La corde au c... (au cou ? au cul ?)
OK, c'est parfois pareil... Une image symbole.
Un résumé de ma vie...
Une façon de se débarrasser de mes obsessions, d'en finir une bonne fois avec toutes ces petites histoires troublantes.
J'y vois l'allégorie d'un "suicide par le sexe", la corde autour du cou pour se pendre et fuir les troubles obsessionnels que procurent le stupre et de lancinantes envies de fessée.
Ceci dit, même si j'aime beaucoup cette image d'ouverture (!) je ne suis pas client pour le bondage et le bdsm ne me branche pas le moins du monde, même si je trouve ça plutôt "joli", sur certaines images en noir et blanc de ce photographe que je ne connaissais pas. Mais dans ce domaine précis, il est vrai que je ne connais pas grand chose...
Comme celles de Steven Speliotis qui illustrent ce post. Il y en a d'autres sur son site avec des modèles plutôt jolies...
En voici une seconde, une de mes préférées, très graphique et mise en page de manière audacieuse...
En fait, la fille est debout avec la tête penchée en arrière, mais le fait de tourner la photo d'un quart de tour en la présentant ainsi aux regards du public lui donne tout son charme et un côté mystérieux.
Oui, rien d'autre, elle est juste tournée.
Ce qui lui confère un aspect curieux, une impression de vitesse, de "pony-girl", de jument centaure attelée à quelque char pervers... Bref, un côté presque irréel...
Voilà un exemple où mon métier rejoint ma coupable passion secrète. Enfin "secrète", faut le dire vite.
En fait, de moins en moins.
Je ne m'en suis jamais caché et n'ai point honte de mes "pulsions" callipyges et fessophiles.
J'aime les culs, et plus encore leurs propriétaires, filles de feu qui les font bouger, onduler et tortiller en cadence dans des jeux complices et partagés.
Bref, de plus en plus mon blog pro - celui contenant mon travail et mon vrai nom - se mélange presque au fil du temps avec celui-ci, plus trouble et délirant sans doute...
Probablement est-ce logique... Mais pour moi qui tente de gérer les deux sans ces interférences, c'est assez curieux.
6 commentaires:
Les grands esprits se rencontrent. J'avais publié ce post en janvier 2005 : http://www.meliemelo.net/article-81321.html
et Steven Speliotis, adorable, m'avait donné son autorisation, notamment pour une autre image que j'aime beaucoup et qui figure sur la même page. Je suis heureuse que Steven Speliotis en ait fait de même pour vous ! Il mérite qu'on honore son travail tant il nous fait si bien rêver.
Amusant oui... Comme quoi. Je n'avais pas fouillé dans vos archives, mais il est vrai que sur le sujet il arrive que l'on se croise... Le propos toutefois différe suffisamment pour ne pas y voir un bête doublon...
Donc pour les curieux ou les flemmards qui préfèrent juste cliquer sans copier/coller... Ce sera LÀ...
Je n'ai pas demandé l'autorisation à Spiliotis ni d'ailleurs à personne que je cite dans mes pages...
Parfois je leur envoie un lien discret pour leur signaler que je parle d'eux... Parfois non.
Ici, c'est un blog et je référence soigneusement mes sources. C'est déjà pas mal et à mon avis - du moment qu'on respecte l'artiste - amplement suffisant. Toutes les images sont trouvées sur internet. Et donc accessibles. Mon but restant tout comme pour vous non pas de nuire mais de faire découvrir leurs oeuvres...
et c'est Speliotis...avec un E
chère mélie, je suis suffisamment client de chez vous pour ne pas vous laisser supposer quelque acrimonie que ce soit envers vous dans mon commentaire. C'est un propos généraliste sur les images... Rien d'autre.
Et encore une fois c'est normal de nous retrouver sur des sujets communs...
Toujours agréable de découvrir un photographe, son travail ; la première photo ‘la corde au cul’....un bonheur.
Les autres aussi, mais celle là particulièrement.
D’une manière étrange ce que j’apprécie chez Speliotis c’est « l’imperfection » de ses photos, une asymétrie, un zeste de cellulite..(lol !), un manque de ‘seins’, une ombre mal placée, des vrilles mal ajustées, il colle à la réalité sans la trahir....plutôt rare.
Merci, ce qui me touche me rend muette, ce n'est pas nouveau...
Je ne trouve rien de délirant ici, cela ressemble à l'esprit sautant d'une idée à une autre mais dans le cercle de tes envies.
Vivre ses obsessions c'est tout de même une bonne façon de garder son équilibre parfois.
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