C'est clair, il allait se barrer, mais du coup, il recommence, une fois, deux fois, dix fois car la dame est insatiable. ET bien gaulée.
C'est paru dans French Kiss comics...
Petite BD aux planches classiques plutôt soignées, œuvre de Diego Greco, un dessinateur argentin très pro dans le trait dont je ne connaissais pas le travail.
- "Vous reprendrez bien un whisky ?"
- "Juste un doigt..."
* "mais il n'avait jamais vu un corps aussi parfait, excepté bien sûr à la télé..."
Images © Diego Greco et Erdosain - French Kiss
Images © Diego Greco et Erdosain - French Kiss
6 commentaires:
Ah oui, et ce n'est pas valable que pour le whiskey! Cette interprétation ne m'avait jamais traversé l'esprit. D'autant qu'une de nos amies abonnée au Porto en demande toujours 2 doigts! Je crois qu'au moment de l'apéritif, j'aurai désormais du mal à réprimer un éclat de rire. Je ris déjà en pensant à ce week-end...
Par contre, mon jus de tomate-sel de céleri-tabasco ne prête pas à confusion, hein ?! Parce que sinon, je change contre un jus de pamplemousse ou autre...
Très drôle, l'amie "deux doigts". Effectivement ce sera dur de ne pas y penser. J'adore ces expressions détournées...
Je vais faire lire ce post à mon mari pour ne pas me retrouver seule dans me trip le moment venu. Il y aura évidemment une petite pensée pour vous. Merci !
LE trip, fiouuu que de fautes ce soir ! Je viens de relire mon mail...hummm voilà ce que ça donne quand on change 1 verbe et qu'on oublie de rectifer le reste... mais bon, je ne le refais pas !
Et pour alimenter la rubrique blagounettes (vous m'en voulez pas d'avoir complètement revisité les rubriques de votre blog, hein?!):
Deux jeunes hommes commencent à rénover le magasin qu'ils viennent d'acquérir.
Ils sont assis pour prendre leur café.
Tout est vide à l'intérieur, il n'y a que quelques tablettes sans aucune marchandise.
Antoine dit à Michel :
“Je te parie que d'ici quelques minutes un con va mettre le nez à la vitrine et demander ce qu'on vend.”
Il n'avait pas fini sa phrase que, comme prévu, une dame âgée met le nez à la vitrine et demande:
"Que vendez-vous ici ?"
Antoine répond sarcastiquement :
“ Des trous de cul ”
Du tac au tac, la dame âgée répond :
“Ça a l'air de bien marcher, il n'en reste que deux !”
Vous avez remarqué que pour ne pas être hors sujet, j'ai pris la peine d'en choisir une en rapport avec l'intitulé du blog !
Je voudrais être clair. J'aurais préféré qu'on parle des dessins, du contenu, de l'idée de base. Je déteste les blagues. Les histoires drôles ne me font pas rire. Et celle-là pas plus que les autres.
C'est bien gentil de tout revisiter, votre passion me touche, mais quand même, pour autant attention à cette omniprésence qui peut devenir excessive. On n'a pas TOUJOURS un truc à dire sur tout...
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