08 novembre 2008

Elle peut garder sa culotte ?

773 - Revenons aux "vraies valeurs", après le post précédent qui n'était qu'un aparté "inversé" mais a bien fait causer le "p'tit Jean-Jacques", toujours prolixe sur certaines notions éducatives.

Une image typique des comics américains des années 50. J'en ai déjà parlé. Les fessées sont conjugales, la punition fait partie des règles admises, on corrige Madame parce qu'elle se conduit "comme une enfant"... Pour la recadrer, l'éduquer et la remettre en place. Sévère, mais juste !

Un vrai classique. On ne baisse jamais la culotte non plus, censure oblige... Pas question de laisser passer le moindre bout de peau. Alors on en montre un peu, mais pas tout, et surtout pas ce qui se passe une fois que la porte de la chambre à coucher s'est refermée.

Vaguement hypocrite, on dessine le châtiment (pervers) mais on reste digne, Monsieur, en costume, a gardé sa cravate. Droit dans ses bottes, le mâle américain d'alors... Pas le genre à élire un nèg... Euh, un afro-américain. Heureusement, les mœurs évoluent...

Allons, elle l'a (sûrement, c'est une femme) bien mérité...

Hélas je ne connais pas l'auteur dont le style est... sans style, justement, mais j'aime bien cette brunette en robe coquelicot...

... Qui me rappelle vaguement quelqu'un.

12 commentaires:

Anonyme a dit…

Bonjour,

j'aime beaucoup votre blog, et votre billet de ce jour m'interpelle.

Je pense avoir lu presque tous vos récits publiés ici, et il est vrai que vos jolies "victimes" se retrouvent systématiquement déculottées.

Le frisson qui parcourt la demoiselle des reins à la gorge au moment de la menace, se reproduit au moment où elle est basculée sur les genoux de son tendre bourreau. Puis à nouveau lorsque la jupe est relevée, ou le pantalon baissé, et enfin lorsque la culotte glisse...

L'attente de chacun de ces moments fait frissonner de même et redoubler les battements de coeur.

Dans quelle mesure, me demandais-je, savoir à l'avance que de toute façon elle va se retrouver exposée, n'atténue pas un peu le vertige ?
Alors que de laisser une part d'inconnu en la matière augmenterait peut-être l'émotion du déculottage lorsque, effectivement, il se produit...

Erik A. a dit…

@ Coquelicot: Merci. Et intéressante question. À laquelle je vais laisser nos amies filles répondre...

Toutefois, le but du post qui vous fait réagir était juste de faire un petit clin d'oeil à Isabelle, qui trouve parfois des images "vintages" trafiquées (culotte baissée, merci Photoshop) et se pose la question de leur authenticité, alors que dans ces années-là, montrer des fesses nues était impossible.

Je me souviens d'un Lucky Luke courant avec un pistolet à la main, la censure des années 50 avait exigé que le dessinateur le retire, du coup le héros courait derrière son ennemi avec l'index tendu, à la place... J'en passe et des meilleures.

Alors des culs nus, vous imaginez...

Erik A. a dit…

Oui, c'est vrai, je déculotte les filles.

Je n'imagine guère une fessée donnée sans baisser tanga ou blanche culotte vaporeuse à un moment donné. Je ne fesse pas par dessus la culotte, mais l'émotion reste palpable, parce que "déplacée", sur la durée, l'intensité et autres troubles.

Je ne m'imagine pas non plus donnant juste une correction au-dessus du pantalon ou de la jupe, peut-être juste une petite tape sèche, éventuellement, plus préventive et annonciatrice d'une suite qui se passera alors une fois la porte de la chambre refermée sur nos amours et nos plaisirs à suivre.

Dans la rue, le soir en rentrant du restaurant par exemple...

Bébé a dit…

et le claquement de la main au contact de la fesse alors? frissons aussi, bien sûr... alors cul nu, évidement.

Anonyme a dit…

Plus d'une semaine que je ne suis pas passée sur ton blog et "que ça" ?? La cadence se ralentie ce n'est pas très serieux :D)

De plus je viens de me rappeler que tu n'avais toujours pas fait le questionnaire? je ne sais plus ou on en est niveau claques mais wow si je te la donnais tu la sentirais passer. ;)

Pour la question de Coquelicot... C'est complexe comme question et le format blog n'est peut être pas adapté pour une réponse sans que je me la fasse version petit JJ... Mais je me lance.

La sensation de vertige c'est peut être ça justement... Savoir que l'on va recevoir une bonne fessée.

Le vertige c'est être border line entre "je vais y échapper ou pas" parfois. Tout en esperant, priant, implorant intérieurement que non!

C'est aussi savoir que l'on va recevoir une fessée mais sans savoir ce qui va se dire, ce qui va se passer si ce n'est l'acte de fessée.

Le vertige c'est l'émotion ressentie qui nous le procure.

Le vertige c'est aussi ne pas forcément savoir comment réagir. Perdre la notion de temps. En perdre ses mots. Le fait de rougir, par exemple, me donne totalement le vertige. Le fait de bruler intérieurement me fait tourner la tête. Le fait de n'être qu'attente en refusant parfois de l'admettre.

Et puis le plaisir ce n'est pas en soit ce qui donne le plus de vertige ?

