Toujours cette morale d'outre-Atlantique sur la fameuse discipline conjugale admise et reconnue, mettant en évidence les bienfaits de la fessée dans le couple dans ces années bénies...
Étonnant à voir de nos jours quand on sait l'évolution morale et le repli puritain ambiant qui permet aux femmes attaquer en justice avec des millions de dollars à la clé le malheureux qui regarderait une paire de fesses de façon trop insistante, au bureau ou dans la rue...
Et un mari fesseur à toutes les chances de finir en prison avec une amende pharamineuse et un procès perdu d'avance s'il ose corriger madame "à l'ancienne", comme du "bon vieux temps de Papa" et que celle-ci porte plainte pour "viol aggravé d'un attentat à la pudeur". Le cas s'est vu encore récemment. OK, il pourra toujours dire que c'était dans le journal, mais je doute que ça attendrisse le juge...
Revenons à 1937. L'illustration ci-dessus a été "nettoyée" par mes soins, j'ai retiré les textes qui n'ont pas de rapport immédiat et quelques traits parasites gênants, et surtout j'ai remis la légende bien en évidence. Elle vaut le déplacement:
" D'un mouvement rapide, Jim fit pivoter Leola
l'inclinant sur le dossier du fauteuil le plus proche
avant d'ensuite la fesser sans pitié !"
l'inclinant sur le dossier du fauteuil le plus proche
avant d'ensuite la fesser sans pitié !"
2 commentaires:
Autres temps, autres moeurs. Par curiosité j'aurais quand même préféré un accès à l'image d'origine (avec le texte "parasite") non réduite.
Je m'en occupe, il suffira ensuite de cliquer sur l'image non retouchée et on l'aura en grand... Anonyme ?
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