2217 - "Révélation par la lecture..."
C'est un post pour VOUS mettre à contribution. Au vu de la qualité des commentaires, j'ai envie de vous "entendre" encore.
J'ai déjà évoqué ici souvent l'importance de mes lectures, mes premiers troubles érotiques au moment de la prise de conscience de l'existence même du truc... Des émois liés à la littérature qui ont sûrement façonné ma libido, orienté ma compréhension du sexe et amplifié sans nul doute ma passion pour la fessée.
Oui, ça provient aussi de livres, lus très tôt à l'adolescence, au sortir de l'enfance, principalement.
Des "Histoires d'amour de l'histoire de France", aux "rois maudits" en passant par "Germinal", "le général Dourakine", "le bon petit diable" ou "les malheurs de Sophie", du "paradis des orages" à "cruelle Zélande", de "Baby douce fille" à "histoire d'O", de "l'image" à "Gervaise" en passant par "l'éloge de la fessée" ou encore "Caroline chérie", que de livres ont orienté ma libido naissante...
Je parle pour moi. Mais vous ?...
Vous souvenez-vous de vos lectures passées, celles qui furent votre premier "révélateur", ces pages qui ont entretenu, voire créé le fantasme chez vous ? En fait quel est l'élément déclencheur, le titre qui vous aurait troublé, les scènes qui vous ont le plus excité, et à quel âge en avez-vous pris conscience ?
J'ai hâte... de vous lire.
34 commentaires:
La vingtaine de romans de la Comtesse de Ségur (tous sont chargés de la même atmosphère, ça a été sans doute le révélateur. Mais c'est à posteriori que je le réalise, en repensant à la façon dont je les savourais en m'isolant. Et puis d'autres titres qui me viennent à l'esprit mais que je n'ai pas sous la main (faudrait que je fasse un saut chez les parents...) et pour lesquels je serais incapable de donner des précisions : Le petit chose d'Alphonse Daudet, L'enfance de Tolstoï, David Copperfield de Dickens, Vipère au poing de Bazin. Et d'autres sans doute, mais...pas le temps de rassembler mes souvenirs.
Par contre, la prise de conscience a été plus tardive. J'ai aimé lire ces livres sans identifier la raison de cette attirance sur le moment. C'est un film dont vous avez déjà parlé qui m'a permis de comprendre: 9 semaines 1/2. Ceci dit, c'était déjà ancré en moi, un idéal d'homme dominant... Je crois aussi que j'avais bien aimé le film My fair lady avec cet homme qui la guide, son pygmalion...
Pas de fessée chez moi, ni dans la famille au sens plus élargie...Donc, en effet, sans doute les lectures.
Plus un vague témoignage qu'une contribution, rien que ne connaisse déjà l'expert que vous êtes !
Je lirai avec intérêt chacun des commentaires.
Vous êtes curieux et gourmand, Stan.
J'ai lu aussi "les deux nigauds" de la Contesse de Ségur.
Je me souviens aussi de petites bandes dessinées humoristes en noir et blanc, qu'il y avait à la fin du journal quotidien qu'achetait mon grand-père. Et très souvent, on voyait un mari qui fessait sa femme, ou un patron fessant sa secrétaire. Vers 14 ou 15 ans étant déjà très proche de l'âge adulte, j'étais troublée par l'image de fessée appliquée comme une gamine, mais sur une femme. J'en rougissais.
Là où j'ai commencé à prendre conscience que la fessée me troublait, mais pas seulement en la voyant dans des illustrations, ou dans des films, c'était vers 16 ou 17 ans, je commençais à "sortir" avec des petits copains. Une fois, je chahutais avec un de mes petits amis, jusqu'au moment où il me dit "Fais attention, sinon tu auras droit à une fessée", je ne m'y attendais tellement pas, que j'en suis restée saisie, tétanisée et certainement rouge de honte, satanée rougeur que je n'arrivais pas à contrôler, plus je focalisais sur le fait de rougir, et plus je rougissais. J'ai dû faire diversion en espérant qu'il n'ait rien remarqué, il l'avait dit sans spécialement me regarder, d'ailleurs.
