C'est un dessin de Sardax: comme à chaque fois sur les images du dessinateur anglais, les femmes ONT le pouvoir et sont héroïnes dominantes de l'histoire, sans discussion possible... Gageons que la suite sera cuisante...
Elle a pris le pouvoir dans leur histoire un soir où elle l'a senti glisser pour un mot de trop, une conduite passée qui lui déplaît, une façon d'être qui donne envie d'une soudaine paire de claques, sonore, résonnant comme une délivrance inexorable.
Et le jeu s'inverse. Elle est plutôt d'ordinaire de l'autre côté... Elle y retournera, mais pour l'heure c'est elle qui tient la cravache.
Les émotions qu'il vit et le trouble qu'il ressent à la sentir devenir cruelle sont d'habitude les siens, à elle. Le passage se fait sans douleur, aisément, à sa grande surprise. Car elle qui aime tant être "tenue" n'aurait jamais cru avoir autant envie de corriger un homme, de lui "tenir les couilles", comme elle dit dans un souffle, se gargarisant de mots crus, excitée par ses audaces et ses désirs violents qui montent en puissance, crescendo...
Oui, ce soir, c'est lui qui va demander pardon. Pour une fois.
Dessins © Sardax
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire