1459 - Ah, là, une image simple, on ne peut pas faire plus. Une main, d'homme, sur des fesses, de femme. Ça parlera à tout le monde*...
Dûe à l'objectif du Georgien Michael Ezra, dont vous trouverez toute une série somptueuse, ici. Et en attendant, je vous en propose une autre, ci-dessous, très "parlante" (elle aussi) quand on évoque les jeux de désirs et de possession. Totale.
* Et déjà à Emma qui nous a écrit un petit texte dans les commentaires que je ne résiste pas à vous proposer:
"Le silence, insolite à cette heure, m'incite à me lever pour voir le temps qu'il fait.
Passant un bras par l'entrebâillement de la fenêtre, je repousse un volet , puis l'autre et découvre un univers blanc et glacé. Le ciel, la terre, reliés d'un épais rideau de flocons de neige. Je reste un moment à contempler le paysage, nue et frissonnante. Nos projets pour la journée sont fichus, pas question de circuler par ce temps, il suffira de téléphoner pour décommander... plus tard.
Je sens ta présence derrière moi, la chaleur de ton corps qui, sans me toucher, me réchauffe déjà. Tu regardes par dessus mon épaule et tu fais le même constat que moi. Grasse matinée, peut-être ?
Ta main se pose sur mes fesses, immobile, assurée d'être au bon endroit. Je ferme les yeux, savoure ce geste qui t'est si naturel, cette marque de possession de toi à moi.
Bientôt , je me tournerai vers toi et tu me prendras dans tes bras. Mais en attendant, laisse ta main sur mes fesses, juste là, ferme et douce, et chaude. J'aime ça."
5 commentaires:
Le silence , insolite à cette heure, m'incite à me lever pour voir le temps qu'il fait. Passant un bras par l'entrebâillement de la fenêtre, je repousse un volet , puis l'autre et découvre un univers blanc et glacé. Le ciel , la terre, reliés d'un épais rideau de flocons de neige. Je reste un moment à contempler le paysage, nue et frissonnante. Nos projets pour la journée sont fichus, pas question de circuler par ce temps , il suffira de téléphoner pour décommander....plus tard.
Je sens ta présence derrière moi, la chaleur de ton corps qui , sans me toucher, me réchauffe déjà. Tu regarde par dessus mon épaule et tu fais le même constat que moi. Grasse matinée , peut-être?
Ta main se pose sur mes fesses, immobile, assurée d'être au bon endroit. Je ferme les yeux , savoure ce geste qui t'est si naturel, cette marque de possession de toi à moi.
Bientôt , je me tournerai vers toi et tu me prendras dans tes bras. Mais , en attendant, laisses ta main sur mes fesses, juste là ferme et douce , et chaude. J'aime ça.
Je suis bien content de voir que cette image inspire... Je la trouve belle. Elle résume tout, autant la caresse que... le reste.
tout simplement sublime
cette photo m'a troublée , vous l'avez compris. Que vous l'ayez postée juste ce jour là , aussi. ( Où étiez vous donc samedi matin entre 7 et 8?) et si ces quelques lignes vous ont troublé à votre tour ... juste retour des choses
@ Emma: Euh, entre 7 et 8 ? Au lit, je crois... Oui, j'ai effectivement bien aimé votre petit texte très joliment ciselé, et comme il arrive parfois au travers de ces échanges que les commentaires permettent de faire vivre, je me suis permis de le passer, parce que je sais aussi que certains lecteurs ne vont pas voir les commentaires, à tort...
Il y a grâce à vous toutes et tous un réel partage et d'intéressantes choses qui se disent sur ce blog, ça me comble. Je crois même que c'est pour ça que je continue.
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