09 octobre 2008

"Joues cramoisies"...

734 - J'adore ce titre, qui fleure bon les années 30. Et les femmes du dessinateur Carlo, quoi que très "datées", sont aussi séduisantes. J'en parlerai bientôt dans un prochain post, de cet illustrateur qui a une longue carrière dans ce trouble domaine de la fessée et de la flagellation...

Le mot cramoisi me plaît aussi pour ce qu'il évoque d'une teinte sombre, brûlante, que j'ai rarement fait atteindre à mes complices.

À part une fois ou deux fois, peut-être plus, et déjà contées sur le blog, je ne sais plus où précisément, je vais chercher et mettre en lien...

Sans doute avec Marie-B. et une autre fois avec la petite Kate...

Mais c'est rare, ce moment où on va au-delà des limites, avec l'assentiment de la demoiselle, laquelle laisse - par les mouvements de son corps et son abandon total - ainsi comprendre à son "bourreau" (attentif) qu'on peut poursuivre le traitement au-delà du raisonnable...

Comme dans une sorte d'état second dans lequel on ne ressent plus la douleur réelle et où on continue, jusqu'à plus soif...

Si, ça arrive.

PS: Si des témoignages de filles qui ont connu ça peuvent corroborer ?
Ou au contraire ne pas être du tout en accord... Ce serait évidemment un plus, à lire dans vos commentaires... Par avance, merci.

Images: "the treatment" © SIN

12 commentaires:

Anonyme a dit…

Je ne connaissais pas cet illustrateur... Ciao !

Anonyme a dit…

Très cramoisi, très cramoisi . Jamais tenté quelque chose d'aussi 'définitif'.
Mais le côté 'bleu meurtri' ne fait pas vraiment envie; en tout cas à moi. En fait, ce qui est décrit, 'cet oubli de la douleur' me semble être quelque chose de différent de mon approche personnelle.
J'essaye de tester ma zone 'ultime' sans toutefois aller aussi loin....

Erik A. a dit…

Les images viennent d'un petit film téléchargé de SIN et qui montre une fessée à la Butty, au moins en nombre. Impressionnant. On part d'un cul blanc...

Sinon, le prétexte, c'est une étudiante turbulente qui a été arrêtée pour outrage à agent et qui est fessée dans sa cellule par une femme policier et ensuite par un homme, son supérieur hiérarchique avant de finir corrigée par les deux en même temps...

Anonyme a dit…

Pas encore tenté et je pense pas que je le ferais un jour, mon seuil de douleur s'arrête avant...
C'est trop rouge, trop douloureux et cela en devient "moche".
Moi, j'aime quand la fessée reste "belle" dans les émotions et dans la couleur !

Rien que de repenser à l'image que tu as mise, j'ai mal aux fesses :)

Anonyme a dit…

Alors il est vrai que l'image refroidit complètement. Je ne le vois pas ainsi. J'aime dépasser mes limites, me laisser emporter par ses mains, déconnecter, et vibrer de tout mon corps sous la fessée qu'il m'offre. Ce 'lâcher prise', je connais, et il peut m'emmener très loin, une fessée jouissive, ou je ne souhaite qu'une chose, c'est de rester en apesanteur, mes fesses pendues à ses mains et au rythme infernal et cadencé qui enveloppe mon plaisir toujours plus haut. Je ne ressent plus la douleur, le plaisir a pris le pas sur tout le reste, et mon cul 'étrangement le vit aussi intensément que moi, et me gratifie d'un joli rouge intense qui dure quelques heures, mais qui ne laisse trace d'aucuns bleus marquants. Juste cette sensation de picotements qui m'accompagne délicieusement dans les heures qui suivent,qui me troublent, et cette sensation bienfaisante d'apaisement, d'un corps relaxé repus à l'excès...

Anonyme a dit…

J'ai déjà eu les fesses de cette teinte et même plus avec un bleu virant au noir. L'état d'esprit dans lequel j'étais : l'envie forte de la découverte de nouveaux instruments et celle d'être durement corrigée ont fait que je ne ressentais pas vraiment la douleur. C'est plus de voir la couleur de mes fesses qui nous a fait stoppé que la douleur elle même.

Aujourd'hui, je ne pense pas que je supporterai un tel traitement puisque je ne suis plus dans le même état d'esprit.

Mais c'est ce que moi, j'appelle de belles fessées et qui continuent à me faire rêver.

Erik A. a dit…

Je crois aussi, Alexia, que c'est lié à un état d'esprit du moment et qu'on évolue. Il arrive qu'on souhaite dépasser ses limites mais c'est probablement rare, et ne doit pas devenir une habitude. Un truc d'exception, quoi...

Je ne suis pas allé aussi loin, la teinte devant reter esthétique, mon côté graphiste. Et puis je fesse à la main, il est possible que ça aussi, ça joue. Les instruments font des marques impressionnantes...

Anonyme a dit…

Il n'empêche qu'il existe de très jolies traces avec des instruments.

Mais comme on dit : Les goûts et les couleurs...

Erik A. a dit…

Je ne nie pas les "avantages" des instruments", tu sais.

Graphiquement, je suppose que les marques peuvent même parfois être d'un esthétisme particulier très réussi. Mais j'aime tant le contact de "la peau sur la peau" que je ne souhaite pas laisser un "cuir mort" s'immiscer entre ma belle et moi.

Donc je reste manuel, même si parfois, je pourrais sûrement moi aussi jouer avec différents objets contondants... et claquants/marquants/rougeoyants...

Erik A. a dit…

Reste le mot "carmin" soufflé par Nush et que je retiens... Il évoque un tas de choses. Non ?

Anonyme a dit…

Carmina Burana?....
Ok! je sors! :-))

Anonyme a dit…

Puisqu'on en est à se référencer en fessées "à la Butty", il faut bien que je verse ma contribution ... expérimentale.

Je ne fesse aussi qu'à la main, et, sur le terrain de jeux exceptionnel dont je suis le dépositaire comblé, je dois préciser qu'aucune marque durable n'apparaît, même à 5000 claques. La teinte vient rapidement au rose, pas trop soutenu (cf photos DD), et en général disparaît 15 minutes après la fessée. Aucune carminitude donc. Je déteste faire des marques durables. A mon sens, elles sont surtout la signature d'un échec du fesseur (même si on trouve ici ou là des dames qui adorent garder longtemps la trace de leur "expérience").