Puis j'ai eu un autre copain, qui ne supportait que je me ronge les ongles. Une fois, il me dit en me fixant dans les yeux "Si tu te ronges encore les ongles, je te donne une fessée", en me tapotant gentiment les fesses pour bien montrer qu'il en serait capable. Alors là ! Mon sang n'a fait qu'un tour, et j'ai plongé ma tête au creux de son épaule, pour cacher mon visage, rouge d'émotion. Il m'a caressé les cheveux longuement, et j'ai eu le temps de retrouver mes esprits, mais j'ai compris qu'il fallait que j'essaie. Quelques heures après, j'ai fait exprès de ronger mes ongles, devant lui. Aucune réaction, il semblait avoir oublié sa menace, et je me suis rendu-compte que j'étais déçue, alors j'ai insisté jusqu'à ce qu'il soit agacé, et il a fini par m'administrer une claque assez sèche, sur mes fesses. Une seule, mais j'ai aimé.
La dernière anecdote qui a confirmé mon attirance pour la fessée, s'est déroulée lorsque j'étais animatrice de centre aéré, j'avais 18 ans, sous la direction d'un gars plus âgé d'une dizaine d'années. Je n'étais pas du tout attiré par le personnage, qui lui, semblait vouloir se rapprocher de moi. A la fin d'une réunion entre monos, nous avions prévu de dîner tous ensembles. Le dirlo, me faisait toujours la conversation, je lui répondais vaguement par politesse, mais sans plus, j'espérais plutôt qu'il discute avec sa voisine de droite. A un moment, il m'agaçait et je lui ai répondu une vanne un peu pour le décourager, et au lieu de cela, il me répond "Si tu me redis ça une fois, je te mets une fessée devant tout le monde !". J'étais interloquée, essayant de me souvenir de sa façon de me le dire, était-ce à voix haute ou à voix basse ? Est-ce que les autres avaient pu entendre ? En voyant ma tête, il s'est mis à rire, et moi du coup ... J'ai fini par sortir avec !! (Rires) Par ces mots, il avait réussi à susciter mon intérêt. Et vous connaissez le pire de l'histoire ? C'est que je suis sortie un an avec lui, et il ne m'a jamais fessée. Que de la gueu ...!! Dans le genre : velléitaire, il se posait bien là !! (Rires)
J'ai oublié de vous parler de ma période 25-30, durant laquelle je faisais toutes les broquantes pour éplucher les livres d'une collection bien connue pour "s'évader" : Harlequin.
Je ne vous dis pas, le nombre de résumés que j'ai lus au dos de ces livres, pour me donner une idée de l'ambiance. Et si l'histoire commençait par une jeune femme assez rebelle qui faisait tourner en bourrique un beau jeune homme brun, aux allures sévères avec un regard d'acier, j'achetais illico. Je les lisais en à peine deux heures, espérant de pages en pages que je parcourais, que la fessée allait enfin arriver. Je marquais ces pages qui ont été lues et relues, je ne sais combien de fois. Les pages s'en souviennent, encore. (Rires)
J'en ai lu des fessées par ce biais. On peut le dire.
J'ai hâte de lire les autres témoignages aussi.
"Période 25-30 ans, hein !"
Pas 1925/1930.
Et voilà, ma passion pour la fessée l'a emporté, et je suis carrément hors sujet. Very very sorry ! J'ai honte et je file me cacher.
Il n'y a pas de Q à brocante (rire), à part ça, Val, mille mercis d'avoir passé du temps à nous décrire ces amusants instants si personnels, c'est exactement ce genre d'anecdotes que j'espérais, évidemment.
Allez, si ça peut encourager d'autres amis à faire de même...
