03 décembre 2006

Voir sans être vu...

139 - Oui, c'est vrai, je suis un peu voyeur et les amours saphiques ne me sont pas du tout indifférentes sans pour autant aller jusqu'à l'obsession...

J'ai déjà eu l'occasion de voir une dame en corriger une autre et je ne suis pas réfractaire à la chose comme on l'est parfois ailleurs en d'autres lieux plus compartimentés. Au contraire...

Bref en toutes choses, j'aime le partage, la réciproque et la parité homme-femme.

En ces jeux comme dans d'autres.

Car finalement je n'éprouve pas plus de blocage envers un "gode-ceinture", (même si j'ai plus souvent été d'un côté du manche que de l'autre... Qu'en termes galants ces choses-là sont dites", hein... ) qu'envers la perspective de m'en prendre une bonne à mon tour. (... de fessée, tiens !) Avec ou sans raisons.

Mais je ne vais pas pousser le vice jusqu'à aller chercher. Si ça doit arriver...

Quand la situation se présente, il est toujours temps d'aviser, de protéger ses arrières (!) et ne pas banaliser ses sensations, histoire de toujours les vivre dans l'émotion et la gorge serrée, c'est tellement meilleur !

Mais il faut dire que c'est aussi la rareté de certains plaisirs "interdits" qui en donne le prix pour moi.

Pas pour vous ?

Et détends-toi...
C'est le moment de te souvenir
de ce que tu dis d'habitude:

"Ça ne fait pas mal, chérie !"
(Dessin de
John Billette)

2 commentaires:

André Martinet a dit…

Fort amicalement... je ne sais pas si l'image d'un tabassage sanglant au battte de base ball peut être prise « au second degré »... Sans en faire tout un plat, ni assaut de rectitude politique, cher StanBD, il me semble que nos représentations graphiques doivent s'interdire les giclées d'hémoglobile à la Kurosawa, la discipline érotique étant, nous en convenons, je le sais, une autre façon *d'aimer*

Erik A. a dit…

oui, je comprends tout à fait, André. Mais comme tu me connais un peu, tu n'imagines pas que ce "pugilat" tout aussi réaliste et sanglant qu'il soit, représente autre chose pour moi ici qu'une illustration d'article à prendre au second degré.

Genre "l'éternel combat de la femme contre l'homme".

Je me balade sur la toile et quand une image me fait réagir (comme celle-là) je la stocke en attendant de l'utiliser à un moment ou à un autre. J'en ai pas mal en prévision, du coup, qui "sortent" quand elles me semblent illustrer peu ou prou mon propos.