"One, two, three..."
Ce cadrage resserré sur le visage de mademoiselle me suffit.
Tout de ce qui arrive à la malheureuse est dit dans un simple regard embué fixant la caméra qui assiste à son "supplice".
Au fond, pas besoin de toujours "voir" les choses de façon explicite.
Les imaginer génère parfois plus de troubles que si on avait le cul rougi et marqué de cette jeune femme "comptable" en très gros plan sur l'écran.
Non ? Pas pour vous ?
PS: au passage, je ne "compte" jamais...
Extrait © realspankings.com
9 commentaires:
Il n'y a que 'Vous' qui ayez la réponse.
Je l'ai. Mais en l'occurrence, c'était plus le jeu de mot autour de ce petit extrait qu'une vraie question lancée à la cantonade.
Et la vraie raison du post tient dans les lignes ajoutées pendant que vous rédigiez le commentaire...
Hmmm....j'avais mesuré le 'jeu de mots' même sans le commentaire.
Toutefois dans les deux cas mon commentaire est 'juste'.
Non, non ne me remerciez pas.
;-))
@ Nush, si matinale: vrai que mes troubles et ce qui les motive reste "personnel" et que du coup je suis à même de répondre...
Mais c'est un clin d'œil, au fond.
Reste que le "suggéré" me plaît plus que le "figuratif" en gros plan, même si je ne dédaigne pas voir une paire de fesses écarlates gigoter et zoomer plein écran non plus. Pour peu que la peau "marque" et soit bien blanche au départ...
Mon côté "sadique"...
Pour en revenir au film ? À qui est-ce que ça parle ?
Je préfére aussi tout ce qui est suggestif , d'ailleurs dans les clips que je fais maintenant il n'y a pas obligatoirement de scéne de fessée , les mots sont plus importants , en plus j'aime tellement traduire certains textes Anglais ....
Quand on aime, on ne compte pas", ai-je entendu dire... Mais oui, amigo Stan, "ça me parle" aussi !...
Ici en l'occurence parce que la demoiselle joue bien son rôle. Je présume par ailleurs que ces sanglots naissants sont dus davantage à l'émotion et à l'humiliation qu'à la douleur, car Il ne m'est jamais encore arrivé d'arracher des larmes à une dame avec cinq ou six plamussades, même administrées de bon coeur !...
Cependant, il me semble que nous serions parfaitement frustrés si toutes ces scènes n'étaient que suggérées. Ce que je crois, c'est que nous sommes suffisamment repus de visions callipyges écarlates pour apprécier une approche plus cérébrale de la fessée. Plus "sadique" aussi... Là, nous lisons la douleur, le trouble, la honte sur le visage de la punie, dans ses yeux prêts aux larmes, alors que lorsqu'on fesse une mignonne on ne peut contempler que son derrière !...
Ou alors, dans un jeu à trois, avec la complicité d'un second fesseur. J'aime bien aussi, mais ce n'est pas le sujet !
Enfin, disons que si j'étais contraint de choisir, ce serait tout de même la vue d'un joli cul carminé qui aurait ma préférence...
@ Waldo: "Plamussades", c'est donc à la main (paumes).
Et là, connaissant la maison US qui fournit l'extrait il me semble que sur les images c'est plutôt avec un paddle ou une large bande de cuir que la demoiselle en prend sur les fesses.
Patoche de cuir, martinet, sangles et trique, c'est un peu leur marque de fabrique, aux gens de realspanking.
J'en ai vu suffisamment pour savoir que les corrections manuelles sont moins privilégiées chez eux que les instruments qu'ils n'hésitent pas à usiter jusqu'aux marques les plus violettes et au sang qui perle. Ce qui n'est pas (du tout) mon truc à moi, le manuel...
De même, et c'est là l'essentiel, on ne sait pas à quel stade de la correction ça se passe: ça fait peut-être dix minutes qu'elle est fessée-fouettée-cravachée-battue, la petite dame.
Du coup, on relativise.
Tu as raison, ça semble être un paddle... Mais on le voit si brièvement que je n'avais pas fait attention. Pas de plamussades donc !...
Cela dit, même avec quelque intrument, je n'ai jamais fait pleurer une chipie...
A nice spanking on the bare bottom of a naughty woman. Wish we could have seen more of her naked rear end. But we can't have eveything.
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