So et Valentine l'ont fait (merci mesdames), c'est à vous maintenant...
@ Stan : "Il n'y a pas de Q à brocante"
Un lapsus révélateur ? (Rires)
Je connaissais l'orthographe, en plus. Une raison supplémentaire d'être confuse : Vous attendiez des éléments déclencheurs issus de la littérature, alors que je vous ai narré des anecdotes réelles.
Merci à vous, Stan, pour cette introspection à laquelle vous me (je ne parle ici qu'en mon nom, je ne sais pas ce qu'il en est de vos autres lecteurs) poussez. Je n'avais jamais entrepris un tel travail sur moi-même. Avec mon mari je vis les choses sans chercher à les comprendre ou les expliquer. Toutes ces petites questions qui se posent à moi en explorant billets et commentaires d'Au fil du temps et qui refont surface même lorsque je ne suis pas chez vous...ça secoue pas mal, par moments... Votre blog est digne du divan du psy que je n'ai jamais eu ! Mais pas que, hein ! Il est aussi source d'émois à la lecture de certaines histoires, et de rire ne l'oublions surtout pas.
Ravi de servir de divan, mais ce n'est pas mon but initial, qui est, je le rappelle de m'amuser et de découvrir des trucs, pour moi avant tout. Qu'ensuite les gens en fassent ce qu'ils veulent et trouvent motif à aimer mon "travail" est un plus mais je n'y suis pas attaché du tout.
Le blog est une démarche très égocentrique et narcissique aussi, probablement...
Stan, avant de lire votre blog, j'étais persuadée que la Comtesse de Ségur était de la littérature pour filles. Dans mon entourage, aucun membre de la gente masculine n'a lu ses ouvrages. Ce sont plutôt de gros lecteurs, mais pas ça... Et d'ailleurs, si j'en ai proposé la lecture à mes filles, il ne me serait pas venu à l'esprit de mettre ses romans entre les mains de garçons. Va falloir que j'abandonne ce drôle de préjugé alors! Avez-vous des amis qui ont lu la Comtesse de Ségur ? Et vos nains de jardin ?...
Je sais, je sais, je sais, l'objet 1er de votre blog... Don't worry, je suis une bonne élève, j'ai bien retenu la leçon. Mais j'avoue que je détourne votre blog à mon usage perso... Rire! (Et vous avez vu que je n'écris plus mdr, hein !)
Je ne crois pas du tout que les livres de Sophie Rostopchine soient plus destinés aux petites filles qu'aux garçons. Pour le reste, no comments.
Le premier livre qui m'a vraiment marquée ( de ce point de vue) c'est Amber de katleen Windsor. Je ne suis pas très sûre du nom de l'auteur. Encore un bouquin trouvé dans le grenier. J'avais 16 ans. Je me souviens d'une scène où son mari jaloux ( et moche ) ligote la dame sur un tabouret en position 4 pattes et la frotte partout avec des orties puis avec des épines, je me souviens que j'ai relu un paquet de fois ces pages là , armèe de mon Harraps, pour être sûre de bien comprendre. Après ça , j'ai dévoré toute une collection de livre que l'une de mes soeurs avait ramenés des USA et qui m'avait rebuté jusque là. J'ai fait des progrès fulgurants en anglais , cette année là.;D
un vocabulaire difficile à caser en classe.;D
Ambre... J'ai du lire ça dans Jour de France ou les Marie Claire de ma maman dans les années 60, le roman avait été une année publié en feuilleton. J'en garde un souvenir assez proche de ce que je pense des bouquins de Anne et Serge Golon, la fameuse Angélique, Marquise des Anges qui en est un peu la version française...
Qui d'ailleurs contiennent aussi les inévitables scènes troubles pour adolescents découvrant la sensualité...
Moi ce sont tous les livres de la comtesse de Ségur, en particulier "Un bon petit diable" mais surtout "Sans Famille".
