15 décembre 2007

L'ennui nait de l'uniformité...

454 - Non, contrairement à ce que cette amusante image de Punished Brats (dont je vous engage à regarder le "Pixie's Preview", sorte de bêtisier annuel de la production new-yorkaise) pourrait laisser croire, on ne s'ennuie JAMAIS pendant la fessée !

... Ou alors c'est qu'on aime pas ça, qu'on accepte pour faire plaisir (tragique erreur) et qu'il faut très vite changer de jeu. Pas de prosélytisme sur ce blog, chacun son truc.

Et puis cette conversation au téléphone qui s'éternise...

Poor Anna Vaughn ! David en oublierait presque de s'occuper de vous. But don't worry, miss: ça va reprendre...

Tiens, est-ce qu'on fessait différemment en 1956, 1969 ou 1977, dans le cadre de la conjugalité ? Vous le savez, vous ?

Punished Brats se pose la question (essentielle, vous en conviendrez) et en a fait un petit film rigolo intitulé "Spanking in the modern age".

Pas sûr qu'ils aient réalisé une thèse de doctorat sur le thème non plus, mais ce prétexte à donner la fessée devant une caméra à des demoiselles aussi plaisantes que Sierra ou encore Pixie, vaguement déguisées pour l'occasion dans des scènes de spanking revival menées de main de maître par Mr Pierson en... personne, est assez drôle !

Même si je ne suis pas certain que le film réponde à la question au final, le principe dénote un peu d'imagination de la part des scénaristes de la maison. (texte en V.O. en cliquant sur le lien)

... Et de la costumière aussi: une bonne fessée en pattes d'eph, ça doit valoir le coup d'oeil...

4 commentaires:

Anonyme a dit…

Les éléments d'une fessée sont on ne peut plus simples : il faut une main et un derrière !... Sur cette base on peut broder, la main s'armant d'un instrument quelconque mais basiquement, tout individu normalement constitué est à même d'en fesser un autre, même un manchot...
Je doute donc fort que la fessée ait pu être pratiquée différemment quels que soient les âges, et qu'elle soit conjugale ou pas ne change rien à l'affaire, la fessée est une série de gifles appliquées sur un cul, point barre !... Ce qui change selon les époques, ce n'est pas la manière de claquer un postérieur, c'est de le mettre à l'air...

De nos jours, on retrousse une jupette microscopique et en dessous, généralement, on rencontre un string; en quelques secondes la dame se retrouve cul nu.
Mais en 1900 ou les siècles précédents, c'était plus sportif ! Sous la robe, Il y avait des pantalons, des jupons plus ou moins nombreux et jusqu'aux chevilles, des corsets, des rubans et des lacets... Le déculottage prenait du temps, et j'avoue que ça me fait davantage fantasmer que le prêt-à-fesser de l'an 2007 !... Il y avait du mérite à enfin découvrir la chair au milieu de ces froufrous, et à mon avis, cela devait être également plus émouvant pour la dame qui se faisait ainsi éplucher... Mais bon, faut vivre avec son temps.

W.

Erik A. a dit…

"Éplucher"...

J'aime bien le mot, cher W. et je partage votre goût du retroussage et du déculottage "à l'ancienne".

Toutefois, c'est l'idée de ce petit film sans prétention qui permet un débat sur le sujet... Même si je me doute bien que ce n'est pas fait comme je le ferais...

... Et si j'apprécie tant les dessins des années 20, c'est bien pour ces pantalons à froufrous...

Anonyme a dit…

Waldo, je crois que tu aimerais bien les films de Spanking Epics, dont certains ont des mises en scène assez extravagantes. Ils ont ont aussi fait certains films d'époque, notamment avec Sierra Salem.

Anonyme a dit…

C'est bien possible, Petite main chaude, je ne connais pas les films en question.
Pour être franc, les extraits souvent très brefs que je vois de temps en temps de films de spanking ne me donnent pas tellement l'envie de voir l'oeuvre en entier, et d'autre part, je n'ai jamais de ma vie acheté un de ces films... Mais si j'ai l'occasion, je ferai attention aux "Spanking Epics"...

Et puis, Sierra Salem défroufroutée, ça ne doit pas manquer d'intérêt !

W.