171 - Et de la bonne manière. Une image qui m'cause. Cadeau...
En plein jour, dans un jardin public, pas loin du bassin.
La belle aux très longs cheveux (féminité accentuée à l'extrême) avec sa somptueuse paire de fesses, déculottée, installée en travers des genoux du "mâle" dans ma position préférée, de loin.
L'homme affairé et consciencieux lui maintient fermement le poignet retourné dans le dos pour l'immobiliser, attentif à bien rougir À LA MAIN tout l'épiderme, l'ensemble de la surface des rondeurs de sa fiancée, pour une insolence ou plus simplement par plaisir...
Un peu de prosélytisme, pour une fois.
Parce qu'à force d'en causer ici tous les jours, il me tarde de (re)faire comme lui, du coup. On y pense...
Je vous en reparlerai en temps voulu, tiens.
(PS: En attendant, joli commentaire sur cette image, posté par Waldo et que je vous engage à aller lire, ci-dessous...)
3 commentaires:
Cette image me parle également.
Les protagonistes sont crédibles dans leur attitude, leurs expressions, ce qui est loin d'être toujours le cas dans ce genre de mise en scène. Je regrette un peu le fouillis du décor qui ne situe pas vraiment pour moi le cadre de l'action, mais tu nous le fais visualiser par ton regard : "dans un jardin public, pas loin du bassin." Why not ?... Dans ce domaine fessophile qui nous rassemble, immense est la place accordée à l'imagination.
La position, naturellement, est délectable autant que classique, et je l'apprécie je pense autant que toi, même si mes torsions psychologiques me poussent souvent à des situations moins basiques. Je n'en apprécie pas moins la fessée à main nue et sur les genoux, le son délicieux qu'elle produit, épiderme contre épiderme, et la douleur ( relative ) partagée, à moins d'avoir la paume aussi calleuse que celle d'un jardinier maniant journellement la bêche...
L'aspect punitif, bien sûr, a son importance: la demoiselle - la dame, qu'importe ! - a manqué de respect, s'est mal conduite bref, a fait tout ce qu'il fallait pour mériter un juste châtiment et elle le subit, quel que soit le lieu et l'instant... Ici, c'est en extérieur. La voilà déculottée, sur les genoux de son ami, mari, amant, on s'en fout, sur les genoux de celui qui a le droit - ou se l'arroge - , de la fesser d'importance pour ses actes ou, comme tu le dis fort justement, pour le plaisir... Mais c'est toujours pour le plaisir, ou je me trompe ?...
J'apprécie aussi ce côté fessée publique, j'ai quelques réminiscences de cela, assez puissantes au niveau adrénaline... J'ai également des souvenirs récents dont je fus seulement témoin, de la charmante Arco fessée par son époux dans le plus grand ( et très beau ) parc de Barcelone. C'était en hiver, et il n'eut pas la cruauté de la déculotter. Mais quelle bonne fessée elle a reçu, à l'étonnement des joggers idiots qui passaient par là !...
Bref !... Il te tarde de reprendre la main, et là encore, amigo, nous nous rejoignons !... Tu nous raconteras, et je vous raconterai. Peut-être...
W.
Cher W. merci de ton passage et de cette "lecture" photographique fort plaisante. Tu en parles très bien, ma foi...
Pour Arco, j'imagine assez bien le regard offusqué des passants non concernés...
La lune au soleil, mais il montre aussi à d'éventuels témoins la fente intime....pervers
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