Il y a une grosse part d'inconnue dans la fessée... On ne peut pas savoir à l'avance l'intensité d'une fessée, le pouvoir qu'elle aura sur nous... La durée aussi. Et ses "putains" d'émotions tellement differentes souvent d'une fessée à une autre

C'est également imaginer ou plutôt attendre impatiemment comment il (pour moi donc) va jouer avec mon corps, avec mon esprit avec mon/notre plaisir.

Et comme je le vis en couple, je rajouterais que, peut être ?, la part d'inconnue est plus grande parce que ça peut arriver soudainement sans que rien n'indique qu'a cette instant T je vais recevoir une fessée. Mais ce n'est pas forcement là que réside le plus de vertige.

Le vertige je pense que ça vient progressivement.. C'est apprécier, se délecter de chaque moments.

Ou sinon personellement j'aime bien qu'il me fesse sur chaque couche de vetements... Et j'apprecie même quand il n'y a pas de décullotage puisque dans mon cas il ne le fait pas systématiquement... Et se demander si oui ou non il va le faire et quand, se demander "mais pourquoi il prends son temps comme ça!!!" et adorer le fait qu'il le fasse tout de même.
C'est divin, ça, ça donne le vertige.

Je crois que de toute façon juste le fait de penser à une fessée peut me donner le vertige...

Voilà longue réponse, euh désolée?

Même pas en plus...

(t'y crois ça? Comme verrification de mot je tombe sur "fessing" bon ok ça fait rire que moi)

Erik A. a dit…

@ Rose: ton questionnaire est une introspection que je n'ai pas envie de faire en ce moment. De plus, la plupart des questions posées trouvent souvent leur réponse dans ces pages, précisément.

Et puis au fond, ça intéresse qui, MES réponses ?

Pour la tienne, longue et argumentée, pas question par contre de nous en priver, le format blog sied parfaitement, et le dialogue s'instaure.

Y'a même eu des rencontres via "au fil", c'est dire...

J'avais un temps tenté de lancer un forum fessée à partir du blog, mais il y en a trop et avec les mêmes intervenants, les mêmes avatars et les mêmes monologues, bref ce n'est pas mon truc sur ce sujet du moins puisque j'en anime un autre qui lui marche très bien.

Mais j'aime bien "oserais-je"... Et le fait d'animer à deux permet de le faire vivre, contrairement à celui de Sarahh par exemple qui souffre du désintérêt de la créatrice et tourne désormais en rond.

Bref, c'est juste comme ça...

Anonyme a dit…

Bah pas grave pour le questionnaire... Heureusement que ça ne m'a pas pris longtemps. )

"ça intéresse qui, MES réponses"

Connaitre (un tout petit peu) une personne par des détails, ses petits riens, c'est parfois sympa... C'est comme une anecdote. C'est marrant, ça peut faire réfléchir mais en soit ça n'apporte rien de bien fondamental.

Je suis plusieurs blogs sur le net... Je me suis "habituée" aux auteurs, c'est comme un rdv espacé. En tant que lectrice je pense que de temps en temps on aime savoir ce qu'il y a au delà des articles... Etre honteusement indiscret;)

Voilà, pour le reste, Merci E c'est gentil. Et c'est très vilain de dire ça sur ddf.) Il y a de bonnes periodes, parfois des mauvaises. Il faut savoir être patient c'est tout. (et puis c'est aussi aux membres de se bouger les fesses pour que ça marche)

Erik A. a dit…

@ Rose: On peut aussi se lasser et préférer "vivre en vrai" plutôt que d'en parler sans cesse de façon stérile - voire de se prendre le chou - avec des gens qui ne sont que virtuels et dont le fantasme est juste imaginaire.

Sarahh est probablement dans une phase où son forum ne lui apporte plus rien. Et ça arrive. Le jour où ce blog ne m'amusera plus je stopperai de suite. C'est d'abord pour moi, premier lecteur que je le fais.

Anonyme a dit…

Pour moi la fessée c’est avant tout la peau d’une main et la peau d’une fesse. Le contact.
Qui bien évidemment ne se ferait pas si on garde les sous-vêtements. Mais j’aime ce lent déshabillage qu’il m’impose ; sur la jupe, sur la culotte, la culotte légèrement descendue au pli, puis aux genoux, enfin aux chevilles.
Parfois, on saute des étapes, cela peut être nécessaire. Ou bien il me la remet et on sort déjeuner. Tout est possible 'et' inattendu....

Erik A. a dit…

"Ou bien il me la remet et on sort déjeuner. Tout est possible 'et' inattendu..."

J'aime bien ça aussi, aller dîner après...

Anonyme a dit…

C'est très troublant aussi, le reculottage...

Anonyme a dit…

"Donner une fessée sans déculotter c'est comme aller à Deauville sans voir la mer ! "
C'est un proverbe de nos ancêtres les Gaulois, qui le tenaient des Romains, lesquels l'avaient adapté de l'Egyptien...qui faisaient bien sûr référence à une autre toponymie maritime.
César et Cléopâtre ont pu le mettre en pratique.
Le LOUVRE possède dans ses réserves la version hiéroglyphique de ce précepte mais n'ose pas la présenter au public.PJJ