592 - Plus encore que Valentina, évoquée il y a trois jours au travers de la correspondance entre Louise Brooks et Guido Crepax, et dont l'érotisme glacé ne contient que fort peu (pour ne pas dire aucune) de scènes de fessée, il y Bianca, du même auteur.C'est ce que me signalait gentiment l'ami Waldo dans un commentaire récent:
" (...) le bougre ne pouvait me laisser indifférent par les sujets qu'il traitait !...
SM avoué avec "Valentina" et surtout dans un album dont on ne parle quasiment jamais, "Bianca", carrément pur "spanking". C'est peut-être d'ailleurs pour cette raison qu'on l'évoque si peu... Pour moi, c'est l'œuvre de Crepax qui m'a touché le plus !
... Et quand je dis touché, c'est pour rester correct..."
Bon, du coup je me suis replongé dans mes recherches. J'ai malheureusement trouvé peu de choses sur l'œuvre en question, à part une page assez significative mais mal scannée. Lisible, toutefois...
J'avoue aimer "ce qui est suggéré" plus encore que "ce qui est montré"...Et là, Crepax excelle...
Sinon, oui, j'ai feuilleté il y a longtemps les pages en noir et blanc de "une histoire excessive" et ma mémoire pourtant fort sélective en ce qui concerne les fessées en dessins n'en a pas retenu grand chose...
Mais je lui fais confiance:
Si ce livre l'a tant marqué, c'est bien qu'il y a matière à...
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