146 - J'aime bien les westerns.
Je me souviens d'émotions érotiques violentes ressenties au cours de mon adolescence, à la lecture d'un petit roman de gare, (dont j'ai mangé le titre mais se passant durant la guerre de Sécession) sorte "d'Autant en emporte le vent du pauvre", version cul...
Une jeune et arrogante propriétaire de ranch se faisait durement fesser à la fin du livre - après avoir poussé le bouchon un peu trop loin pendant les 2/3 du bouquin - par un de ses cowboys amoureux d'elle de surcroît.
Le gardien de vache énervé se chargeait manu militari de la remettre en place une bonne fois, fesses à l'air et jupons relevés...
À peine sur pied, rouge, échevelée, reniflante et en larmes, la jeune femme honteuse, enfin dûment corrigée lui demandait pardon pour sa morgue déplaisante... (même que déjà à l'époque, ça me plaisait bien, cette attitude un peu humble...)
Touché, le brave garçon acceptait ses excuses avant de lui rouler une pelle d'enfer et de la culbuter à même le sol, l'enfilant à cru jambes en l'air...
(Car "Le bonheur, c'est simple comme un coup de bite" disaient les Nuls au temps de leur splendeur, dans une de leurs inénarrables fausses pubs-parodies... En l'occurence, le vrai slogan était: "le bonheur, c'est simple comme un coup de fil", une pub France Télécom du temps du monopole.)
Oui, c'est une histoire d'amour quand même.
Je ne garantis pas le reste de l'intrigue, mais ça je m'en souviens: quand on est puceau, ce genre de détails marquent pour la vie.
Bref, comme dans la chanson du groupe "Il était une fois": "je l'ai rêvée si fort que les draps s'en souviennent..."
PS: Et Hélène aussi, d'ailleurs. Car j'avoue qu'il m'est arrivé de lui donner la fessée - à mes débuts - en repensant à ce passage précis du livre, c'est vous dire l'influence de la lecture sur les esprits faibles...
PPS: Sur la photo, extraite d'un spanking movie, c'est miss Sierra Salem dont je parle par ailleurs qui se fait copieusement fesser par le cowboy...
2 commentaires:
La voix de Joëlle....
Ah, Joëlle... (soupir)
enfin pas celle-là, la chanteuse qui déjà à l'époque me semblait un peu niaise, mais ma copine Jo, du Chesnay, qui a motivé tant de sorties avec un groupe de cons de motards dont je faisais partie, juste pôur humer l'air à ses côtés en randonnées.
L'ingrate ne m'a pas vu, malgré huit mois de cour assidue et discrète. Trop sans doute...
Y'a des fessées qui se perdent. C'est la suivante qui a tout pris. C'est toujours comme ça.
"Faible"... Si un peu.
Mais c'est une saillie, vous le savez très bien, maâme Kochris (ça fait un peu bacille, écrit comme ça...)
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