Je me souviens encore des passages les plus troublants. Dommage qu'ils aient disparu dans les nombreux déménagements de mes parents, j'aurais pu les relire.
Quoique...Peut-être qu'il vaut mieux rester sur des souvenirs d'émois.
Et à quel mot vérificateur j'ai droit? FENTE ;-D
Je le jure!
Je suis d'avis de ne pas relire, la perception des choses serait à mon avis bien différente entre ce qui nous a marqué à une époque donnée et aujourd'hui. Mieux vaut rester sur les souvenirs. Nos troubles se construisent sur des ressentis qui évoluent dans le temps.
Je me souviens avoir relu des BD que j'aimais jadis et être étonné de la pauvreté du dessin, vide de décor et assez quelconque.
Mon imagination avait cru y déceler jadis plein de détails qui n'y étaient pourtant absolument pas et que je "croyais" dur comme fer présents dans mon souvenir... La relecture a démystifié tout ça...
Je suppose que pour les romans lus il y a longtemps, c'est à peu près le même phénomène.
Stan, est-ce qu'il ne y a que vous en tant qu'administrateur du blog qui puissiez mettre des liens dans les commentaires, ou bien vos lecteurs aussi le peuvent-ils ? Auquel cas, comment s'y prend-on ?
Sans doute parce que j'ai lu Amber en version originale ( les éditeurs français ayant la facheuse habitude de procéder à des coupes blanches aux endroits les + interessants!)je peux vous assurer que ce bouquin n'a rien de romantique. C'est une histoire sombre du début à la fin.
La série des Angélique est totalement mièvre à côté de ça!
Emma, votre commentaire me fait penser à la différence entre le film 9 semaines 1/2 et le livre d'Elizabeth Mcneill dont il est tiré et que Stan m'avait incitée à lire. La version cinématographique est vraiment édulcorée. Par contre, la traduction française, si elle souffre du changement de langue, reste cependant fidèle.
Pour citer ou mettre en gras, en italique, etc, il suffit de maîtriser les balises HTML, c'est à dire savoir que pour citer, par exemple, on utilise quelques signes facile à retenir et qu'on met le mot entre. Ce n'est pas du tout un privilège, même si j'aimerais bien en avoir un peu...
Amber date de 1944, les Angélique des années 50 et 60, c'est juste un comparatif de genre, qui n'existe plus, ces sagas qui étaient en vogue à l'époque et auquel on peut rajouter Cecil Saint Laurent et sa "Caroline chérie" là encore érotico-historique, basée sur un fond de réel sur la mise en situation non plus d'hommes comme dans les Dumas, par exemple, mais au contraire d'héroïnes femmes prises dans la tourmente...
On trouvera de l'érotisme dans ces livres, selon ses ressentis.
Merci pour le lien Stan, un jour où j'aurai du temps, j'essayerai de m'y plonger. Le plus simple pour moi serait de demander à mon cher et tendre (hum, pas si tendre que ça parfois) qui, lui, maîtrise bien l'outil informatique. Mais comme je ne lui parle pas de mes commentaires ici, je vais devoir faire sans son aide...
C'est très facile, suffit de trouver la balise "lien" et de l'apprendre par coeur, ou la mettre dans un coin pour l'utiliser. Et pas besoin de demander à qui que ce soit pour ça franchement...
Ben si, fallait vous le demander à vous !
Encore merci. Pas plus de temps que ça pour aujourd'hui, mais c'est mis dans un coin...
Dans vos billets et commentaires, vous ne cessez de crier votre égoïsme (c'est pour moi, moi, moi! Rire!) et votre égocentrisme comme si vous vouliez vous défendre de votre grande générosité, en fait. A travers ce blog, vous nous offrez beaucoup, et je puise à votre source sans limite.
De part mon métier, j'ai plutôt l'habitude de donner, à un point que j'en suis souvent à me demander ce qui va suivre derrière un bonjour au téléphone, dans la rue, lors d'une invitation... Du coup, chez vous, je me sens un peu parasite, ne vous apportant rien en contrepartie...
