10 février 2006

Lieux communs, noms propres... Ah, c'est du joli !

4 - Ah les lieux insolites…

C'est vrai que nos "envies" pressantes ont parfois besoin d’un cadre sortant de l’ordinaire pour vibrer, s’épanouir et que le corps (enfin en l’occurrence les fesses !) exulte…

Même si en l’espèce il est arrivé que la situation m’échappe ensuite totalement et que l’érotisme prenne le pas sur le punitif…

Alors pour rire, j’ai tenté un bref recensement, une petite liste non exhaustive d’endroits un peu intemporels où le temps s’est figé pour moi et diverses dames, sur plusieurs années, pour une ou plusieurs fessées…

Mes endroits.

Souvenirs de fin de siècle et de début du nouveau millénaire.

Ah… Comme cela n’a d’intérêt que si c'est authentique, je certifie les faits avérés et réels.

... Donc:

- Dans une clairière de forêt vosgienne, avec un troupeau de sangliers et de marcassins en goguette en dessous de l’abri en hauteur où nous étions dissimulés pour observer la faune, un soir d’automne, du côté de la Petite Pierre

- Dans le vignoble alsacien, au-dessus de Colmar un jour d’hiver et surtout de neige… (en pleine nuit après une ultime et dérisoire provocation de ma belle qui décidément en cherchait une bonne, nus comme des vers (brrr) sur le balcon de notre chambre au dernier étage d’un hôtel de Kaysersberg, Cnambard pour être exact !)

- Dans la chaleur d’un box d’écurie (non loin des chevaux placides mais quand même étonnés de la situation…) près d’Obersteinbach

- En montagne, sur un alpage suisse, au milieu des vaches et des tintements de cloches (encore des animaux pour témoins, sans doute mon côté «bestial »…rire), non loin de Neuchâtel, avec un témoin à jumelles que nous avons découvert ensuite... (voir détails dans le premier post)

- Sur une plage méditerranéenne isolée dans une crique de l’île de Bendor, au joli mois de Mai.

- La nuit suivante, dans le jardin d’une résidence de luxe où l’on nous avait prêté un appart pour une quinzaine.

- À Cabourg, devant le Grand Hôtel, sur la plage une nuit de février. (brrr)

- Dans la réserve d’une librairie de BD, en Belgique… (et je n’en dirai pas davantage...)

- Dans un parking public couvert, sous le PanthéonMarie courbée sur le capot et prestement déculottée pour quelques formidables claques qui ont amplement résonné. Et en dépit d'un petit couple qui arrivait au loin à l'autre bout. Panique...

- Dans la voiture, quelques instant plus tard le même jour au même endroit.

"Euh, on est mieux dans un lieu clos, hein?"
me chuchote une Marie honteuse juste comme il faut...


- Rue de Rennes un soir de 94, assez tard, et sous une porte cochère après avoir retiré la culotte de Marie, cherchée d'une main impérieuse sous la jupe fluide en pleine rue…

Peu de témoins, à vrai-dire, mais l'excitation de l'interdit et la peur d'être surpris en filigrane...

- Près d’un charmant petit lac mosellan avec des gens sur l’autre rive qui entendaient forcément, mais à priori ne voyaient rien…

Enfin je suppose...

- Près d’une ravissante chapelle déserte bretonne à quelques kilomètres de Perros-Guirec... où nous attendait patiemment mon meilleur ami et son épouse, pour un dîner un peu guindé.

- Dans les toilettes d’un avion (avec une hôtesse de l’air… Court ! Mais délicieux, en dépit du monde pas très loin…)

- Une nuit dans un cimetière non loin de Versailles… Pas longtemps (les fantômes, on sursaute au moindre bruit…) Il y a longtemps…

- Dans la cuisine d’un restaurant d’hôtel près de Biarritz, après y être redescendus longtemps après le service…

- Dans la tourelle d’un château en Alsace entre deux visites guidées…

- Dans une impressionnante abbaye de la vallée de Chevreuse, à Cernay un soir d’été avant le dîner dans un caveau.

- Dans la réserve d'un magasin de chaussures de luxe de l'avenue Victor Hugo, à Paris... Quand mon second meilleur ami en était le gérant et troussait pendant les horaires de travail ses petites vendeuses (bien consentantes et amusées par la chose. pendant que les clientes attendaient qu'elles remontent de la réserve) avant de les pénétrer d’une verge alerte et effrénée, voire parfois distraite (faut avouer...) au milieu des cartons de pompes... Le tout à la façon d'un grand mâle gorille honorant ses femelles admiratives regroupées autour de lui dans la jungle... (du XVIème arrondissement quand même)

- En 72, dans la maison de mes hôtes à Brighton, en Angleterre, devant un ennuyeux match de cricket, et avec une des trois filles de ma logeuse british, Gillian, qui m’initia à pas mal de nouveautés dans un domaine qui m’était jusqu’alors inconnu : premiers baisers, première baisée, premier clitoris... En clair, premières petites « saletés » forcément interdites par les bonnes mœurs. J’en passe et des plus gratinées… Believe me !

Gill (16 ans alors, comme moi) par ailleurs fessée par sa mère tous les samedis pour les fautes de la semaine écoulée, en compagnie de ses deux sœurs, dans un étonnant rituel, cérémonial probablement pervers mais non vécu comme tel. En clair, sulfureux pour moi mais convenu et admis par l’ensemble de la famille. J’y reviendrai dans un prochain post, « à moi les petites Anglaises ! » pour paraphraser Michel Lang qui dans son film narre des trucs identiques à ceux que j’ai vécu dans les années 70…


Du pain sur la planche et d’autres détails à venir, si la mémoire ne me fait pas défaut. Et pour vos commentaires, c'est open...

4 commentaires:

Erik A. a dit…

Hello vieux frère... Je vais tenter d'en faire un espace plaisant mais je débute, sois indulgent. Et puis il y a là des choses que tu avais déjà lues.

Pour le reste, espace pro, discret... et pas non plus monomaniaque. Fessées oui, mais pas que...

En clair, un journal de bord de mes états d'humeur au jour le jour, et ensuite... On verra !

Erik A. a dit…

oui c'est une photo que j'ai trouvé jolie. Alors je l'ai choisie comme illustration de départ de mon "article" en chapeau. Une ouverture vers des plaisirs que je connaït bien...

Et que je ne vais pas perdre de vue de sitôt...

Erik A. a dit…

Merci Kokine, je suis certain que les souvenirs que tu en as conservé sont aussi sympathiques que les miens, même s'ils différent forcément. Ne serait-ce que parce que tu es... une FILLE ! Rire... Ah, les années 70 in England (et même en France d'ailleurs), c'était vraiment quelque chose...

Erik A. a dit…

La réponse, 5 ans plus tard. En face de Bandol à quelques mètres...