Oui, mais je n'en fais pas usage. J'ai déjà utilisé l'objet, on m'en a offert plusieurs. Les tests ne sont pas concluants pour moi, qui décidément aime la main plus que tout. Et le contact charnel qui va avec.
Maintenant, "marquer" une femme que j'aime pour qu'Elle en porte les traces quelques heures, qui sait ? Une simple fessée, même magistrale s'efface trop vite et les rougeurs s'estompent sans laisser le temps d'en jouir...
Manara est un surdoué et produit énormément. C'est un petit dessin, qui a probablement été réalisé très vite.
Mais il travaille aussi d'après photo, les Italiens produisant un nombre imposant de journaux pornos qui du coup apportent une documentation précieuse pour les graphistes qui dessinent du cul. Avec du calque.
J’ai une affection particulière pour cet outil qu’est la cravache. Je ne suis pas sûre que ce qu’elle me ‘dit’ soit explicable mais c’est l’instrument qui me permet de développer toute une fantasmagorie puissante et névrotique. Le cuir, la longueur, le son, sa beauté stylistique (un trait – un son!).
759 - Le Manara du jour...
5 commentaires:
l'objet, le mot, le bruit... le reste... :-)
Oui, mais je n'en fais pas usage. J'ai déjà utilisé l'objet, on m'en a offert plusieurs. Les tests ne sont pas concluants pour moi, qui décidément aime la main plus que tout. Et le contact charnel qui va avec.
Maintenant, "marquer" une femme que j'aime pour qu'Elle en porte les traces quelques heures, qui sait ? Une simple fessée, même magistrale s'efface trop vite et les rougeurs s'estompent sans laisser le temps d'en jouir...
Je ne suis pas (encore) une adepte de la cravache, mais l'image est tout à fait à mon goût.
Pour le dessin, Manara il lui faut plus ou moins de 7 minutes pour réaliser le tracé ?!!
Manara est un surdoué et produit énormément. C'est un petit dessin, qui a probablement été réalisé très vite.
Mais il travaille aussi d'après photo, les Italiens produisant un nombre imposant de journaux pornos qui du coup apportent une documentation précieuse pour les graphistes qui dessinent du cul. Avec du calque.
J’ai une affection particulière pour cet outil qu’est la cravache.
Je ne suis pas sûre que ce qu’elle me ‘dit’ soit explicable mais c’est l’instrument qui me permet de développer toute une fantasmagorie puissante et névrotique.
Le cuir, la longueur, le son, sa beauté stylistique (un trait – un son!).
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