2629 - "Sens apaisés !"
Une fois la foudre passée, s'en vient évidemment le temps de la consolation et des caresses... Je suis un garçon assez tendre, dans le fond. Rougir des fesses de fille, certes, j'adore. Mais toujours avec un tube de Biafine à portée de main. Raison simple: quand on aime fesser, on aime aussi recommencer. Si la punition est d'entrée trop forte, il n'y aura pas de second round... Parce que madame appellera Police-secours.
Alors je prends mon temps pour trouver mon rythme. Même si elle s’impatiente et trouve que je suis trop gentil. Ne riez pas, c'est arrivé. À moi de la détromper pour qu'elle finisse par crier grâce.
Et puis il y a aussi le problème des marques.
Oh, si la dame est votre légitime, ça ne regarde que vous deux et du coup, peu importe les traces et la durée de leur présence sur son cul avant qu'elles ne s'estompent en passant par toutes les teintes de l'arc-en-ciel.
Mais dans le cas où votre complice est en couple de son côté et vit avec vous en secret des expériences érotico-sensorielles qu'elle n'a pas vocation à partager, difficile de se laisser aller vraiment.
Car il convient de penser à la suite: son retour au foyer, les fesses encore incandescentes et aux explications pénibles que la découverte inopinée d'une trace suspecte ou d'un bleu sur un derrière dévoilé au détour d'une douche pourrait susciter chez un mari pointilleux qui n'aurait pas trop le sens du partage... Et ne croirait probablement pas que son épouse s'est assise sur un radiateur par mégarde.
Une de mes amies sans vergogne est pourtant parvenue à faire croire ça à son compagnon suspicieux.
Donc prudence... Et arnica.
3 commentaires:
La pharmacienne: "le tube d'arnica, c'est pour un enfant de quel âge?"
Moi: "euh... 21 ans?"
Oh, les pharmaciens s'amusent. Je me souviens avoir acheté un tube de vaseline, il y a des lustres (soi-dit en passant, c'est désagréable d'utilisation, c'est gras et ça colle, mais les gels actuels n'existaient pas, j'ai déjà dit que mon préféré c'est le KY)... J'étais tellement axé sur l'usage que j'allais en faire que j'étais rouge comme une pivoine... Ceci dit, bon, j'avais 21 ans aussi.
Non seulement les gels actuels n'existaient pas, mais alors, en matière de préservatifs, il paraît que ça n'avait rien de folichon, il fut un temps. D'où une certaine incompréhension voire conflit des générations (nan je déconne) entre la génération qui a connu l'ère du "caoutchouc brut", et la mienne, qui en est à l'ère de la "texture hallucinante que tu sens même pas que le préservatif est là" (sans parler des goûts à tous les parfums de la galaxie ou des capotes phosphorescentes, j'ai pas essayé mais je sens que ça donnerait matière à un bon remake de Star Wars)
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