ses goûts!
@ Emma: bah, des illustrations sexy, je suis certain que vous allez en trouver d'autres... Non ?
Enregistrer un commentaire