Pas question qu'elle crie. "Tais-toi !"...
Subir. C'est douloureux, une correction à la cravache.. Certes infiniment érotique dans l'imaginaire plus que dans le réel, ça coupe le souffle et les chairs si c'est trop brutalement appliqué par un néophyte. Artistes de la chose demandés. Et paliers de douleur à respecter pour progresser...
Manuel "cuir à cuir" avant tout, je l'ai maintes fois répété, je fesse mais ne suis pas un expert en cravache. Le mot me plaît, "sonne" bien, mais m'en servir n'est pas ancré dans mes envies, même si en cas de demande, je saurais - je crois - très bien juguler ma force et le faire de façon progressive, sans esquinter madame au premier sifflement mal dosé. Seulement au-delà de la douleur qu'occasionne une utilisation maladroite et encore une fois, même si je ne m'en sers pas, je reste convaincu de l'érotisme et de la fascination extrême que recèle cet fin serpent gainé de cuir.
L'aspect animal, éducatif... Punitif, cinglant, nécessairement douloureux. Odeurs d'écurie, bestialité potentielle, envies d'utiliser sa croupe. Retrouver l'essence même du désir brut.
L'idée d'une promenade en couple dans un haras désert (!), musardant dans les boxes entre les chevaux, y découvrir une stalle vide et l'y entraîner à l'abri des regards, la déculotter. Ce pantalon blanc collant comme une seconde peau, l'en dépiauter, culotte au creux des genoux, futal sur ses bottes... Et s'asseoir sur une botte de paille avant de l'incliner sur mes genoux pour la fesser sans concession.
Une correction. La faire hurler, pleurer. Cri primal...
Ou imaginer une poutre en hauteur, détourner liens de cuirs, brides ou mors destinés à un autre usage pour lui entraver les mains, levées au-dessus de la tête. Faire glisser en même temps d'un geste vif jean et culotte à mi-cuisses. Se reculer pour la voir ainsi vulnérable... Et commencer.
Un jour ?
Dessin © Paula Meadows
5 commentaires:
Esthétiquement la cravache et le cuir ont ce petit quelque chose en photo qui me plaisent.
Histoires de peaux il me semble. Un net contraste de la matière transformée noire et tannée vis à vis de la peau vivante et sensible.
Mais vous avez raison : l'usage de la cravache demande une maîtrise absolue de celui qui la tient en main.
Sujet intéressant, je me retrouve dans ce que vous en dites. Le cuir, la peau. Mes mains sont blanches, sa peau sera rouge. D'ailleurs ma main aussi. Le contact chair à chair, essentiel, qui participe à mon plaisir.
Elle en a envie mais elle àa bien les jetons, Quand même, ça va cuiiiire... C'est ça qu'est bon ! ;)
@ Ellie: Oui. Je crois que le truc, c'est de ne pas "confier" ses fesses au premier venu rencontré sur le net parce qu'il parle bien "fessées". Parce que les déceptions - et parfois pire - peuvent arriver à ce moment-là...
I love these realistic spanking drawings. This naughty woman has to taste the whip on her bare bottom, most painfully.
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