30 mars 2011

Plaisirs solitaires, sueur salutaire...

2289 - Sympa et exécrable peuvent aller de pair ?

De paire, même. On lira ça ici. Et bien évidemment si je met ce passage écrit par une fille sur un blog à suivre, c'est que je pense exactement la même chose...

"Si je suis avec quelqu'un, c'est parce que je l'aime. Je ne fais pas semblant pour tenter de me prouver quelque chose, non, je l'aime pour vrai. Mais question sexe, l'action de faire l'amour est pour moi plutôt inutile. Ou même dépassée. Il existe mille autres façons d'aimer la personne, en-dehors du sexe. Un éventail complet et varié de façons d'aimer la personne chérie.

Alors, laissez le sexe tranquille, bon sang ! Du sexe, c'est fait pour être ardent, passionné, animal.

Je ne veux rien savoir de m'endormir pendant un cunni de deux heures, de me faire prendre en missionnaire en me faisant regarder droit dans les yeux, avec une main dans mes cheveux en me faisant chuchoter des "je t'aime !" Fuck, non !

Ce que je veux, c'est me faire baiser. Big time. J'ai envie que ce soit sale, animal, débridé, dégoulinant de mouille et de sueur. Je veux des "doggy style", du tirage de cheveux, des crachats en pleine face, en pleine gueule, des mains serrées sur la gorge, des claques, je veux des râlements bestiaux...

Je veux me faire ramasser, c'est simple.

Je ne veux pas faire l'amour. Je veux BAISER...

Et ensuite seulement, après quelques minutes à respirer bruyamment, étendu à poil sur les draps trempés, si vous voulez être romantique, c'est le temps !

Avant, après... Mais pas pendant. Jamais pendant. "

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Seigneur... Me faire citer dans un autre blog est pour moi tout un honneur, je ne m'y attendais !
Merci beaucoup et au plaisir !

Stan/E. a dit…

Ma foi, on est tous de temps à autre forcément parfois touché par une texte, une phrase, une pensée. En me baladant chez Anne Archet, j'ai trouvé ces quelques mots tellement "justes" et proches de ma façon de voir que je me suis permis...

Stan/E. a dit…

Et puis grâce à vous, et à un texte que j'ai bien apprécié, cette histoire de la "fille qui décrisse" au matin, j'ai progressé dans ma connaissance des choses.

Je sais désormais qu'un "Jean Coutu" n'est pas un magasin qui vendrait des pantalons bleu denim comme celui que je porte, mais une chaîne de pharmacie canadienne très connue à Montréal...