Aucun besoin de contrepartie, en aucun cas. Là, c'est à VOUS que ça pose problème, mais pour ma part, je n'attends pas de retour, même si le plaisir de me voir lu, compris et les retours qu'on m'offre suffisent amplement à mon bonheur.
J'ai déjà lu des gens qui font des blogs se plaindre du manques de commentaires sur leurs posts et menaçant d'arrêter si les lurkers persistent, comme si c'était un dû.
Je ne crois pas à ça. Si les gens viennent et décident de parler, d'écrire des trucs, de réagir comme ils veulent c'est extra, mais il n'y a pas d'obligation de quoi que ce soit.
Heureusement.
Oui, c'est évidemment égocentrique de ma part, même si ça s'est transformé en mini forum au fil des années, ce qui est bien plus plaisant et permet un dialogue régulier, amical et passionné. Pile ce sue j'aime, bien loin des forums à multiples egos qui sont inéluctablement désertés et vidés de leur âme sans quelques personnalités capables d'animer l'endroit quasi quotidiennement...
Rassurez-moi, vous avez bien supprimé mon test ou bien j'ai eu une hallucination en croyant que j'avais réussi à publier un lien ?
Oui, je l'ai vu, c'est bizarre, je ne le vois plus dans la liste, mais oui, ça marchait. Ceci dit, quand vous indiquez un lien, ça peut être un blog entier, juste un post ou une image, tout ce qui est dans l'adresse que vous mettez en copié collé.
Vous êtes en train de me dire qu'il a disparu tout seul ?! Arrêtez, avec le film que j'ai vu hier soir qui m'a donné la nausée, je vais finir par croire que j'ai de sérieux troubles dissociatifs !
Black Swan
Bon, c'est pas les passages dérangeants, c'est juste histoire de refaire un test.
Le test est concluant. Je n'ai pas viré le post, qui effectivement est toujours dans ma boite mail, par contre. Mais il y a deux minutes j'ai viré le suivant, le cri de victoire qui du coup n'avait aucun sens. Le compliment est passé...
et ça marche.
Merci ! Et je ne crie plus victoire car ça m'avait porté la poisse ! Euuhhh mais non je ne suis pas superstitieuse ! Par contre, ce qui est certain, c'est que vous, vous êtes un chou à la crème ! Faites gaffe, vous allez vous faire dévorer !!
L'age bien trop tôt pour moi malheureusement, mais pas du à mes lectures non plus. Les fantasmes ont bercés mes nuits bien trop noires et les plafonds bien trop blancs de ma vie.
Mais très jeune j'ai lu car j'aimais le SF, les chroniques de Gor, mais j'ai vu cela comme de la SF et non autre chose et bien heureusement. Je lisais beaucoup les comics donc obligatoirement je tombais sur des scènes trach de fouet et martinets... Depuis j'ai une petite bliblio perso que j’enrichis tous les WE ou je cours les vides greniers et vraiment on trouve des choses que l'on peut imaginer si on a le temps de fouiller....
"Le marchand de fessées" de Pierre Gripari, illustrations de Claude Lapointe : je dois à ce livre mes premiers émois enfantins, vers 6/7 ans, à l'époque où Zorro, l'homme au fouet d'avant Indiana Jones, constituait mon idéal masculin. Du coup, à la récré, je jouais à la fesseuse masquée... Simple erreur dans la distribution des rôles (revue et corrigée à l'adolescence avec la découverte d'une bédéthèque résolument adulte), mais le scénario était déjà bouclé !
J'ai retrouvé le livre dans mes cartons pas plus tard que la semaine dernière, travaux d'été obligent :-)
Je ne me souvenais plus de ce post, alors vraiment, merci de le faire remonter car je crois que les réponses des unes et des autres sont assez passionnantes à lire !
Enregistrer un commentaire