1946 - "Effet de miroir"...
C'est en la voyant agenouillée face à lui en reflet de dos dans le miroir de cette chambre impersonnelle qu'il constate avec émotion à quel point il vient de lui rougir les fesses. Écarlate, rougeoyant, le postérieur est quasi incandescent, on pourrait presque voir une buée de chaleur s'en échapper en douces volutes...
Extirpée le regard interrogatif (remarquez, pas pour longtemps, elle comprend vite où il veut en venir...) de la baignoire encore trempée, il l'a attirée sous son bras, toute nue et les cheveux humides, avant de lui sécher la peau du cul à force de claques sonores qui emplissent la pièce, alertant sans doute leurs voisins de chambre. Tendez l'oreille...
Surprenant effet du mouillé, de l'eau qui amplifie tout avec un bruit plus rauque et retentissant, marbrant le fessier brûlant de rougeurs impressionnantes, qui d'ailleurs s'estomperont jusqu'à disparaître en quelques heures sans laisser une marque ni un bleu...
Alors évidemment, comme elle sort du bain, elle n'a pas de bas, comme sur la photo qui illustre ce post. Mais l'esthétique de la scène prend plus d'ampleur encore grâce à l'apport de la glace qui la dédouble... Avec l'impression, quand on jette un regard en coin entre deux fessées, d'assister à un spectacle dont on est les acteurs principaux...
Je vous recommande le truc...
2 commentaires:
Ah! vous voyez bien que le coup du miroir , c'est troublant!;D
Mais je ne crois pas avoir jamais dit le contraire; si ? Le miroir...
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