Il y a une seconde, elle souriait, détendue. D'une phrase banale, mais prononcée d'un ton ferme et sans réplique, il l'a mise comme en fibrillation, cœur battant, l'infantilisant aussitôt. Elle baisse les yeux, cherchant l'échappatoire.
Mais c'est sans espoir.
Il l'a prise par un poignet, l'attirant doucement, presque tendrement mais fermement à lui, jusqu'à ce qu'elle bascule, vaguement déséquilibrée, en travers de ses genoux. C'est fini. Elle le sait. Elle attend...
Lui ne fait pas comme sur ces vidéos anglaises où l'on voit de longues minutes le correcteur distribuer de fortes claques par dessus la petite culotte, avant de la retirer pour reprendre la correction à nu. Une sorte de rituel qui n'est pas le sien, il ne s'embarrasse pas de manières et ne fesse que déculotté.
Glissant ses doigts entre peau et tissu, il attrape le dessous en dentelles immaculé mais légèrement humide, le faisant prestement glisser le long des cuisses fuselées.
Parce qu'elle le sait. C'est toujours les fesses à l'air qu'il la corrige.
5 commentaires:
ça , c'est fort.
En émotion.
Quelle idée aussi d'imaginer une fessée autrement que les fesses à l'air...
Oui, bon, pour les émotions, il y a du vécu là-dedans, c'est vrai, j'avoue... Kat, tu as raison et ça ne s'est jamais produit, où serait l'intérêt, hein ?
One of the great joys in life, is depicted in that beautiful drawing of a man's hand, on a woman's bare bottom. Of course spanking such a bottom, double's that pleasure.
Mmmm je ne sais pas pourquoi, mais me vient une irrésistible envie de faire un truc qui va Lui déplaire ce soir...
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